Re: INFOS TOUR 2014

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Belkin et Luis Leon Sanchez c'est fini.

L'équipe néerlandaise Belkin (ex Rabobank) s'est séparée de l'Espagnol Luis Leon Sanchez, pour son implication potentielle dans plusieurs affaires de dopage, rapporte mercredi le quotidien De Telegraaf.

Déjà suspendu en début de saison, puis réintégré en mai, l'Espagnol de 29 ans est soupçonné d'être lié aux docteurs Michele Ferrari et Eufemiano Fuentes, notamment à l'époque où il courait pour la Caisse d'Épargne, ce qui l'implique potentiellement dans plusieurs affaires de dopage.

"Son nom est cité dans trop de dossiers", a déclaré un porte-parole de Belkin, qui craint que le coureur "discrédite l'équipe". Cette dernière a donc racheter son contrat pour rendre sa liberté au coureur sous contrat jusqu'en 2015.
L'enquête interne menée au début de l'année n'a rien révélé, mais "le lien de confiance entre l'équipe et Sanchez est brisé", selon le porte-parole de Belkin.

Le coureur avait rejoint la structure en 2011 (à l'époque où l'équipe s'appelait Rabobank), et avait prolongé son contrat de trois années supplémentaires (2,4 millions d'euros) après avoir remporté la Clasica San Sebastian en 2012.

Vainqueur de l'édition 2009 de Paris-Nice, Luis Leon Sanchez compte également quatre victoires d'étape sur le Tour de France.

Suspension à vie requise contre Danilo Di Luca.

La Commission antidopage du Comité olympique italien (Coni) a requis lundi la suspension à vie contre l'ancien vainqueur du Giro Danilo Di Luca, testé positif à l'EPO en avril.

Di Luca, 37 ans, avait fait l'objet d'un contrôle antidopage positif à l'EPO, hors compétition le 29 avril dernier, avant le départ du Tour d'Italie et avait été suspendu provisoirement depuis.

Il s'agit de la "seconde violation de la règle antidopage de l'AMA (Agence mondiale antidopage)", a précisé le Coni dans un communiqué, réclamant "l'invalidation des résultats consécutifs au contrôle".
Le coureur italien avait déjà été sanctionné deux fois, en 2007, l'année de sa victoire dans le Giro, pour son implication dans l'enquête Oil for drugs, et pour un contrôle positif à l'EPO en 2009, qui lui avait valu une suspension d'un an.

Le grimpeur français John Gadret rejoint Movistar.

Le coureur français John Gadret, 34 ans, va quitter l'an prochain AG2R-La Mondiale pour l'équipe Movistar, avec laquelle il s'est engagé pour une saison, a annoncé vendredi la formation espagnole.

"John Gadret courra dans les rang du Team Movistar après avoir trouvé un accord avec l'équipe d'Eusebio Unzue pour la prochaine saison", précise Movistar dans un communiqué.
Après huit ans dans l'équipe de Vincent Lavenu, le petit grimpeur (1,70 m, 58 kg) viendra épauler le leader espagnol Alejandro Valverde, troisième du récent Tour d'Espagne et huitième du Tour de France en juillet.

Double champion de France de cyclo-cross, le Français a connu sa meilleure saison en 2011 avec une victoire d'étape sur le Tour d'Italie et la troisième place finale au classement général du Giro (après le déclassement d'Alberto Contador).

Le Tour 2013 tous juste terminé. Le Tour 2014 pas encore parti, que déjà....


C'est franchement dingue...... 

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C'est franchement dingue...... 


Oui tout à fait Woody...je n'ai pas eu le "courage" de MARGAUX, je n'ai pas tout lu mais comme je trouve que tu es très pro sur tous tes écrits dans ce domaine alors...je te crie...BRAVO !!!        

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Harmonie Mutuelle, partenaire officiel de l’équipe cycliste team Europcar !

Harmonie Mutuelle s’associe à l’équipe cycliste Team Europcar pour les saisons 2014 et 2015.
Une collaboration fondée sur des valeurs communes, de solidarité, de proximité et de performance au service du collectif.

En soutenant l’équipe Team Europcar, Harmonie Mutuelle veut rappeler une nouvelle fois l’importance d’une pratique sportive, qui favorise non seulement l’esprit d’équipe mais également un comportement favorable à la santé. En 2014, Harmonie Mutuelle rejoindra donc les bancs du Team Europcar. Au total, ils parcourront ensemble 300 jours de course, en France et partout dans le monde, et réuniront à la fois passionnés et curieux.

Une collaboration qui permettra aux deux partenaires de promouvoir le cyclisme. Ainsi, dès le mois de janvier, les coureurs de l’équipe cycliste Team Europcar, reprendront les routes. Le Tour de France sera évidemment l’un des rendez-vous marquants de la saison.

Le Team Europcar, créé en 2000 sous le nom de SA Vendée Cyclisme, est dirigé par Jean-René Bernaudeau, ancien coureur cycliste professionnel. A la fois, responsable, engagée et innovante, cette équipe de cyclistes professionnels rend au sport ses lettres de noblesses. Des valeurs fortes, une politique de formation pyramidale unique en France grâce aux cursus éducatifs proposés (Sport Étude et Vendée U)… sont autant de points communs qui ont permis son rapprochement avec Harmonie Mutuelle.

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le Tour de France fera bien étape à Carcassonne.


Le voile a été levé officiellement, ce mardi, quant à l'accueil du Tour de France 2014, qui fera bel et bien étape à Carcassonne. La ville verra également le départ de la 16e étape, en direction de Bagnères-de-Luchon. Les organisateurs du Tour de France dévoilera quant à eux, demain mercredi, à Paris, le tracé complet.

"Je suis plus qu’heureux de vous annoncer que le Tour de France 2014 fera étape à Carcassonne. Et plutôt deux fois qu’une", a déclaré officiellement le député-maire, mardi 21 octobre, confirmant en cela un secret de Polichinelle trahi par la presse (Midi Libre de lundi dernier, notamment).

"Pour la ville, c’est l’assurance d’énormes retombées économiques, mais aussi en termes d’image. Les télés de 190 pays vont être braquées sur Carcassonne. La Cité et la ville basse. Personne ne nous contredira, les retombées seront nettement supérieures à l’investissement, estimé entre 140 000 et 150 000 €", précisait Jean-Claude Pérez, à qui Christian Prudhomme et les dirigeants de la société Amaury sport organisation (ASO) avaient imposé la confidentialité jusqu’à mercredi, date de la présentation officielle de l’épreuve, sur la scène du Palais des Congrès de Paris. Le sujet est d’ores et déjà inscrit à l’ordre du jour de la réunion du conseil municipal le 7 novembre prochain.

Du dimanche soir au mardi matin.

"Venus de Nîmes, les coureurs, leurs directeurs sportifs, les mécanos, les commissaires de course, tous les suiveurs, mais aussi les membres de la caravane publicitaire et les journalistes du monde entier devraient arriver le 20 juillet au soir. Ils passeront la journée de repos, programmée le lendemain, à Carcassonne, avant de prendre le départ de la 16e étape, le mardi 22 juillet, direction Bagnères-de-Luchon", précisaient le maire, l’adjoint aux Sports, le directeur du service des sports et Guibril “Bibi” N’Diaye.

"J’ai dit "banco !" sans hésiter une seconde".

"Christian Prudhomme souhaitait faire étape ici le 14 juillet. Depuis trois ans. Mais je n’y étais pas favorable. Carcassonne attire déjà 500 000 personnes avec son feu d’artifice. Trop de monde tue le monde, estime Jean-Claude Pérez. "Il a revu la copie pendant le Tour 2013, imaginé le parcours sur son téléphone portable et nous a proposé cette “double dose”. La formule m’a immédiatement séduit. J’ai dit “banco !” sans hésiter une seconde."

Il ne reste plus que quelques détails techniques à régler. Notamment avec les organisateurs, attendus en janvier ou février prochain. Mais la municipalité a déjà sa petite idée sur la question. Le village du Tour devrait s’implanter sur le boulevard Barbès et la place du Général-de-Gaulle, d’où le départ fictif devrait être donné, pour un tour de ville jusqu’à la route de Montréal.

Carcassonne est prête à accueillir le Tour, "dans l’intérêt de la ville, de ses commerçants et de ses habitants. C’est tout “bénef”", insiste le maire.

S.Sanchez encore au chômage.

La période de transfert bat son plein en ce moment dans le monde du cyclisme. Cette année, elle est marquée par l’arrêt de grandes équipes du peloton comme les néerlandais de Vacansoleil, les français Saur-Sojasun et la mythique Eskaltel-Euskadi. L’équipe basque possède de nombreux coureurs de talent. Mais son leader habituel sur le Tour de France Samuel Sanchez ne trouve pas d’équipe pour l’année prochaine. "A ce jour, aucune équipe ne m'a offert un contrat pour continuer ma carrière", a déclaré le champion olympique 2008 à Deia. "Je garde espoir. J'avais encore un contrat de deux ans avec Euskaltel, et si j'ai signé ce contrat, c'était parce que j'avais la motivation et la force pour continuer, physiquement et mentalement. Mais maintenant je suis sans travail pour l'année à venir".

Âgé aujourd'hui de 35 ans, le meilleur grimpeur du Tour de France 2011 a donné son ressenti après l'officialisation de la disparition de l'équipe : "J'ai vécu cela avec angoisse et tristesse parce qu'une famille a été brisée. C'est pénible pour quelqu'un comme moi, qui a passé 14 ans dans l'équipe".

König veut être sur le Tour.

Révélation du Tour d'Espagne avec un Top 10 (9e) et une victoire d'étape, le Tchèque Leopold König, 25 ans, a fait du Tour de France sa priorité pour 2014. Le grimpeur de NetApp-Endura doit cependant attendre de savoir si son équipe, inscrite en Continental Pro, bénéficie d'une invitation pour cette Grande Boucle qui partira du Yorkshire et dont le parcours sera dévoilé mardi. «Europcar va être intégré au ProTour et sera invitée automatiquement. Sojasun disparait. L'une des invitations ira à Cofidis et les trois autres à des équipes étrangères. On doit attendre mars ou avril pour le savoir mais l'une d'elle sera pour nous», veut-il croire.

«Depuis le 1er octobre, mon objectif a été de me préparer pour le Tour de France. La chose importante est que NetApp puisse me garantir d'être leader sur le Tour», ajoute dans le journal tchèque Idnes celui qui a prolongé pour une année avec l'équipe allemande, laquelle a recruté notamment le Portugais Tiago Machado (RadioShack). «Ensuite, soit NetApp accédera au ProTour, soit je pourrais négocier avec les équipes qui m'ont approché cette année.»

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le recordman de l'échappée la plus longue, entre Carcassonne et Luchon, n'est plus.



Doyen des coureurs ayant disputé le Tour de France et recordman de l'échappée la plus longue, entre Carcassonne et Luchon, en 1947, Albert Bourlon s'est éteint mercredi.

Son nom, dans la grande histoire du Tour de France, restera pour toujours, quelque part, associé à celui de Carcassonne.

Un record pour longtemps encore !

Albert Bourlon, le doyen des coureurs ayant participé au Tour de France, est décédé mercredi à Bourges à l'âge de 96 ans. Né le 23 novembre 1916 à Sancergues (Cher), le coureur possède pour encore longtemps, sûrement, le record de la plus longue échappée sur la Grande Boucle, avec 253 km parcourus entre Carcassonne et Luchon, victoire à la clé, le 11 juillet 1947.

Il avait participé une première fois à la Grande Boucle en 1938 avant l'éclatement de la Seconde Guerre Mondiale, lors de laquelle il avait été capturé avant de s'évader pour gagner la Roumanie et enlever en 1944 la classique Bucarest-Ploesti-Bucarest !

Attaque dès le km 0, dans les rues de Carcassonne.

Ce jour du 11 juillet 1947, 14e étape du Tour de France, Albert Bourlon avait attaqué dès le kilomètre 0, dans les rues de Carcassonne pour aller s'imposer, 253 km plus loin, à Luchon, quelque 16 minutes devant le reste du peloton. Cette année-là, Jean Robic remporta à Paris le premier Tour de France de l'après-guerre.

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LE PARCOURS 2014 DEVOILE.


Le parcours du Tour de France 2014, qui s’élancera de Leeds, a été dévoilé ce mercredi midi à Paris, au Palais des Congrès. Les coureurs passeront notamment sur les secteurs pavés du mythique Paris-Roubaix. Les deux stations de ski de Chamrousse et Risoul accueillent les deux étapes alpestres.

Des pavés et des Anglais sur le Tour de France 2014

Partant du Yorkshire, le tracé du prochain Tour de France fait la part belle au nord et à l'est de la France, avec un passage sur les tracés du Paris-Roubaix.

Après la 100e édition et son final, en nocturne, sur les Champs-Élysées, le Tour de France regarde à nouveau vers l'avenir. Au programme ce matin, dans un Palais des congrès toujours aussi plein pour l'occasion, un parcours de 3 600 km qui s'étire depuis l'Angleterre voisine jusqu'aux Pyrénées. Un tracé qui fait la part belle à l'est de la France, parent pauvre de la dernière édition, et aux Vosges, qui disposent d'un total de 11 ascensions. Après une édition très hexagonale cet été, le Tour version 2014 se veut résolument tourné vers l'international. "C'est une épreuve qui dépasse les frontières de la France", justifie Jean-Étienne Amaury, président d'ASO, qui organise l'épreuve. Christian Prudhomme a par ailleurs rappelé que le Tour reste "un géant du monde du sport" avec un zeste "de défi et de folie".
Le Yorkshire en entrée

Sept ans après le départ à Londres, et sa ferveur, le Tour revient donc en Grande-Bretagne. Un pays devenu une attraction et un acteur majeur de l'épreuve, avec les deux derniers vainqueurs, Bradley Wiggins et Christopher Froome, et le talent du sprinteur et ancien champion du monde Mark Cavendish. Le départ sera donné depuis le Yorkshire, une "région qui nous a séduits pour ses paysages magnifiques", explique Christian Prudhomme, le patron du Tour. Une première étape dévolue aux sprinteurs le 5 juillet puis, déjà, une étape compliquée entre York et Sheffield (198 kilomètres) où les favoris sont déjà entendus. Une journée plus tard et après une arrivée au sprint à Londres, départ pour la France.

Les Vosges, un programme costaud.

Le Tour prend ensuite ses quartiers dans le nord de la France avec une épreuve entre le Touquet et Lille, qui avait accueilli un départ du Tour en 1994. Ensuite, les pavés de Paris-Roubaix font leur retour sur le Tour (après 2010) avec une arrivée à Arenberg, à la Porte du Hainaut. Les coureurs arpenteront donc les pavés, dans le sens inverse de la course mythique du Nord. Au programme ensuite : Reims pour les sprinteurs, Épernay-Nancy pour les puncheurs avant d'attaquer les vrais duels. À Gérardmer, plus de trois ascensions attendent les coureurs. Les Vosges s'annoncent être le plat de résistance de ce Tour avec, deux jours plus tard, une arrivée sur la Planche des Belles Filles où Christopher Froome avait remporté sa première victoire il y a deux ans. L'occasion également de découvrir le périlleux col des Chevrères.

Après deux étapes plus "tranquilles", direction ensuite les Alpes avec le col inédit de Palaquit et une arrivée en hauteur à Chamrousse. L'étape de Risoul devrait également faire la part belle aux grimpeurs, là où Nairo Quintana s'était fait connaître sur le Tour de l'avenir en 2010. Une arrivée à Nîmes devant les arènes, une journée de repos sur les contreforts de la cité de Carcassonne et les coureurs se tourneront alors vers les Pyrénées.

Les Pyrénées pour terminer.

La plus longue étape (237 km) traversera le mardi 22 juillet l'Ariège pour s'achever à Bagnères-de-Luchon, où Thomas Voekler s'est imposé à deux reprises. Le lendemain, les 125 km entre Saint-Gaudens (qui accueille le Tour pour la 3e fois en 5 ans), et Saint-Lary-Soulan s'annoncent très disputés, avec 40 km d'ascension. La dernière grande bataille des Pyrénées se disputera entre Pau et Hautacam (avec 145 km).

À noter qu'il n'y aura qu'un contre-la-montre dans ce Tour, le 26 juillet prochain entre Bergerac et Périgueux (54 km). Un tracé qui devrait donc favoriser les grimpeurs puncheurs comme Christopher Froome, qui s'était imposé l'an passé, plus que son compatriote Bradley Wiggins, très à l'aise dans les épreuves chronométrées. Mais avant les supputations, la plupart des coureurs qui ont brillé l'été dernier (Froome, Da Costa, Riblon) s'envolent pour Saitama, dans le cadre d'un critérium au Japon organisé par ASO. Plus que jamais, le cyclisme et le Tour sont donc tournés vers l'international.


DÉCOUVREZ le parcours de cette 101e édition du Tour de France :

La carte :




Les étapes:

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LES MAILLOTS DISTINCTIFS DU 101ème TOUR DÉVOILÉS !

A l'occasion du grand départ du Tour de France 2014 en Angleterre, l'équipementier français Le Coq Sportif a dévoilé son nouveau maillot jaune "made in England". En effet, ce nouveau maillot jaune s’inspire des tous premiers maillots le coq sportif de 1951 avec un col plat cousu, il arbore également pour cette édition 2014, le symbole du Yorkshire.

@ +

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Le Yorkshire est un comté d'Angleterre, dont la population s'élève à 5 millions d'habitants et s'étend sur 15 000 km². Le Yorkshire comporte quatre divisions : une division nord, une division sud, une division ouest et une division est. L'emblème du Yorkshire est la rose blanche, qui vient de la Maison d'York.



Woody    

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Fleur de sel, merci pour l'info.....

[MARGAUX]

désolée Woody, mais pas trop de temps en ce moment, je reviendrais tout lire

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désolée Woody, mais pas trop de temps en ce moment, je reviendrais tout lire

Tu a le temps ma grande.....le départ n'est que dans 255 jours.... 

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Le parcours du Tour 2014:

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Un seul "chrono" sur le Tour 2014 .

Pour la première fois depuis les années 1950, le Tour de France ne présentera qu'un seul contre-la-montre l'été prochain.
La part réservée aux "chronos" s'est grandement réduite ces dernières années, hormis en 2012 pour un Tour qui s'est avéré être le plus verrouillé de l'époque récente. Cette tendance est donc confirmée pour l'édition 2014 même si la distance  du contre-la-montre individuel proposé entre Bergerac et Périgueux, à la veille de l'arrivée sur les Champs-Elysées, atteint le respectable total de 54 kilomètres. Soit davantage qu'en 2011 quand les coureurs avaient eu à parcourir 42,5 kilomètres de "chrono" individuel, s'ajoutant aux 23 kilomètres d'un contre-la-montre par équipes.

Pour l'anecdote, le Tour avait toujours proposé au moins deux contre-la-montre (prologue inclus) depuis 1953. Cette année-là, Louison Bobet, porteur du maillot jaune, avait gagné le "chrono" de 70 kilomètres reliant Lyon à Saint-Etienne, pour la 20e étape, deux jours avant de triompher pour la première fois à Paris.

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Tour de France 2014 : un parcours anti-Froome ?

Le Tour de France 2014, qui s’élancera de Leeds le 5 juillet, offre un parcours très éclectique aux coureurs. Avec des pavés et un seul contre-la-montre, le tracé n’avantage pas Christopher Froome (Sky), le tenant du titre.
Pas sûr que Christopher Froome garde de bons souvenirs de ce mercredi 23 octobre, jour de présentation du parcours du Tour de France 2014. Car s’il veut remporter une deuxième Grande Boucle consécutive, le Britannique sait désormais qu’il devra cravacher. Encore plus qu’en 2013. Car les organisateurs du 101e Tour n’ont pas gâté le leader de la Sky, avec un tracé qui devrait faire la part belle aux purs grimpeurs, type Nairo Quintana (Movistar), Alberto Contador (Saxo Bank) ou Joaquim Rodriguez (Katusha).

Seule réjouissance pour Froome, un grand départ d’Angleterre, terre des deux derniers vainqueurs (lui et Bradley Wiggins), le 5 juillet à Leeds. Au programme, trois étapes outre-Manche, dont la troisième qui arrivera dans les rues de Londres et qui promet une immense fête populaire. Place ensuite aux plaines du Nord de la France et surtout à ses pavés, avec une arrivée à Aremberg (5e étape), symbole de Paris-Roubaix. Au total, neuf secteurs pavés (15,4km) seront empruntés le 9 juillet. " J’ai vraiment hâte de voir ça, c’est-à-dire les meilleurs coureurs de pavés avec les leaders des Grands Tours, et voir la manière dont ils vont pouvoir s’en sortir et se débrouiller, explique Christian Prudhomme, le directeur du Tour. "Les pavés font partie de l’histoire du Tour, comme les montées et les descentes. On n’a pas envie d’une course où tout serait calibré et prévu à l’avance."

Seulement 54km de contre-la-montre.

S’ils passent sans encombre les pavés, les leaders s’expliqueront ensuite dans la montagne… sur trois massifs différents ! En plus des habituels Alpes et Pyrénées, les Vosges offriront un terrain de jeu propice aux grandes explications, avec notamment une arrivée à la Planche-des-Belles-Filles le 14 juillet (10e étape). " Ce sera une vraie étape de montagne, avec trois cols de première catégorie " , détaille le patron du Tour. " Au total, six étapes de montagne seront au programme, avec cinq arrivées en altitude. "

Presque intouchable dans l’exercice, Froome n’aura qu’un contre-la-montre à se mettre sous la dent, entre Bergerac et Périgueux (54km), la veille de l’arrivée (26 juillet). Depuis 1934, il n’y avait jamais eu aussi peu de kilomètres de chrono. "Les grimpeurs qui, d’ordinaire, sont contraints de courir après le temps parce qu’ils ont perdu des minutes dans un contre-la-montre, seront peut-être cette fois-ci devant et devront gérer un pécule, avec sans doute un moral encore plus fort et pourquoi pas le Maillot Jaune. Ça peut changer des choses ", avance Prudhomme.

Après un cru 2013 plié rapidement, à l’issue duquel Froome a terminé avec plus de quatre minutes d’avance sur Quintana, son dauphin, les organisateurs ont donc voulu essayer de préserver le suspense au maximum. De là à créer un parcours anti-Froome ? " On n’est jamais pour ou contre un coureur spécifiquement ", tempère Prudhomme. " En revanche, notre volonté c’est que le suspens dure le plus longtemps possible. 2014, c’est 50 ans après le fameux duel Anquetil-Poulidor. Si les coureurs avaient un peu de mémoire, ils s’inspireraient de ce qu’ils ont fait l’été dernier car il y avait du mouvement absolument partout. Ce serait formidable."

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Cavendish rêve de maillot jaune devant les siens.


Le Britannique Mark Cavendish a confié mercredi qu'il rêvait de s'imposer et de prendre le maillot jaune lors de la première étape du Tour de France 2014 qui arrive à Harrogate, où vit sa grand-mère et une partie de sa famille.

Le Tour de France 2014 partira de Leeds, dans le Yorkshire (centre de l'Angleterre), le 5 juillet.

"Pour la deuxième fois de ma carrière, le Tour de France vient au Royaume-Uni (après le Grand départ de Londres 2007), c'est un énorme honneur d'en faire partie. La première étape finit dans la ville de ma grand-mère, une grande partie de ma famille vit encore là-bas. J'y ai passé beaucoup de temps étant enfant. Essayer de gagner une étape là-bas et de prendre le maillot jaune sera énorme. On a vu cette année que tout peut arriver mais ce sera un grand objectif pour nous", a déclaré le sprinteur britannique qui n'a jamais porté le maillot jaune.
"Il y a au moins deux étapes que je vise au Royaume-Uni, la première et la troisième étape (Cambridge-Londres), je veux réussir sur ces deux-là. Et les Champs Elysées sont bien sûr un grand objectif. J'y ai gagné quatre fois mais je n'ai pas réussi à m'y imposer l'an dernier. Je veux regagner à Paris", a poursuivi le détenteur du record de victoires d'étape sur le Tour (25 en six participations).

Le sprinteur de 28 ans a également pointé les objectifs de son équipe Omega-Pharma notamment durant la première semaine. "Quand on va en France, puis aller en Belgique puis revenir en France avec des pavés (lors de la 5e étape). On est l'équipe la mieux équipée pour ce genre de tracé et on voudra réussir durant toute cette première semaine", a-t-il expliqué.

Il a également vanté les paysages de première étapes anglaises. "Si la météo est bonne, ce sera magnifique à la télévision", a-t-il souligné.

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Bretagne-Séché environnement au départ du Tour de France?



Comme tous les ans, Emmanuel Hubert était présent ce mercredi au palais des Congrès de la Porte Maillot. Le manager de l’équipe continentale Bretagne-Séché Environnement apprécie le parcours du Tour de France 2014.

" C’est un beau tracé, mais avec de réelles opportunités. Un parcours dessiné à la Prudhomme , avec ses petites énigmes comme l’arrivée à Gérardmer dans les Vosges. Les quinze kilomètres de pavés sont loin d’être neutres… Ça peut faire peur à des leaders, après il en faut pour tout le monde. Les pavés font partie du paysage français et cycliste. Donc quand l’opportunité de les franchir se présente, il ne faut pas la refuser. C’est un circuit taillé pour des coureurs qui vont de l’avant, pour des opportunistes, donc nous. "

L'année ou jamais.

Et oui, les Bretons ont une idée derrière la tête. Les arrêts des équipes Vacansoleil, Euskatel et Sojasun libèrent des places. Ils ne seront plus que 18 en World Tour contre 19 exceptionnellement l’an dernier. Si la formation Europcar passait comme elle l’a demandé à l’étage supérieur, les postulants à la Grande Boucle pourraient s’avérer moins nombreux ou moins bien armés que les années précédentes. Deux des quatre invitations ne devraient pas échapper à Cofidis et aux Suisses de IAM Cycling, la nouvelle équipe de Sylvain Chavanel.

En revanche, les jeux semblent ouverts pour les deux autres accessits. Les Allemands de Team NetApp - Endura ou les Sud-Africains de MTN Qhubeka seront certainement en concurrence avec les Bretons de Bretagne-Séché Environnement. " Je serai presque tenter de dire que c’est l’année ou jamais. J’espère que ce sera enfin l’ouverture pour la grande aventure. Le malheur des uns fera peut-être le bonheur des autres. " Pour les Bretons, cela passe par un début de saison réussi. " On va travailler pour " promet Emmanuel Hubert.

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L'équipe de Fernando Alonso nommée FACT.

 Selon la presse espagnole, c'est sous le nom de FACT, ( Fernando Alonso Cycling Team ) que lundi, le pilote espagnol de Formule 1 a fait enregistrer au prés de l'UCI la structure qu'il a créée en vue du lancement d'une équipe World Tour en 2015. D'après El Mundo, ce projet susciterait l'intérêt de partenaires importants comme l'opérateur téléphonique Vodafone - qui a collaboré avec Alonso quand il était chez McLaren - ou la principauté de Dubaï.

Question coureurs, le quotidien catalan cite Samuel Sanchez comme signature possible et évoque un intérêt pour Alberto Contador, Cycling News lâchant en sus le nom de Peter Sagan. A en croire As, l'ancien champion du monde de F1 aurait l'intention de présenter officiellement cette nouvelle équipe lors d'une des deux journées de repos du Tour 2014, le 15 ou le 21 juillet.

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 Woody : Il a également vanté les paysages de première étapes anglaises. "Si la météo est bonne, ce sera magnifique à la télévision", a-t-il souligné.

Oui ... Woody  !   

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Le critérium "Le Tour de France" à Saitama, nouveau pari d'Amaury Sport Organisation.



La menace d'un typhon a failli provoquer son annulation. Mais le premier critérium "Le Tour de France" a bien eu lieu samedi 26 octobre à Saitama, ville japonaise située à une trentaine de kilomètres au nord de Tokyo. Il a été remporté par Christopher Froome, qui avait revêtu sa tunique jaune de vainqueur du Tour 2013. Avant la course, le champion britannique de l'équipe Sky avait fait part de son soutien au nouveau président de l'Union cycliste internationale (UCI), Brian Cookson, pour débarrasser le cyclisme de sa culture du dopage.
Les 56 coureurs engagés, dont le maillot vert 2013 de meilleur sprinter Peter Sagan ou encore Romain Bardet, 15e et premier Français au classement général cette année, se sont affrontés sur un circuit de 2,7 km au cœur de la ville, à parcourir vingt fois, sous l'œil expert de Bernard Hinault, ambassadeur de l'événement. Ce dernier avait pronostiqué une victoire de Sagan : "le  terrain  est  plat,  ce  qui  laisse  de  la  place  aux  sprinters comme  lui", avait-il observé. Le coureur slovaque a terminé deuxième, devant le Portugais champion du monde Rui Alberto Faria Da Costa.

Malgré la pluie, la journée fut un succès populaire. Un résultat d'importance pour son concepteur et promoteur Amaury Sport Organisation (ASO), filiale du groupe Amaury (Le Parisien, L'Equipe...) spécialisée dans l'organisation d'événements sportifs de plein air et à l'origine de ce critérium. L'année de la centième édition de la Grande Boucle, ASO joue de la notoriété de la compétition française pour explorer de nouveaux territoires. L'entreprise a décliné une série de concepts autour de cette compétition, l'une des plus populaire dans le monde, à commencer par les critériums. "Ce  n'est pas  seulement  un  événement, note Jean-Etienne Amaury, patron d'ASO, lors d'un événement organisé par la. Chambre de commerce et d'industrie française du Japon. C'est l'exploitation de l'univers du Tour de France. La plus grande course cycliste du monde vient au Japon"

L'UNIVERS ET LES VALEURS DU TOUR.

Le choix de Saitama n'est pas un hasard. La ville souhaite, a expliqué son maire Hayato Shimizu, "revitaliser l'économie locale par le sport". "Les villes aiment bien les courses cyclistes car le vélo reste associé au bien-être et à la santé", confirme M. Amaury.

Saitama abrite des installations sportives de qualité. Ainsi de la Super Arena, une enceinte ayant notamment accueilli les Championnats du monde de basket de 2006, ou du Saitama Stadium, construit pour la Coupe du monde de football de 2002, aujourd'hui occupé par les Urawa Reds, l'une des meilleures équipes professionnelles du pays.



L'événement cycliste de samedi s'est accompagné d'activités diverses pour les spectateurs, découverte du cyclisme et présentation de produits français et japonais. "Le vélo est de plus en plus populaire au Japon, note Yukiya Ayashiro, champion du Japon et l'un des rares professionnels nippons engagés dans Le Tour de France (équipe Europcar). Grâce à la Grande Boucle, qui est retransmise en direct au Japon, l'image du cyclisme a changé."

Le succès rencontré conforte ASO dans sa stratégie. Outre les critériums, la société promeut les Fan Parks, dont un sera installé en Angleterre pour le départ du Tour 2014. "C'est un moyen de présenter l'univers et les valeurs du Tour", explique Claude Rach, responsable de projet chez ASO. Il y a également les "Etape by Le Tour de France", l'occasion pour les amateurs de vivre les courses dans les même conditions que les professionnels.

D'AUTRES  ROUTES, D'AUTRES PAYSAGES.

L'objectif est de multiplier les débouchés hors de France, voire hors d'Europe, même si, reconnaît M. Amaury, "se  pose le  problème  du calendrier". La date retenue pour le critérium de Saitama correspond à la fin de la saison, moins tendue. Pour les coureurs, note même Romain Bardet, "c'est l'occasion de découvrir d'autres routes, d'autres paysages". Les créneaux disponibles étant limités, il ne devrait pas y avoir d'autres critériums de ce genre en Asie.

Néanmoins, la réussite de la course de Saitama doit bénéficier à l'ensemble du catalogue d'activités d'ASO. Le cyclisme génère 60 % de son activité, mais la société, qui propose soit des organisations clef en main, soit une activité de conseil, est aussi présente dans la course automobile avec le Dakar, la voile puisqu'elle a racheté le Tour de France à la voile début 2012 ou encore la course à pieds. Et tout peut être lié. "Grâce aux contacts noués pour le Tour de Singkarak, en Indonésie, dont la première édition a eu lieu en 2013, explique M. Rach, nous avons décroché l'organisation du marathon de Djakarta."

ASO a dégagé 171 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012 – sur un total de 683 millions d'euros pour l'ensemble du groupe Amaury. Ses résultats connaissent une croissance rapide bienvenue, les autres activités du groupe connaissant des difficultés.

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Les plus et les moins des favoris du Tour 2014.

Tout laisse à penser que Chris Froome, tenant du titre, se présentera en favori au départ du Tour de France 2014. Mais d'autres prétendants seront aussi ambitieux à Leeds.

Chris Froome (GBR/Sky), vainqueur en 2013, 2e en 2012:
+ : la répétition des arrivées au sommet avantage le Britannique, supérieur à ses adversaires sur ce terrain dans les deux éditions précédentes. A commencer par la première en date, la Planche-des-Belles-Filles, où il avait signé son premier succès d'étape dans le Tour (2012).
- : le meilleur rouleur (et de loin !) des grimpeurs ne dispose que d'un contre-la-montre en sa faveur. De surcroît, situé à la veille de l'arrivée, quand les facultés de récupération rivalisent avec les qualités spécifiques. Et les pavés, bien sûr, même si le Kényan blanc qui a déjà couru Paris-Roubaix (abandon en 2008) a évidemment les moyens physiques de rivaliser avec les autres grimpeurs.

Nairo Quintana (COL/Movistar), 2e en 2013:
+ : deux ascensions finales dans les Alpes, dont l'une (Risoul) lui rappelle un Tour de l'Avenir victorieux, trois étapes coup sur coup dans les Pyrénées: autant de bonnes nouvelles pour le grimpeur colombien, qui mise sur ses qualités d'endurance pour "digérer" le contre-la-montre de fin de Tour.
- : une pleine semaine, de tous les dangers, avant d'aborder les premiers reliefs de l'est de la France. Risque de cassures, de bordures, de chutes. Et toujours les pavés...

Vincenzo Nibali (ITA/Astana), 3e en 2012, absent en 2013:
+ : l'Italien, bon grimpeur, grand descendeur, a tout pour s'accommoder des étapes 2014, marquées par l'étalement des difficultés. Adroit et entreprenant, il peut porter le danger en maints endroits... à condition de trouver des alliés. Quant aux pavés, ils devraient être plutôt à la convenance du Sicilien, habitué à ce terrain en Italie.
- : surclassé d'homme à homme dans les ascensions finales du Tour 2012, il doit trouver la parade.

Alberto Contador (ESP/Saxo), vainqueur en 2007 et 2009, 4e en 2013:
+ : la variété des terrains qui se prêtent à l'offensive. L'Espagnol, au tempérament de battant, n'a pas son pareil pour "mettre le feu" à la course et utiliser aussi bien les parcours de plaine que de moyenne montagne. Il s'était (bien) tiré d'affaire sur les pavés du Tour 2010.
- : la multiplication des arrivées en altitude joue contre lui, au vu de ses performances 2013. A moins que Contador redevienne irrésistible dans les grands cols...

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Hondo, Nizzolo et Watson rejoignent Trek.

L'équipe Trek continue son recrutement en signant Danilo Hondo, Giacomo Nizzolo et Calvin Watson. Si les deux premiers cités proviennent de la formation RadioShack Leopard Trek, Watson, ex-pensionnaire de la Team Jayco - AIS, est quant à lui nouveau dans le circuit World Tour et fera partie du programme de développement des jeunes talents.

"Pour moi, c'était une décision logique de signer dans cette nouvelle équipe, assure le vétéran du groupe, Hondo. J'ai décidé il y a un an de quitter la Lampre et de commencer à travailler pour Fabian Cancellara sur les classiques et Giacomo Nizzolo dans les sprints. Puisque tout s'est bien passé, je ne voyais pas pourquoi je changerais. Je suis sûr que Trek aura la même ambiance que RadioShack. J'aimerais continuer de faire profiter les jeunes de mon expérience".

Nizzolo pourra donc de son côté toujours compter sur Hondo et affirme via un communiqué de presse : "Je suis très heureux de rester dans ce groupe, je m'y sens très bien. Je pense que l'on peut encore s'améliorer. Personnellement, j'espère plus de victoires. Pour différentes raisons, je pense que cette saison n'était pas aussi bien que celle de 2012. J'espère avoir plus de chance l'année prochaine. Il faudra que je sois compétitif jusqu'à la fin de saison".

Quant à Watson, qui sera l'un des plus jeunes coureurs de Trek, son objectif sera avant tout de "progresser et devenir le coureur que j'aimerais être. Je suis très content de faire partie de cette nouvelle équipe car il y a des coureurs et des directeurs sportifs extraordinaires, qui ont une vraie connaissance du métier. J'espère donc pouvoir engranger de l'expérience".

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Argos-Shimano : L'équipe va changer de nom.

La formation néerlandaise Argos-Shimano a indiqué dans un communiqué que le nom de l'équipe changera l'année prochaine.

En 2014 on n’entendra plus le nom de la formation Argos-Shimano dans le peloton du World Tour. Via un communiqué, l’équipe néerlandaise a confié avoir trouvé un nouveau sponsor principal ce qui implique un changement de nom. Les détails seront dévoilés dans les prochaines semaines, mais il est d’ores et déjà acquis que ce nouveau sponsor s’est engagé jusqu’en 2016.

" Très récemment, une entreprise a manifesté son intérêt pour prendre en charge le sponsoring principal de l'équipe. Le nouveau sponsor est en bonne adéquation avec nos objectifs ambitieux. Nous tenons à remercier Argos pour son soutien, qui nous a permis d'atteindre notre niveau actuel. Nous allons bientôt annoncer notre nom et dévoiler notre nouveau maillot. Les ambitions pour l'année prochaine seront plus élevées " , a déclaré Iwan Spekenbrink, le directeur général de l'équipe. De son côté, la société Argos, qui sponsorisait l’équipe depuis avril 2012, a déclaré avoir été heureuse de l’année et demie passée aux cotés de la bande à Kittel, Degenkolb et Barguil. " Le partenariat a été un succès commercial et sportif. Nous sommes très fiers du développement de l'équipe et de ses performances sur les deux dernières années. La récente performance de l'équipe Argos-Shimano sur le Tour de France a été un moment particulier. Argos souhaite le meilleur à l'équipe. "

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LA REFORME PRENDS FORME.


En 2015, le World Tour sera remodelé. Aux premières informations données début octobre se sont récemment ajoutées de nombreuses précisions contenues dans un document de travail de l'UCI. Le but final : permettre un classement unique de l'élite mondiale.

LES EQUIPES :
Ce que l'on savait déjà : Le premier niveau mondial sera réduit à seize équipes (19 en 2013, 18 en 2012 et 2014) avec création d'une deuxième division composée de huit équipes. Un système de promotion - relégation sera institué.
Les précisions : Chaque équipe de première ou deuxième division devra compter précisément 22 coureurs et créer une équipe de développement avec 8 à 10 coureurs supplémentaires qui disputeront des courses dans les différents circuits continentaux. A la fin de chaque saison, il y aura un seul relégué et un seul promu.

LE CALENDRIER :
Ce que l'on savait déjà : Le calendrier de la première division proposera 120 jours de course et celui de la deuxième division 50 jours
Les précisions : Par rapport au calendrier World Tour actuel, celui de la première division sera enrichi avec les Championats du monde et les championnats nationaux. En revanche, il perdra le Tour de Catalogne, le GP E3, le Tour du Pays Basque, le Tour de Romandie, le Tour de Pologne, le Tour du Benelux et le GP de Plouay. Ces sept épreuves feront partie du calendrier de deuxième division avec le Het Nieuwsblad, A Travers les Flandres, la Flèche Brabançonne, le Tour de Bavière et Paris-Tours. Les épreuves de première et deuxième division ne pourront pas se chevaucher et les courses par étapes seront réduites à cinq ou six jours, contre sept ou huit actuellement.

ET EN 2017...

Le calendrier de deuxième division qui s'appliquera à partir de 2015 sera encore modifié à la marge en 2017. Le Tour du Qatar et le Tour d'Oman seront ajoutés et le tour de Catalogne retranché.
Chaque équipe de première division devra participer à toutes les épreuves de première division et passer en plus 37 ou 38 jours sur des courses de deuxième division. Le calendrier de chaque équipe sera défini en début d'année et si un trop grand nombre d'équipes de première division sont candidates à la même course de deuxième division, le choix se fera selon un système de draft (tirage au sort avec des coefficients suivant les résultats de la saison précédente). De leur côté, les équipes de deuxième division devront prendre part à toutes les épreuves de deuxième division et se partageront les invitations pour les courses de première division. Elles seront au nombre de quatre par Grand Tour, six pour les courses par étapes et huit pour les courses d'un jour. Chaque équipe de deuxième division va disputer au moins un Grand Tour.

Il reste à affiner les modalités de participation encore complexes des équipes World Tour à toutes les épreuves du troisième niveau (Hors-Catégorie comme le Tour de Californie ou les Quatre jours de Dunkerque, 1re catégorie comme Paris-Bourges ou les Strade Bianche et 2e catégorie comme le Tour Méditerranéen ou les Trois Jours de Flandres Occidentale). Ces épreuves seront réservées en priorité aux équipes Continental Pro et Continental, des échelons dont le système ne change pas.
La source : il s'agit d'un document de l'UCI rédigé en français et intitulé «La réforme du cyclisme professionnel 2015-2020». Il a servi pour la validation de la réforme par le Comité Directeur de l’UCI et le Conseil du Cyclisme Professionnel (CCP) en septembre à Florence durant les Championnats du Monde sur route. Il a été rendu public en pdf par le site italien cicloweb.it

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Pièges en cascade pour le Tour 2014.

L'Angleterre, les secteurs pavés, trois étapes dans les Vosges puis les Alpes et les Pyrénées avant l'unique contre-la-montre de 54km en épilogue. Le parcours du Tour de France 2014 est semé d'embûches. La 101e édition, qui prévoit cinq arrivées au sommet, devrait faire la part belle aux attaquants.

Un Tour pour les grimpeurs? Peut-être, avec un copieux programme dans les Pyrénées traversées en trois étapes, dont le gros morceau entre Saint-Gaudens et le Pla d'Adet (125km dont 40km d’ascension et quatre cols). Une chose est sûre, la 101e édition de la Grande Boucle, sera réservée aux costauds avec la volonté des organisateurs d’offrir une première semaine patinée d’aspérités, histoire de lancer la course, et d’ériger les Vosges comme un véritable massif montagneux, au même titre que les Alpes et les Pyrénées, avec 11 cols répertoriés sur les 25 au programme.

Par aspérités, Christian Prudhomme, le directeur du Tour, pense aux neuf ascensions programmées dès la deuxième étape entre York et Sheffield (un terrain propice aux punchers), aux monts flandriens qui seront traversés entre Le Touquet (qui accueille le peloton pour la première fois depuis les années 1970) et Lille ou encore aux pavés, que tâteront les coureurs entre Ypres (Belgique) et Arenberg sur un total de 15,4 km. Frileux, s’abstenir.

Le feu d’artifice attendu le 14 juillet.

Certains auront peut-être déjà perdus le Tour, d’autres pourraient prendre une option sur le maillot jaune dans les Vosges, à l’honneur en 2014, après l’hommage qui sera rendu aux victimes de la Grande Guerre le 11 juillet à Nancy. Après les trois ascensions finales vers Gérardmer (le 12), puis une étape offerte aux baroudeurs en direction de Mulhouse, le feu d’artifice est attendu le 14 juillet, à la veille de première journée de repos à Besançon, entre Mulhouse et la Planche des Belles Filles (1148m), là où Christopher Froome, le tenant du titre, avait remporté sa première étape en 2012.

Un sommet vosgien en passe de devenir un passage obligé de la Grande Boucle, comme l’Izoard, qui sera le point culminant du Tour 2014 (2361m), gravi sur la route entre Grenoble et Risoul, au lendemain d’une étape menant le peloton jusqu’à Chamrousse, station par laquelle on accède au terme d’une ascension régulière à 7% mais longue de 18 kilomètres.

Mais le plat de résistance sera offert dans les Pyrénées donc, avec trois étapes, la première en direction de Bagnères-de-Luchon (où Thomas Voeckler a gagné à deux reprises), la seconde entre Saint-Gaudens et le Pla d'Adet (l’occasion de se souvenir de la victoire en 1974 de Raymond Poulidor, alors âgé de 38 ans, devant le Cannibale Eddy Merckx) et enfin la dernière entre Pau et Hautacam, via le mythique Tourmalet. L’étape de transition entre Maubourget et Bergerac sera-t-elle suffisante pour récupérer. Il le faudra car le lendemain, à la veille de l’arrivée du peloton sur les Champs-Elysées, la victoire finale se jouera peut-être lors du seul contre-la-montre inscrit à la carte, entre Bergerac et Périgueux. En espérant que les prétendants à Christopher Froome n’ait pas joué la montre jusque-là.

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CONTADOR EST AVIDE DE REVANCHE.

Décevant en 2013, l'Espagnol veut faire taire ses détracteurs et cela passe par le Tour de France 2014.

Avec une seule victoire, une étape dans la lointaine Argentine, Alberto Contador est une des grandes déceptions de l'année écoulée. « Ses grands jours sont derrière lui », n'a-t-il cessé d'entendre après sa décevante quatrième place au Tour. « Il est trop riche et il a perdu sa soif de victoire », a râlé son sponsor, Oleg Tinkov.

Ces reproches n'ont pas laissé Contador de marbre. El Pistolero s'est secoué. Il a entamé sa contre-offensive après le Tour. Au départ du Mondial en Toscane, le Madrilène a déclaré : Je ne suis pas ici pour achever la saison, en fait, j'entame la suivante. Contador, qui aura 31 ans en décembre, n'a pas l'intention de mettre fin à sa carrière sans enlever une troisième fois le Tour de France.

Il va certainement préparer le Tour 2014 autrement que l'hiver dernier. À la demande des sponsors et des organisateurs, Contador avait effectué la navette entre Madrid, Copenhague, Moscou, Dubaï, l'Argentine et Oman avant de tomber malade en Europe, touchée par une vague de froid. Cet hiver, il va s'astreindre à moins de voyages, à plus de stages en altitude et il va poser les jalons de sa forme avec prudence.

Philippe Mauduit, son accompagnateur, constate que son leader affiche déjà plus de grinta. « L'année dernière, Alberto s'est senti libéré à la fin de sa suspension. Un poids est tombé de ses épaules mais cela n'a pas été sans conséquences. Il était trop relax pendant les stages hivernaux. Il n'a changé que quelques semaines avant le Tour, trop tard. »

Depuis le Tour, Contador sait contre qui il se bat, selon Mauduit. « Alberto veut répondre à ses détracteurs. Cet esprit de revanche est très important car il marche à la guerre psychologique. Son opération au cerveau en 2004, l'arrestation de son directeur d'équipe, Manolo Saiz, en 2006, la non-sélection d'Astana en 2008, sa rivalité avec Armstrong en 2009, puis sa suspension : il a tiré sa force de tous ces événements. Pour l'heure, il n'a qu'une idée en tête : remporter le prochain Tour. »

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Selon Contador, les pavés pourront "faire perdre le Tour".

Pour l'Espagnol Alberto Contador, vainqueur des Grandes Boucles 2007 et 2009, les pavés de la 5e étape pourraient être décisifs pour cette édition 2014, voire "faire perdre le Tour" de France à l'un des favoris.

"Il y a cette nouveauté des pavés. Ca va ressembler aux pavés de 2010, et cette étape ( la 5e) sera compliquée, très nerveuse, avec la peur de la chute ou d'une avarie mécanique qui peut faire perdre le Tour", a réagi le coureur espagnol de Saxo Bank,  après l'annonce du parcours du prochain Tour de France et de ces neuf secteurs pavés, pour 15,4 km au total, lors de l'étape entre Ypres en Belgique et Arenberg en France.

"C'est un Tour assez équilibré, avec de la montagne et un long contre-la-montre ( 54 km) vers la fin, qui va créer de gros écarts.
Dans les étapes de montagne il faudra du mouvement, il faudra creuser des écarts. (...) En fait c'est un Tour qui compte un peu de tout. Tout dépendra du niveau de forme dans lequel je serai et dans lequel nous serons tous", a-t-il conclu.

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"Les pavés, ce sera un défi" pour Froome.

Le vainqueur du Tour de France 2013, le Britannique Chris Froome, s'est dit "excité" par le tracé de l'édition 2014 révélé mercredi et souligne que les pavés qui jalonneront la 5e étape constitueront pour lui "un défi à relever".

Question: Que vous inspire ce tracé très exigeant ?

Réponse: "C'est un Tour équilibré qui teste tous les aspects du cyclisme, avec notamment des pavés auquel on n'est pas habitué. Il y a cinq arrivées au sommet, c'est plus que cette année et c'est une bonne chose pour moi. Et l'avant-dernière étape est un contre-la-montre individuel de plus de 50 kilomètres, c'est aussi quelque chose qui me convient. Quand on voit les écarts de cette années sur 30 et quelques kilomètres, les écarts sur 54 kilomètres pourraient être conséquents. Je suis excité par la perspective de ce Tour. Et je sais que je peux encore travailler, m'améliorer, apprendre... L'expérience de cette année va me servir."

Q: Redoutez-vous les pavés ?

R: "Je n'ai pas beaucoup couru sur des pavés dans ma carrière, ce sera un défi. Je sais que je ne suivrais pas les Fabian Cancellara ou Tom Boonen mais je ne pense pas être plus mauvais que Contador ou Quintana sur les pavés. Je n'ai pas peur. Ce sera un risque, un défi. Il faudra étudier de près cette étape et bien la préparer en tant qu'équipe pour minimiser les risques. Mais ça peut être aussi un endroit où on pourra prendre du temps sur d'autres coureurs pour le classement général. Je vois ça comme un défi à relever qui va rendre la course intéressante."

Q: Et le départ de Grande-Bretagne ne doit pas vous laisser insensible...

R: "C'est une énorme privilège d'avoir le Tour au Royaume-Uni. Et pour les milliers de fans qui sont venus nous soutenir ces dernières années, je ne peux qu'imaginer ce que ça va être. Si ça ressemble au jeux Olympiques, ce sera un sacré spectacle !"

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L'UCI va lancer un audit sur l'efficacité de sa lutte antidopage.

L'Union cycliste internationale (UCI), qui a changé de président fin septembre, a décidé mardi de lancer un audit sur l'efficacité de ses mesures de lutte contre le dopage.
Lors d'une réunion extraordinaire, le comité directeur de la fédération a approuvé "un certain nombre de décisions qui contribueront à rétablir la confiance envers l'UCI et à permettre à notre magnifique sport de reprendre sa marche en avant" selon les mots de Brian Cookson, qui a succédé à Pat McQuaid le 27 septembre.

L'une des plus principales mesures adoptées est "un audit complet des procédures de contrôle utilisées dans le cadre des opérations antidopage de l'UCI pour s'assurer de leur efficacité".

Le comité directeur s'est aussi entendu sur "les principes généraux qui présideront à la mise en place d'une Commission indépendante" chargée d'examiner si les précédents dirigeants de l'UCI ont protégé Lance Armstrong comme le sous-entendait le rapport de l'Agence antidopage américaine (USADA) l'an dernier.

"L'UCI va poursuivre ses discussions avec l'AMA (Agence mondiale antidopage) et d'autres acteurs du cyclisme pour finaliser le cadre de la Commission indépendante", précise le communiqué.

Le comité directeur a choisi également de réduire à 340.000 francs suisses (275.000 euros) les émoluments de son président, soit 110.000 francs de moins (90.000 euros) que la rémunération totale à laquelle pouvait prétendre le président.

La Fédération a nommé un nouveau directeur général, le Britannique Martin Gibbs, un juriste de formation qui avait dirigé la campagne à la présidence de Brian Cookson.

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AG2R-La Mondiale : Riblon déborde d'ambition.

Élu Vélo d'Or Français, Christophe Riblon a confié à Vélo Magazine ses prochains objectifs : les titres de champion du monde sur route et sur piste.
"J'ai l'objectif de revenir sur la piste pour être champion du monde. Si je m'y remets, c'est complètement dans mes cordes, a révélé Christophe Riblon dans les colonnes de Vélo Magazine qui vient de l’élire Vélo d’Or Français de la saison. Je n'ai pas pu en refaire ces dernières années parce que je me suis fixé de gros objectifs sur la route. Mais la piste j'adore, c'est une ambiance particulière, dans une enceinte fermée, avec le public-là, à cinq mètres de nous, j'adore vraiment. Ça me manque !"

Mais le vainqueur de l’Alpe d’Huez sur le dernier Tour de France ne s’arrête pas à ça.  
"Il y a aussi cet objectif d'être Champion de France sur route, ajoute le coureur de 32 ans. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que je ne finirai pas ma carrière sans le porter chez les pros. Un jour, j'aurai l'opportunité et je devrai la saisir. Après j'aimerai porter le maillot jaune, gagner une course par étapes du World Tour d'une semaine, et pourquoi pas arriver pour la victoire à Milan-San Remo."

Astana : Scarponi s'engage pour une saison.
En fin de contrat avec la Lampre, l'Italien Michele Scarponi (34 ans) s'est engagé pour une saison avec Astana.
Nouvelle recrue de choix pour Astana. Alexandre Vinokourov a officialisé l’arrivée de Michele Scarponi au sein de sa formation. En fin de contrat avec la Lampre, l’Italien, vainqueur du Giro en 2011, sera leader de l’équipe kazakhe sur le prochain Tour d’Italie, en mai prochain. Le coureur de 34 ans aura également pour rôle d’épauler Vincenzo Nibali sur le Tour de France.

B.Cooke à la retraite ?
Sans équipe depuis la fin de son contrat avec Orica GreenEDGE, Baden Cooke est à la recherche d'un dernier challenge.
Arrivé au terme de son contrat avec Orica GreenEDGE, Baden Cooke est actuellement sans formation pour la saison prochaine. Une situation qui pourrait bien le conduire à la retraite, même si le coureur australien aimerait se lancer un dernier défi. « Je pense que c’est fini pour moi. C’est une année compliquée pour le cyclisme avec la disparition de nombreuses équipes. Il y a une centaine de cyclistes sur le marché et c’est difficile de se faire une place, a-t-il confié Cooke à News Limited. Je parle actuellement avec une équipe World Tour, mais il y a peu de chance que j’y signe. Je ne sais pas ce que je vais faire l’année prochaine, et c’est difficile à vivre. C’est une honte si on m’impose de prendre ma retraite car je ne trouve pas d’équipe. Mais je ne suis en colère contre personne.
J’ai fait une belle carrière. Le maillot vert du Tour restera la plus belle chose que j’ai réalisée. »

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Déjà 9 équipes enregistrées, dont FDJ.fr et AG2R La Mondiale

UCI WorldTour. 50 % du peloton WorldTour est connu pour la saison prochaine. Hier, l'Union Cycliste Internationale a annoncé le nom des neuf premières équipes assurées de participer aux épreuves les plus prestigieuses du calendrier. On y retrouve notamment les deux Françaises Ag2r La Mondiale et FDJ.fr. La deuxième moitié devra patienter, soit à cause de la nécessité de renouveler leur licence comme pour Sky, Astana ou Movistar, soit parce qu'il s'agit d'une demande d'entrée dans le WorldTour comme pour le Team Europcar ou encore parce que l'équipe change de partenaire principal. C'est le cas de la future équipe Trek Factory Racing ou d'Argos-Shimano. Enfin quelques retards dans la procédure administrative obligent l'équipe Lotto-Belisol à patienter jusqu'au 10 décembre pour valider sa demande.

Les équipes UCI WorldTour 2014 validées :

   1- AG2R LA MONDIALE (FRA)
   2- BELKIN-PRO CYCLING TEAM (NED)
   3- BMC RACING TEAM (USA)
   4- CANNONDALE (ITA)
   5- FDJ.fr (FRA)
   6- GARMIN SHARP (USA)
   7- OMEGA PHARMA – QUICK STEP RACING TEAM (BEL)
   8- TEAM KATUSHA (RUS)
   9- TEAM SAXO BANK (DEN)

Les équipes UCI WorldTour 2014 en attente de validation :

• Argos-Shimano (PBS)
• Astana (KAZ)
• Lampre-Merida (ITA)
• Lotto-Belisol (BEL)
• Movistar Team (ESP)
• Orica-GreenEdge (AUS)
• Team Europcar (FRA)
• Team Sky (GBR)
• Trek Factory Racing (USA)

Continentale Professionnelle. À l'inverse du WorldTour, le peloton de la 2ème division en 2014 est déjà pratiquement entièrement connu. À dire vrai, il n'y a pas de grandes surprises si l'on compare la liste communiquée hier à celle déjà fournie par l'UCI au début du mois d'octobre. La Continentale Professionnelle sera constituée de 16 membres l'an prochain là où elle en comptait 20 cette année. Les disparitions des équipes Champion System, Crelan-Euphony, et Sojasun et le passage au WorldTour du Team Europcar sont à l'origine d'une telle désertion que seul le passage à l'échelon supérieur de Drapac vient contrebalancer. Notons cependant qu'un 17ème membre devra attendre le verdict définitif de la commission des licences le 10 décembre : Bretagne-Séché Environnement, pour retard administratif.

Les équipes Continentales Professionnelles 2014 validées :

   1- ANDRONI GIOCATTOLI (ITA)
   2- BARDIANI – CSF (ITA)
   3- CAJA RURAL – SEGUROS RGA (ESP)
   4- CCC POLSAT POLKOWICE (POL)
   5- COFIDIS, SOLUTIONS CRÉDITS (FRA)
   6- COLOMBIA (COL)
   7- DRAPAC PROFESSIONAL CYCLING (AUS)
   8- IAM CYCLING (SUI)
   9- MTN – QHUBEKA (RSA)
   10- RUSVELO (RUS)
   11- TEAM NETAPP – ENDURA (GER)
   12- TEAM NOVO NORDISK (USA)
   13- TOPSPORT VLAANDEREN – BALOISE (BEL)
   14- UNITEDHEALTHCARE PROFESSIONAL CYCLING TEAM (USA)
   15- WANTY – GROUPE GOBERT (BEL)
   16- YELLOW FLUO (ITA)

Formalités administratives pour Lotto.

Hier soir, l'Union Cycliste Internationale a communiqué le statut des licences pour le WorldTour 2014 aux équipes. Neuf équipes ont reçu immédiatement l'accès au WorldTour. Les neuf autres, dont Lotto Belisol, doivent encore illustrer quelques données nécessaires.

Les licences sont accordées en se basant sur des critères sportifs, éthiques, financiers et administratifs. La formation belge a tenu à rassurer ses supporters et précisant qu'elle avait obtenu feu vert sans objections en ce qui concerne le volet sportif, les critères éthiques et la garantie bancaire. L'UCI a simplement demandé à la Lotto Belisol d'accomplir uniquement deux formalités administratives afin d'obtenir une licence WorldTour pour 2014.

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Tour de France : Le coeur de Boonen " saigne "



Absent des deux dernières éditions de la Grande Boucle, la star belge Tom Boonen aimerait être de retour sur les routes du Tour de France en 2014.
Tom Boonen n’a pas participé aux deux dernières éditions du Tour de France, et visiblement, cela lui manque. Le Flamand, âgé de 33 ans, a confié au quotidien belge Het Laatste Nieuws qu’il aimerait participer à l’édition 2014 : "J’ai commencé à en discuter avec Patrick Lefevere et Wilfried Peeters avant même que le parcours ne soit connu. Mon cœur saigne, le Tour commence à me manquer. Surtout l’ambiance au sein de l’équipe, et le fait d’être tous unis derrière un même objectif."
Le quadruple vainqueur de Paris-Roubaix, qui a déjà remporté six étapes sur le Tour, a comme objectif l’étape d’Arenberg : "Je ne suis pas dégoûté par cette course. Je garde des bons souvenirs, notamment mes quatre jours passés en jaune et le maillot vert remporté en 2007. Aujourd’hui, les médias ne viendront plus me demander combien d’étapes je vais gagner. Nous avons Mark Cavendish dans l'équipe pour cela. Mais l'étape disputée sur les pavés vers Arenberg pourrait me convenir. Elle me fait envie !", a avoué le Belge mercredi.

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Un Grand Prix à Sarajevo.

Une course internationale sera organisée le 22 juin 2014 autour de Sarajevo pour le centenaire de la Première guerre mondiale et pour rassembler les communautés locales divisées par le conflit des années quatre-vingt-dix (près de 100 000 morts). C'est dans la capitale de Bosnie-Herzégovine que l'archiduc François-Ferdinand, héritier de l'empire austro-hongrois, avait été assassiné, évènement qui allait entraîner le conflit mondial entre 1914 et 1918. Quelque cent vingt cyclistes professionnels de vingt pays participeront à cette épreuve d'environ 150 kilomètres, qui passera dans les régions peuplées par les communautés serbe, croate et bosnienne.

Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, a confié qu'il s'agissait d'apporter un "message de paix et d'amitié. Dans l'histoire du Tour de France, depuis 1903 c'était la paix. Seules les deux guerres mondiales ont empêché l'organisation du Tour."
De son côté, Roland Gilles, ambassadeur de France en Bosnie-Herzégovine, a déclaré : "Chacun des participants sera revêtu d'un maillot jaune et cet immense peloton jaune qui reliera Sarajevo-Est (serbe) et Sarajevo (croato-musulmane) sera une belle image proposée aux jeunes générations tournées vers l'avenir".

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LE TOUR DE FRANCE 2015 PARTIRA D'UTRECH ( PAYS-BAS)

Comme en 2010, le Tour de France 2015 partira des Pays-Bas.

C'est officiel ! Après l'Angleterre en 2014, le Tour de France s'élancera à nouveau de l'étranger en 2015, avec un départ organisé à Utrecht, aux Pays-Bas. C'est le sixième départ de la Grande Boucle depuis la Hollande, après Rotterdam en 2010, et avec s-Hertogenbosch en 1996, Leiden en 1978, Scheveningen en 1973 et Amsterdam en 1954.
Par ailleurs, Amaury Sport Organisation, l'organisateur du Tour de France, révélera le parcours détaillé des premières étapes aux Pays-Bas lors d'une conférence de presse le 28 novembre prochain à Paris.

Utrecht, recalé en 2010.

A force d'abnégation, Utrecht obtient enfin son graal. La ville néerlandaise va pouvoir célébrer son Grand Départ en 2015. Déjà candidate en 2010, c'est finalement à Rotterdam qu'avait eu lieu les festivités du Tour. Utrecht s'était alors consolé avec l'arrivée de la deuxième étape du Tour d'Italie 2010, qui était parti d'Amsterdam.
Cette fois-ci, face à de nombreux concurrents comme Venise ou encore Barcelone, qui étaient également sur les rangs, la ville néerlandaise aurait débloqué un budget de dix millions d'euros pour l'organisation de ce départ.

Utrecht, grande ville universitaire.

Avec plus de 300 000 habitants, Utrecht est la quatrième ville des Pays-Bas. Son agglomération fait partie de la conurbation de la Randstad (7 100 000 habitants entre Amsterdam - La Haye - Rotterdam - Utrecht).
Située en plein centre du pays, cette ville est notamment connue pour sa cathédrale et son université (pratiquement 30 000 étudiants).

21e départ de l'étranger.

Pour ce départ d’Utrecht, le Tour prendra par conséquent son envol pour la vingt-et-unième fois hors de France, soixante ans après son premier départ de l'étranger, à Amsterdam.
L'épreuve est ensuite partie d'autres pays: Belgique, Allemagne, Suisse, Luxembourg, Espagne, Irlande, Royaume-Uni et Monaco.

Cancellara dernier vainqueur aux Pays-Bas.

En 2010, à l'occasion du dernier passage du Tour de France au "pays des tulipes", c'est le Suisse Fabian Cancellara (Team Saxo Bank) qui avait obtenu les honneurs en remportant le prologue à Rotterdam, devant Tony Martin (Team HTC-Columbia), et David Millar (Garmin-Transitions).

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LES INSCRIPTIONS POUR "L'ETAPE DU TOUR" S'OUVRENT LE 12 NOVEMBRE.

Depuis 22 ans, les fans de la petite reine qui se rêvent en coureurs cyclistes du Tour de France peuvent affronter une étape de la grande boucle. Le prochain rendez-vous est pris dimanche 20 juillet 2014, sur l'étape entre Pau et Hautacam. Les inscriptions s'ouvrent le 12 novembre.

En 2014, les organisateurs de la grande boucle ont réservé une étape de choix pour les amateurs. Il s'agira d'une étape de montagne, dans les Pyrénées. Les coureurs affronteront le fameux col du Tourmalet et la montée du Hautacam. L'épreuve de 148 km aura lieu le 20 juillet, quatre jours avant que les professionnels n'abordent la route.
Lors de la centième édition du Tour, 13.500 cyclistes amateurs s'étaient inscrits à l'Etape du Tour. Ils étaient 10.627 à franchir la ligne d'arrivée entre Annecy et Annecy-Semnoz.

Pour participer à l'édition 2014, il suffit de se connecter au site www.letapedutour.com.
Les 4.000 premières places seront à 75 euros, les suivantes à 95 euros.
Coup d'envoi des inscriptions le 12 novembre.

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Le Tour déborde de France.

Utrecht sera la sixième ville néerlandaise à accueillir le départ du Tour de France en 2015, un an après le départ depuis le Yorkshire. Le Tour est-il en train d'oublier la France ?
Non, les délocalisations de départ ont commencé il y a déjà 60 ans.


La Hollande, c’est l’autre pays du fromage. C’est aussi l’autre pays du Tour de France. En obtenant le départ de l'édition 2015, Utrecht est devenue la sixième ville néerlandaise à lancer la Grande Boucle. Même sans frontière avec la France, les Pays-Bas font mieux que la Belgique (4 départs) ou l’Allemagne (3 départs).



Le royaume avait d’ailleurs été la première terre de délocalisation, avec le départ d’Amsterdam dès 1954. Ce qui rappelle que les passages à l’étranger sont bien une tradition pour l’épreuve. Mais le mouvement est-il en train d’accélérer ? Oui, si on considère une série de 3 départs à l’étranger en 4 ans (Liège en 2012, Yorkshire en 2014 et Utrecht en 2015). La pratique est désormais d’un départ à l’étranger un an sur deux. Cette tendance existe déjà dans les années 70 avec quatre départs hors de l’Hexagone entre 1973 et 1980.



L’ouverture des frontières n’est pas réservée au Tour de France : le Tour d’Italie a adopté la même stratégie avec 11 départs délocalisés … et surtout des déplacements assez lointains aux Pays-Bas, au Danemark (2012) et bientôt en Irlande (Belfast en 2014). Seule la Vuelta est restée accrochée à son territoire espagnol, avec deux départs à l’étranger (Lisbonne et Assen). L’épreuve devait retourner aux Pays-Bas en 2015 mais le dossier de candidature a été retiré fin 2012.



Quelle sera la prochaine frontière franchie par le Tour de France ? Des candidatures ont déjà été évoquées au Canada ou au Japon. Le Qatar s’investit de plus en plus dans le cyclisme avec un Tour national et se verrait bien accueillir le Maillot Jaune et le peloton.
-Il existe des limites techniques, logistiques et aussi sportives, a expliqué à l’AFP  son directeur Christian Prudhomme. Pour moi, c'est un retour à vélo jusqu'aux frontières françaises, à la traversée de la Méditerranée ou de la Manche près. Il faut qu'on puisse rentrer en France en 3-4 jours, qu'il n'y ait pas de rupture.

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Mark Cavendish - Je sens que je vieillis.

Considéré comme le meilleur sprinteur au monde, Mark Cavendish a la réputation d'être un coureur sûr de lui, que rien ne peut ébranler. Dans une entrevue accordée au Telegraph, le Brittanique nous démontrer qu'il possède une science du sprint infaillible.

"Si je repère un circuit, je sais qu'après trois tours, je serai capable de vous dire où se trouvent tous les nids de poule." raconte Mark Cavendish. "Pour moi, c'est un calcul, une série de mouvements, de coups d'échec. Je ne réfléchis pas, j'agis. Au moment où le sprint démarre, mon rythme cardiaque est probablement plus lent de 20 ou 30 battements par minute que les autres gars."

L'ancien champion du monde raconte également qu'il stimule sans arrêt son esprit afin de développer sa logique, ce qui lui permet d'aborder les sprints d'une autre façon: "Beaucoup de coureurs entraînent leur corps mais pas leur esprit. Je fais constamment des jeux de logique et des puzzles, mon iPad en possède plein." Les championnats du monde de Copenhague en 2011 sont un bon exemple car il explique qu'il était conscient que le vent soufflait vers la gauche, et que le peloton serait naturellement la dérive dans cette direction. Donc il s'est placé à droite en attendant que la porte s'ouvre pour lancer son sprint.

Avec Peter Sagan, André Greipel, Marcel Kittel ou encore John Degenkolb, la concurrence est à ses trousses et Mark Cavendish est le premier à admettre que son mental ne suffit pas toujours: "Je sens que je vieillis. Je n'ai plus le punch. Je dois travailler mon sprint désormais, ce dont je n'avais pas besoin de faire auparavant."

Brian Holm, l'ancien directeur sportif de Cav' HTC-Highroad avait déclaré que Mark roulait mieux lorsqu'il était en colère. Le principal intéressé explique alors: "Dans une certaine mesure mais plus vraiment car j'ai appris à maîtriser ma colère, c'est un gaspillage d'énergie. Mais quand j'ai quelque chose à prouver, ce sera encore le cas. J'ai été relativement incontesté jusqu'à présent, et maintenant les gens remettent en question ma position de meilleur sprinteur au monde."

La suite..:

[MARGAUX]

merci pour toutes ces informations Woody----
he oui, un parcours assez cahotique --- et les pavés font peur    --- on devrait assister à un beau spectacle (si tout va bien !)

[Invité]

En parlant de pavés.......  


Rendez-vous sur les pavés de l’étape 5 / An... par tourdefrance

Et une belle vidéo du Yorkshire.


Made in Yorkshire par tourdefrance

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Frank Schleck : «On peut gagner le Tour.»

Après un an de suspension, Frank Schleck va retrouver la compétition en 2014 chez Trek, avec son frère Andy. Revanchard, le Luxembourgeois affiche de grosses ambitions.

Frank Schleck ne cache pas sa colère : après avoir purgé un an de suspension pour un contrôle positif à un diurétique pendant le Tour de France 2012, le grimpeur  luxembourgeois va enfin retrouver le peloton en 2014 chez Trek (qui succède à RadioShack) "Je suis fâché contre tout ce qui s'est passé. Mais les mauvaises ondes, je les transforme en motivation. J'ai faim. Faim de courir. Faim de faire des résultats ", a-t-il expliqué au Quotidien. "Je ne veux pas dire que je veux gagner Liège-Bastogne-Liège ou le Tour de France. Mais je veux retrouver mon ancien niveau. C'est le minimum que je me fixe. (…) Je sais que j'ai fait bien plus de kilomètres que les saisons précédentes."
Malgré la démonstration de Chris Froome, l’émergence de Nairo Quintana et la saison sans relief de son frère Andy (20e du Tour de France), Frank Schleck a gardé son ambition lors de sa suspension : "Je crois qu'on peut gagner le Tour, oui. " Car il estime le tracé idéal pour son frère et lui. Le grimpeur, victime d’une fracture de la clavicule sur les pavés lors du Tour 2010, imagine même prendre sa revanche : "Pourquoi ne pas faire un jour idéal du jour de l'étape des pavés du Tour de France. Moi et les pavés, cela reste ouvert, l'histoire n'est pas finie encore. Oui, je vais les affronter ce jour-là et ce sera le jour idéal. Il y aura une cassure et je vais me retrouver devant avec douze coureurs. Avec Andy, nous serons deux leaders dans le bon coup et on aura mis du temps à Froome et Nibali. Contador aussi. Quintana également : il n'aura encore jamais vu des pavés! Voilà mon jour idéal..."

A Paris-Nice et au Critérium international ?

Frank Schleck esquisse aussi son programme pour 2014 : "Ce n'est pas encore défini si je vais recommencer au Tour Down ou au Tour de San Luis", annonce-t-il. "Il y aura sans doute Paris-Nice qui sera mon premier test, pourquoi pas le Critérium international en Corse qui me convient bien et que j'ai déjà remporté, le Tour du Pays basque, les classiques ardennaises. Puis la préparation du Tour de France avec le Tour de Suisse."

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Quintana absent du Tour de France 2014?

En 2014, le Colombien, 2e de la Grande Boucle 2013, devrait préférer le Tour d'Italie au Tour de France.

Les deux hommes forts de l’équipe Movistar, Nairo Quintana et Alejandro Valverde, vont se partager les grandes courses à étapes en 2014. «Mon but est de m'aligner sur l'un des trois grands Tours, et de terminer une nouvelle fois sur le podium. Je veux donner des victoires et du bonheur à la Colombie», a confié le coureur colombien à Revista Mundo Ciclistico.

Sacré meilleur jeune, meilleur grimpeur et classé deuxième du général du dernier Tour de France, Nairo Quintana, 23 ans, aurait décidé cette année de se concentrer sur le Giro: selon nos confrères de la Gazzetta dello Sport, il aurait même déjà reconnu deux étapes de montagne du Tour d’Italie (9 mai - 1er juin). Le petit coureur avait déjà révélé sa préférence pour le Giro, «parce qu’il y a plus de montagnes, ce qui me correspond mieux».

Alejandro Valverde, 32 ans, devrait donc emmener l’équipe Movistar sur les routes de la Grande Boucle 2014 (5 juillet - 27 juillet). L’Espagnol a terminé 8e du classement général de l'édition 2013.

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Nairo Quintana a reconnu deux étapes du Giro.

Selon La Gazzetta dello Sport, le colombien Nairo Quintana aurait reconnu deux étapes du prochain Giro, qui se disputera du 9 mai au 1er juin. Les étapes reconnues par Quintana sont la 12ème et la 14ème, à savoir le 22 mai le contre-la-montre individuel long de 46,4 kilomètres, et le 24 mai une étape montagneuse de 162 kilomètres avec arrivée au sommet. De toute évidence, avec un parcours favorable aux grimpeurs, le coureur de la Movistar a en tête de briller sur le Tour d'Italie, et peut-être pas uniquement de réaliser une simple place d'honneur.

Juan José Cobo est toujours à la recherche d'une équipe.

L'Espagnol de 32 ans n'a pas l'intention de raccrocher son vélo et se dit prêt à étudier toutes les offres même s'il donne la priorité aux équipes WorldTour. Le vainqueur du Tour d'Espagne 2011 était membre de l'équipe Movistar depuis 2012 mais son contrat n'a pas été renouvelé.

Alberto Contador au Brésil.

Après avoir passé il y a quelques jours des tests en soufflerie en Californie aux Etats-unis, Alberto Contador a pris la semaine passée la direction du Brésil pour continuer à s'entraîner en vue de la saison à venir, mais aussi pour remplir des obligations auprès de certains de ses partenaires. Le champion espagnol a "posé" au pied de la statue du Christ du Corcovado qui surplombe Rio de Janeiro. Depuis son compte Twitter, Contador a déclaré : "C'est une ascension très difficile avec un final impressionnant". Pour rappel, cette ascension sera le final de la course en ligne des prochains Jeux Olympiques.

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LES SCHLECK Y CROIENT ENCORE.


Les frangins luxembourgeois voient 2014 comme le début d’une nouvelle carrière.



Deuxième et troisième du Tour de France 2011, Andy (qui a remporté sur tapis vert l’édition 2010) et Fränk Schleck ne figurent plus, désormais, parmi les favoris de la Grande Boucle.

Les plus célèbres frangins du cyclisme actuel évoluent en dessous de leur niveau depuis deux ans. Avec une longue chute dans les annales des classements, marquée notamment par la lourde chute du cadet au Dauphiné Libéré 2012 (fracture du sacrum) et le contrôle positif de l’aîné sur le Tour 2012.

Mais alors que ce dernier va effectuer son retour la saison prochaine dans l’équipe Trek, les frangins, toujours inséparables, veulent repartir du bon pied. "Mon frère n’a pas vécu de bons moments !" a évoqué Andy au sujet de la suspension et du licenciement de Fränk, dans Le Quotidien. "Mais dès que la saison 2013 s’est terminée, je me suis dit que nous pourrons débuter une nouvelle carrière en 2014. Nous avons tous les deux de l’expérience de moments intenses, dont certains n’ont pas été heureux. Mais cela va être un nouveau début, qui nous motive tous les deux."

Surtout qu’ils seront tous les deux papas l’an prochain (tout comme pour Steve, le troisième frère). Quelles ambitions ont-ils ? "Tout le monde me demande si je peux encore gagner le Tour de France…" continue Andy Schleck. "Cela reste mon rêve, mais peut-être que ce ne sera pas possible. C’est très difficile de répondre. Qui peut le dire ? La compétition est peut-être devenue bien plus relevée qu’il y a quatre ou cinq ans. Mais je reste, bien entendu, ambitieux. Et je veux simplement préparer la prochaine saison avec enthousiasme, aux côtés de mon frère, et prendre du plaisir dans le cyclisme."

Fränk partage l’avis de son cadet. "Je crois qu’on peut encore gagner le Tour de France ! D’ailleurs, le tracé de la prochaine édition semble parfait pour cela. Personnellement, je veux retrouver mon niveau. Si j’ai vécu des moments d’injustice avec ma suspension, j’ai tourné la page car je me suis dit qu’il y avait pire dans la vie, avec des gens qui tombent malades du jour au lendemain."

[Invité]

 Woody, je ne lis pas tous tes messages sur ce sujet mais quand même je regarde et je lis quelques passages.   

J'ai regardé sur le site du tour et j'ai remarqué qu'il n'y avait que 2 jours de repos : les 15 et 21 Juillet et pour un total de 3656 km (j'ai pris ma calculette...!) je trouve que tous ces coureurs ont beaucoup de courage et d'énergie de se lancer dans cette aventure...!    

Je remarque que tu nous parles déjà du tour 2015... c'est bien, on est jamais trop en avance !   

[Annick]

Woody , bravo !
Je ne suis pas sportive pour deux sous, mais j'admire tout ce travail que tu fais.
Information, présentation....c'est du beau boulot  

[Invité]

........je trouve que tous ces coureurs ont beaucoup de courage et d'énergie de se lancer dans cette aventure...!   

Je me projette plus d'un siècle en arrière....exactement 107 ans....





Si tu reprend ta calculatrice tu te rendra compte que le Tour 1906 faisait la bagatelle de 4545 Km....
sans aucune journée de repos....
sans aucune assistance technique....
avec des vélos pesant dans les 20 Kg et sans dérailleur...

DÉROULEMENT DE LA COURSE. ( 1906)

Dès la première étape, on retrouve des manifestants contre le Tour de France. Des clous sont jetés sur la route et tous les cyclistes, sauf Lucien Petit-Breton, crèvent. Le quotidien sportif L'Auto, organisateur de l'épreuve, titre en première page « Hooligan ». La première étape est remportée par Émile Georget au sprint. Dans la deuxième étape, René Pottier s'arrête après 175 kilomètres après un problème mécanique, et il perd 58 minutes pour le réparer. Les autres principaux prétendants à la victoire finale travaillent ensemble pour distancer définitivement Pottier. Mais celui-ci entame une poursuite de 200 kilomètres, il les rattrape à 25 kilomètres de l'arrivée, et remporte finalement l'étape avec une marge de 1 minutes et 30 secondes sur Lucien Petit-Breton et plus de 9 minutes sur les autres. Dans la troisième étape, quatre cyclistes (Julien Gabory, Henri Gauban, Gaston Tuvache et Maurice Carrere) sont disqualifiés pour avoir pris le train. Le Ballon d'Alsace, qui avait été le premier véritable col franchi de l'histoire du Tour de France l'année précédente, est de nouveau au programme. Tout comme l'année précédente, c'est Pottier qui le grimpe en tête. Il remporte également l'étape avec plus de trois quarts d'avance sur le reste des coureurs. Pottier s'impose également lors de la quatrième étape. Dans la cinquième étape, il se retrouve seul en tête avec une heure d'avance à la mi-course. Il décide de s'arrêter, entre dans un bar, commande une bouteille de vin, et la boit presque entièrement. Lorsqu'il il voit passer ses poursuivants une heure après, Pottier remonte sur son vélo, les rejoint et remporte l'étape.

À ce stade de la course, Pottier est largement en tête du classement général. Le vainqueur du Tour de France 1905, Louis Trousselier, qui a eu une mauvaise première moitié de Tour, est loin derrière avec de nombreux points de retard. Cependant, il retrouve la forme dans la deuxième moitié de la course et remporte les 7e, 9e, 10e et 11e étapes, et se replace pour la bataille de la deuxième place. Georges Passerieu propriétaire de la deuxième place, défend sa position en remportant la 12e étape. Dans la dernière étape, Pottier conclut son succès au classement final en gagnant l'étape, après avoir battu au sprint son dauphin Georges Passerieu.
Émile et Léon Georget sont les premiers frères à terminer le Tour.

Un petit coup de gueule...


LE TOUR DE FRANCE A VÉLO :

C'est dingue, non ? Fut un temps où le Tour avait une forme hexagonale. Dès ses débuts, le Tour avait un sens et une forme et il justifiait son nom. Il était facile à expliquer à un étranger ou un enfant : tu vois la France ? Eh bien, des gars à vélo essaient d'en faire le tour le plus vite possible, une fois par an pendant trois semaines en juillet, au début ils partaient de Paris, désormais ils arrivent à Paris. Hop, le tour est joué !


Le Tour de France 1906 : enlevez la carte derrière, ne gardez que le tracé du Tour, et vous reconnaissez la France ! J'appelle cela un vrai tour.



Le Tour de France 1919 continue de respecter le bord des côtes et des frontières .



Le Tour de France 1947 garde belle allure, il ne s'aventure pas au centre : il fait le grand tour.



En 1974, la mode des pointillés s'installe, mais on voit la bonne intention de continuer à tracer un tour.



2013, tout le monde avale des substances dopantes à effet hallucinogène. Le gars chargé de tracer le Tour en prend aussi. Quand il rend sa copie personne ne peut le contrarier. (ils sont tous dans le même état.) Si ils continuent comme ça, une année prochaine ils proposeront un Tour en forme cubique, ou en forme de S avec deux barres verticales dedans pour attirer les sponsors US (deux allers-retours Lille-Perpignan), ou n'importe quoi d'autre, comme par exemple un Tour en croissant de lune pour complaire à "la diversité".

[Annick]

Woody, en regardant tes cartes de France des années antérieures, là on voit bien que le Tour de France porte bien son nom, c'était vraiment tout le tour de la France. 

[Invité]

DISPARITION DE L'ANCIEN PROFESSIONNEL ARRAGEOIS ALBERT PLATEL.

Né il y a 80 ans à Sainte-Catherine-lez-Arras, Albert Platel est décédé des suites d’une longue maladie.
Fils de marbrier (son père, également prénommé Albert, fut président de l’Arras Vélo-club), Albert Platel s’est révélé sur Paris-Nice en 1953, en remportant une étape et en étant leader de la course au soleil qui s’appelait alors Paris-Côte d'Azur. Il portait les couleurs de l’équipe Bertin. Il remporta à nouveau une étape de Paris-Nice en 1957. Parmi les autres titres à son palmarès, il s’imposa à deux reprises sur le Circuit des Ardennes et remporta le Tour du Nord en 1953. Il termina également deuxième du Paris-Arras 1952. S’il ne participa jamais au Tour de France, il fut aligné sur la Vuelta 1957.
Il dut écourter sa carrière professionnelle pour prendre la succession de son père à la tête de la marbrerie familiale.

Mais qui est ce Platel ?
C'est un jeune d'Arras qui n'a pas encore vingt ans. Son anatomie est digne d'uns statue, ce qui n'est pas étonnant, me direz-vous, car son père est marbrier. Comme d'autres articles de La Voix des Sports ou de Miroir Sports et des photos en noir et blanc bien conservées, La coupure jaunie de L'Aurore témoigne d'un fulgurant début de carrière professionnelle.

Le 13 mars 1953, Albert Platel a 19 ans et demi quand il s'échappe dans la deuxième étape de Paris-Côte d'Azur pour s'imposer à Saint-Étienne. Le jeune Arrageois fait coup double en revêtant le maillot jaune. Je l'ai perdu le dernier jour. Je n'avais aucune expérience, je n'ai pas pu répondre à toutes les attaques . Albert Platel a commencé le vélo à 16 ans. Son père, ancien coureur devenu marbrier, avait a été un des fondateurs du Arras Vélo-club. Il l'a fait engager dans l'équipe professionnelle Bertin, un marchand de cycles arrageois. Cette victoire dans Paris-Nice reste son meilleur souvenir. Je faisais mes débuts, c'était presque exceptionnel. Un talent pur qu'il exprime aussi bien au sprint qu'en échappé. Les commentaires de l'époque mettent en avant « la classe de grand routier de Platel ». Cette même année, il court Paris-Roubaix, où il crève deux fois sur les pavés. Mais pas le Tour de France. J'étais pressenti, j'ai décliné... J'étais trop jeune, c'était trop dur. L'espoir était appelé à un bel avenir. Hélas, son élan va être coupé net avec l'armée. Deux ans mobilisé à Berlin, et pas au Bataillon de Joinville... malgré une demande restée « en attente » sur le bureau de Guy Mollet. Une « rupture complète ».

En 1957, Albert Platel participe avec l'équipe de France au Tour d'Espagne. J'ai aussi fait le Tour d'Europe avec Roger Rivière.
Mais jamais le Tour de France, son regret. J'ai arrêté tôt, à 25-26 ans. Un pro s'entraînait alors deux fois par semaine et gagnait peu d'argent. Même pas le smic... dit en souriant celui qui travailla dans la marbrerie familiale qu'il reprendra au décès accidentel de son père, en 1964. Son « esprit de compétition », il l'exprimera dès lors dans son métier. J'ai toujours voulu gagner, et je n'ai pas trop mal réussi. Du vélo, il lui reste des archives, des souvenirs qu'il partage peu. Le dopage ? Il élude le sujet. Il préfère se souvenir des hommes. Surtout Jean Stablinski, avec qui il a débuté dans la région, et Jacques Anquetil. Il n'était pas aimé, il gagnait trop. Pourtant, c'était un gars fort gentil.

[lilas]

Merci Woody...

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