L’actualité de saison
*
*
Derniers sujets
Navigation et S.O.S.
*
en cas de non accès
au forum
Info..navigation
en cas de non accès
au forum
Info..navigation
PAGE DE SECOURS
d'affichage
clic
***********
****
clic
/////////////////
Un souci sur le PC
avant de le
posez votre question
clic => accès <=
*
posez votre question
clic => accès <=
*
Les morts suspectes
+2
Annick
Shalimar
6 participants
Page 1 sur 1
Les morts suspectes
"La mort touchera de ses ailes celui qui dérangera le sommeil du pharaon"....
Cette inscription, détruite en même temps que sont brisés les sceaux de l'histoire.
Le 17 février 1923, Howard Caartere et Lord Camarvon, l'archéologue et le mécène de l'expédition, se préparent à ouvrir le tombeau.
Un contremaître les met en garde.
Ils mourront s'ils violent le repos de Toutankhamon.
A l'intérieur se trouvent des statues, des armes, des vases de l'or, des bijoux ainsi que le sarcophage et les restes momifiés du jeune roi.
Quelques jours plus tard, le docteur White, l'un des collaborateurs sombre dans une dépression nerveuse et il se pend.
Dans une lettre d'adieu, il écrit : "j'ai succombé à une malédiction qui m'a forcé à disparaître "
En mars 1923, Lord Carnavon succombe à une piqûre de moustique qui s'infecte et provoque une septicémie
En tout, 27 personnes, toutes mêlées à l'affaire, décèdent dans des circonstances mystérieuses.....
Explication ?
En 1985, le Docteur Stenger Philipp fournit une explication plausible....
D'après des indices, les véritables coupables seraient des substances organiques (fruits et légumes retrouvés dans la tombe)
Ces produits auraient formé des moisissures ainsi que des particules de poussière organique, fortement allergènes et dangereuses
http://www.linternaute.com/science/histoires-de-science/toutankhamon/toutankhamon.shtml
http://deessebastet.e-monsite.com/rubrique,toutankhamon,1606717.html
Cette inscription, détruite en même temps que sont brisés les sceaux de l'histoire.
Le 17 février 1923, Howard Caartere et Lord Camarvon, l'archéologue et le mécène de l'expédition, se préparent à ouvrir le tombeau.
Un contremaître les met en garde.
Ils mourront s'ils violent le repos de Toutankhamon.
A l'intérieur se trouvent des statues, des armes, des vases de l'or, des bijoux ainsi que le sarcophage et les restes momifiés du jeune roi.
Quelques jours plus tard, le docteur White, l'un des collaborateurs sombre dans une dépression nerveuse et il se pend.
Dans une lettre d'adieu, il écrit : "j'ai succombé à une malédiction qui m'a forcé à disparaître "
En mars 1923, Lord Carnavon succombe à une piqûre de moustique qui s'infecte et provoque une septicémie
En tout, 27 personnes, toutes mêlées à l'affaire, décèdent dans des circonstances mystérieuses.....
Explication ?
En 1985, le Docteur Stenger Philipp fournit une explication plausible....
D'après des indices, les véritables coupables seraient des substances organiques (fruits et légumes retrouvés dans la tombe)
Ces produits auraient formé des moisissures ainsi que des particules de poussière organique, fortement allergènes et dangereuses
http://www.linternaute.com/science/histoires-de-science/toutankhamon/toutankhamon.shtml
http://deessebastet.e-monsite.com/rubrique,toutankhamon,1606717.html
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Et oui, mais c'est vrai que longtemps on a cru à cette malédiction du jeune Pharaon .
Merci pour ce rappel , Campanule.
Merci pour ce rappel , Campanule.
Shalimar- Date d'inscription : 04/10/2010
Nombre de messages : 2177
Re: Les morts suspectes
Merci à toi d'être passée Shalimar
La voiture de James Dean
Le monde entier pleure la mort de James Dean en 1955.
C'était au volant de sa porche.
Le véhicule est restauré et il est vendu aux enchères.
Mais à peine chargé sur le camion qui la transporte....elle se détache de la remorque et brise la cheville du mécanicien
Elle est revendue à un amateur de voiture de course....il trouve la mort presque aussitôt dans une compétition, à la suite d'une crevaison simultanée de deux pneus neufs
La carcasse de la voiture est exposée à l'occasion d'une campagne pour la sécurité routière.....elle glisse de l'estrade et blesse un adolescent
Lors d'un transport, les freins du camion lâchent et il entre dans la devanture d'un magasin.....
La voiture est finalement brisée en onze morceaux lors d'une exposition avant de disparaître mystérieusement lors d'un voyage à Los Angeles
Explication : aucune
La voiture de James Dean
Le monde entier pleure la mort de James Dean en 1955.
C'était au volant de sa porche.
Le véhicule est restauré et il est vendu aux enchères.
Mais à peine chargé sur le camion qui la transporte....elle se détache de la remorque et brise la cheville du mécanicien
Elle est revendue à un amateur de voiture de course....il trouve la mort presque aussitôt dans une compétition, à la suite d'une crevaison simultanée de deux pneus neufs
La carcasse de la voiture est exposée à l'occasion d'une campagne pour la sécurité routière.....elle glisse de l'estrade et blesse un adolescent
Lors d'un transport, les freins du camion lâchent et il entre dans la devanture d'un magasin.....
La voiture est finalement brisée en onze morceaux lors d'une exposition avant de disparaître mystérieusement lors d'un voyage à Los Angeles
Explication : aucune
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
La mort de Louis Renault
Louis Renault, géant des voitures automobiles, mourrait dans un hôpital à Paris après son transfert de la prison de Fresnes.
On dit à l'époque que la mort fut provoqué par une crise d'urémie mais cet homme aurait été torturé et frappé à la tête.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/05/12/les-heritiers-renault-assignent-l-etat-en-justice_1521232_3224.html
une vidéo d'Alain Decaux
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-economique/video/CPB86007924/la-tragedie-de-louis-renault.fr.html
Louis Renault, géant des voitures automobiles, mourrait dans un hôpital à Paris après son transfert de la prison de Fresnes.
On dit à l'époque que la mort fut provoqué par une crise d'urémie mais cet homme aurait été torturé et frappé à la tête.
Au lendemain de la libération de Paris, en septembre 1944, Louis Renault avait été arrêté et emprisonné à Fresnes sous l'accusation de "collaboration avec l'ennemi". Malade, aphasique, l'industriel était mort en détention le 24 octobre sans avoir été jugé. Moins d'un mois plus tard, le 16 novembre, le projet d'ordonnance "portant confiscation et nationalisation des usines Renault" était soumis aux membres du gouvernement provisoire de la République française.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/05/12/les-heritiers-renault-assignent-l-etat-en-justice_1521232_3224.html
une vidéo d'Alain Decaux
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-economique/video/CPB86007924/la-tragedie-de-louis-renault.fr.html
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Je ne connaissais pas cet épisode Renault.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: Les morts suspectes
Moi non plus mais il y a un livre qui est sorti, il n'y a pas très longtemps et je m'y suis un peu intéressée
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Merci Campanule
on en apprend à la lecture de ce topic...
@ suivre
on en apprend à la lecture de ce topic...
@ suivre
Z06- Admin
- Age : 74
Date d'inscription : 07/05/2008
Nombre de messages : 46442
Re: Les morts suspectes
pour la malédiction je savais j'avais vu un reportage
merci campanule
merci campanule
manany- Age : 76
Date d'inscription : 07/05/2008
Nombre de messages : 35940
Re: Les morts suspectes
Merci à vous d'être passés
LES MOINES DE TIBHIRINE
Le dernier moine de Tibhirine témoigne :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/02/05/01016-20110205ARTFIG00005-le-dernier-moine-de-tibhirine-temoigne.php
Que s'est-il passé réellement ?
Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, sept moines trappistes du Monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés lors de la guerre civile algérienne, et séquestrés pendant deux mois. L'assassinat des moines est annoncé le 21 mai 1996, dans un communiqué attribué au Groupe islamique armé. Les têtes des moines décapités ne sont retrouvées que le 30 mai 1996, non loin de Medea, mais pas leurs corps, ce qui suscite les doutes sur la thèse officielle expliquant leur décès.
Les commanditaires de cet enlèvement, leur motivation ainsi que les causes réelles de l'assassinat font l'objet de débats. La version qui a longtemps prévalu est celle d'une culpabilité du Groupe islamique armé. Elle est remise en cause par une thèse qui défend une manipulation des services secrets algériens, visant à faire porter la responsabilité aux islamistes. Une troisième thèse reposant sur le témoignage d'un ex-officier supérieur français, envisage une bavure de l'armée algérienne, dissimulée ensuite par celle-ci.
source : wikipédia
LES MOINES DE TIBHIRINE
Le dernier moine de Tibhirine témoigne :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/02/05/01016-20110205ARTFIG00005-le-dernier-moine-de-tibhirine-temoigne.php
Que s'est-il passé réellement ?
Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, sept moines trappistes du Monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés lors de la guerre civile algérienne, et séquestrés pendant deux mois. L'assassinat des moines est annoncé le 21 mai 1996, dans un communiqué attribué au Groupe islamique armé. Les têtes des moines décapités ne sont retrouvées que le 30 mai 1996, non loin de Medea, mais pas leurs corps, ce qui suscite les doutes sur la thèse officielle expliquant leur décès.
Les commanditaires de cet enlèvement, leur motivation ainsi que les causes réelles de l'assassinat font l'objet de débats. La version qui a longtemps prévalu est celle d'une culpabilité du Groupe islamique armé. Elle est remise en cause par une thèse qui défend une manipulation des services secrets algériens, visant à faire porter la responsabilité aux islamistes. Une troisième thèse reposant sur le témoignage d'un ex-officier supérieur français, envisage une bavure de l'armée algérienne, dissimulée ensuite par celle-ci.
source : wikipédia
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Le juge Renaud, surnommé le shérif n'a jamais été élucidée
Dans la nuit du 2 au 3 juillet 1975, le bouillant juge Renaud, surnommé « le shérif » pour ses méthodes de hussard de la magistrature lyonnaise, est abattu à bout portant devant son domicile de la montée de l’Observance (9e).
Il rentrait d’une soirée chez des amis, avec sa compagne Geneviève, qui n’a pu assister qu’impuissante et pétrie de terreur à la mise à mort du juge par un commando de trois hommes, arrivés en voiture.
Dans la nuit du 2 au 3 juillet 1975, le bouillant juge Renaud, surnommé « le shérif » pour ses méthodes de hussard de la magistrature lyonnaise, est abattu à bout portant devant son domicile de la montée de l’Observance (9e).
Il rentrait d’une soirée chez des amis, avec sa compagne Geneviève, qui n’a pu assister qu’impuissante et pétrie de terreur à la mise à mort du juge par un commando de trois hommes, arrivés en voiture.
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Mort de Philippe de Dieuleveult
Philippe de Dieuleveult est issu d'une famille bretonne anoblie en 1816.
Il a trois enfants avec Diane de Torquat, sa fille Anaïd naîtra quelques jours après sa disparition.
Il est reporter sur Antenne deux.
Il anime la chasse aux trésors qui remporte un franc succès.
Il sait prendre des risques.
Parallèlement à ces activités dans les médias, il aurait appartenu aux services secrets français.
Cette appartenance a été révélée par son frère Jean et a été confirmée par son fils Tugdual.
En 1985, Philippe de Dieuleveult entreprend la descente en raft avec une dizaine de compagnons du fleuve Zaïre.
Le 6 août 1985, sa radio cesse d'émettre. Il disparaît mystérieusement avec six autres membres de l'opération aux environs du barrage hydroélectrique d'Inga.
Les conditions de la disparition de Philippe de Dieuleveult restent encore peu claires - noyade, accident, assassinat ?
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/interview-mort-de-philippe-de-dieuleveult-les-preuves-qui/920/0/283377
http://www.ladepeche.fr/article/2008/10/14/481711-Philippe-de-Dieuleveult-n-est-pas-mort-noye-affirme-le-magazine-XXI.html
Philippe de Dieuleveult est issu d'une famille bretonne anoblie en 1816.
Il a trois enfants avec Diane de Torquat, sa fille Anaïd naîtra quelques jours après sa disparition.
Il est reporter sur Antenne deux.
Il anime la chasse aux trésors qui remporte un franc succès.
Il sait prendre des risques.
Parallèlement à ces activités dans les médias, il aurait appartenu aux services secrets français.
Cette appartenance a été révélée par son frère Jean et a été confirmée par son fils Tugdual.
En 1985, Philippe de Dieuleveult entreprend la descente en raft avec une dizaine de compagnons du fleuve Zaïre.
Le 6 août 1985, sa radio cesse d'émettre. Il disparaît mystérieusement avec six autres membres de l'opération aux environs du barrage hydroélectrique d'Inga.
Les conditions de la disparition de Philippe de Dieuleveult restent encore peu claires - noyade, accident, assassinat ?
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/interview-mort-de-philippe-de-dieuleveult-les-preuves-qui/920/0/283377
http://www.ladepeche.fr/article/2008/10/14/481711-Philippe-de-Dieuleveult-n-est-pas-mort-noye-affirme-le-magazine-XXI.html
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Pour Dieuleveult, j'avais effectivement lu qu'il travaillait pour les services secrets français et que son émission à la télévision lui servait de couverture.
On ne saura jamais ce qu'il lui est arrivé.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: Les morts suspectes
Bonjour à toutes et tous !
Merci à toi Campanule d'avoir ouvert ce fil ....mais les morts suspectes et mystèrieuses ne manquent pas !!
Que dire de la mort de Robert Boulin ? ( dans les années 70 ) ....de celle de Pierre Bérégovoy ?.... sans oublier celle de Coluche ..................!
Nous avons eu des versions " officielles" , mais à chacun d'en tirer les conclusions qu'il voudra !!
En plus de la mort de gens ou personnalités connus , combien d'autres ne nous parviennent pas ???
Bises à toi Campanule !
Merci à toi Campanule d'avoir ouvert ce fil ....mais les morts suspectes et mystèrieuses ne manquent pas !!
Que dire de la mort de Robert Boulin ? ( dans les années 70 ) ....de celle de Pierre Bérégovoy ?.... sans oublier celle de Coluche ..................!
Nous avons eu des versions " officielles" , mais à chacun d'en tirer les conclusions qu'il voudra !!
En plus de la mort de gens ou personnalités connus , combien d'autres ne nous parviennent pas ???
Bises à toi Campanule !
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Merci à toi d'être passé Thierry, oui, la fille de Robert Boulin se bat afin qu'on sache la vérité en ce qui concerne la mort de son père.
Pierre Bérégovoy avait été complètement "lâché" par ses disciples.....
Coluche, on sait que le chauffeur de camion est complètement responsable de l'accident...
Pierre Bérégovoy avait été complètement "lâché" par ses disciples.....
Coluche, on sait que le chauffeur de camion est complètement responsable de l'accident...
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Le plus grand violoniste de tous les temps, Nicolo Paganini, mourut à Nice le 27 mai 1840 dans d’étranges circonstances. L’évêque de Nice interdit qu’il eût une sépulture chrétienne. Son cadavre disparut. Une histoire de tous les diables !…
Etrange histoire....
Le 27 mai 1840 se répandit dans le Vieux Nice une étrange nouvelle : «Le diable est mort !»
Le diable ? Ainsi était surnommé l’illustre violoniste Nicolo Paganini. Celui-ci venait en effet de mourir au 23, rue du Gouvernement. (Aujourd’hui : rue de la Préfecture).
suite de l'article :
http://membres.multimania.fr/paganweb/paganweb/guitar_tabs/la_mort_etrange_de_paganini.htm
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Que l'âme de Paganini repose enfin en paix !
Un bel hommage de Yehudi Menuhin :
https://www.youtube.com/watch?v=nz4_XZ_XCM8&feature=fvst
Un bel hommage de Yehudi Menuhin :
https://www.youtube.com/watch?v=nz4_XZ_XCM8&feature=fvst
bachata- Date d'inscription : 22/09/2009
Nombre de messages : 8069
Re: Les morts suspectes
La mort de Federico Garcia Lorca est l'un des épisodes les plus énigmatiques de la guerre civile. A l'époque, en 1936, Lorca est déjà un poète et un dramaturge reconnu. Il est républicain et homosexuel. Autant de raisons pour exaspérer ceux qui, après le soulèvement du général Franco, viennent d'entreprendre une «croisade» pour rechristianiser le pays. La guerre le surprend à Grenade où il passe quelques jours avec sa famille. Très vite, les militaires insurgés s'emparent de la ville, mais les villages alentour restent contrôlés par les républicains. Les combats sont terribles. La répression est sanglante. Les collines de Viznar sont le théâtre d'exécutions sommaires. Les derniers témoins oculaires décrivent des talus jonchés de cadavres.
La famille Lorca est harcelée. Federico s'est réfugié chez son ami le poète Luis Rosales. Mais, le 16 août, il est débusqué par Ramon Luis Alonso, un militaire phalangiste qui se vantera d'avoir fait de l'arrestation du poète rouge une affaire personnelle. Trois jours plus tard à l'aube, sans charges ni jugement, Federico Garcia Lorca est passé par les armes et jeté, semble-t-il, au bord du chemin de Viznar, en même temps que Francisco Galadi et Joaquin Arcollias Cabezas, deux militants anarchistes, ainsi que Dioscoro Galindo, l'instituteur d'un village voisin. Ils sont enterrés ensemble, raconte la mémoire locale. Mais où?
Le régime de Franco décide l'interdiction totale de ses œuvres jusqu'en 1953 quand Obras completas (très censuré) est publié.
En 1956 on érige le premier monument à García Lorca. C'est bien sûr, loin de l'Espagne de Franco, en Amérique du Sud, dans la ville de Salto, en Uruguay, grâce à l'initiative de son ami américain, l'écrivain Enrique Amorim. On construit un mur en briques de béton, à la rivière du fleuve Uruguay. Sur la surface du mur on lit le poème de Antonio Machado, qui regrette la mort de García Lorca à Grenade.
Ce n'est qu'avec la mort de Franco en 1975 que la vie et le décès de Lorca sont discutés librement en Espagne. De nos jours, une statue de Lorca est en évidence sur la Plaza de Santa Ana à Madrid. En 2008, la justice espagnole accepte que la fosse commune dans laquelle est enterré le poète soit ouverte dans l’intimité, en présence de la seule famille. Toutefois, de nombreuses controverses existent sur la présence de la dépouille du poète dans cette fosse commune. En effet, des recherches, effectuées pendant plusieurs semaines, en vue d'une exhumation, sont abandonnées le 18 décembre 2009. On ignore si le poète a effectivement été assassiné dans le champ d'Alfacar ou s'il a été transféré dans un lieu inconnu.
https://www.dailymotion.com/video/xfuum6_zorongo-gitano-federico-garcia-lorca_creation
https://www.dailymotion.com/video/xip570_federico-garcia-lorca-la-guitarra_creation
La famille Lorca est harcelée. Federico s'est réfugié chez son ami le poète Luis Rosales. Mais, le 16 août, il est débusqué par Ramon Luis Alonso, un militaire phalangiste qui se vantera d'avoir fait de l'arrestation du poète rouge une affaire personnelle. Trois jours plus tard à l'aube, sans charges ni jugement, Federico Garcia Lorca est passé par les armes et jeté, semble-t-il, au bord du chemin de Viznar, en même temps que Francisco Galadi et Joaquin Arcollias Cabezas, deux militants anarchistes, ainsi que Dioscoro Galindo, l'instituteur d'un village voisin. Ils sont enterrés ensemble, raconte la mémoire locale. Mais où?
Le régime de Franco décide l'interdiction totale de ses œuvres jusqu'en 1953 quand Obras completas (très censuré) est publié.
En 1956 on érige le premier monument à García Lorca. C'est bien sûr, loin de l'Espagne de Franco, en Amérique du Sud, dans la ville de Salto, en Uruguay, grâce à l'initiative de son ami américain, l'écrivain Enrique Amorim. On construit un mur en briques de béton, à la rivière du fleuve Uruguay. Sur la surface du mur on lit le poème de Antonio Machado, qui regrette la mort de García Lorca à Grenade.
Ce n'est qu'avec la mort de Franco en 1975 que la vie et le décès de Lorca sont discutés librement en Espagne. De nos jours, une statue de Lorca est en évidence sur la Plaza de Santa Ana à Madrid. En 2008, la justice espagnole accepte que la fosse commune dans laquelle est enterré le poète soit ouverte dans l’intimité, en présence de la seule famille. Toutefois, de nombreuses controverses existent sur la présence de la dépouille du poète dans cette fosse commune. En effet, des recherches, effectuées pendant plusieurs semaines, en vue d'une exhumation, sont abandonnées le 18 décembre 2009. On ignore si le poète a effectivement été assassiné dans le champ d'Alfacar ou s'il a été transféré dans un lieu inconnu.
https://www.dailymotion.com/video/xfuum6_zorongo-gitano-federico-garcia-lorca_creation
https://www.dailymotion.com/video/xip570_federico-garcia-lorca-la-guitarra_creation
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Comme ce sujet vous passionne je terminerai ainsi
JFK
En ce vendredi 22 novembre 1963, John Kennedy, 35e président des Etats-Unis depuis 1960, visite Dallas au Texas, étape de sa tournée en vue de sa candidature à la réélection l’année suivante.
Le temps est splendide et le jeune président, accompagné de sa femme, prennent place dans une limousine décapotable, à l’aéroport de Dallas à 11 h 51.
Comme le cortège arrive dans le centre ville, des coups de feu éclatent : touché à la tête, Kennedy s’effondre dans la voiture. Il est alors 12 h 30.
Ce sont trois coups de fusil qui ont été tirés du cinquième étage d’une maison proche du parcours officiel.
Sur un film amateur, on peut constater la panique qui règne au sein du cortège.
Jacqueline Kennedy hurle en se penchant vers son mari, puis essaye de récupérer à l’arrière de la voiture un fragment du crâne de son mari.
Un garde court vers la voiture et saute à bord pour protéger le Président mais il est déjà trop tard.
Une course folle s’engage vers l’hôpital où le président est admis à 12 h 38. Malheureusement, il meurt 30 minutes après l’attentat sans avoir jamais repris connaissance.
Juste après les détonations, un homme est arrêté. Il s’agit de Lee Harvey Oswald. C’est un ancien soldat du corps des marines.
Il sera lui-même assassiné la veille de l’inhumation du président par Jacob Rubinstein, dit Jack Ruby, bien connu des services de police.
Oswald ayant été le seul acteur direct supposé de l’assassinat, les circonstances précises de la mort de Kennedy n’ont, jusqu’à aujourd’hui, jamais été officiellement élucidées.
Les véritables responsables sont toujours restés dans l’ombre.
JFK
En ce vendredi 22 novembre 1963, John Kennedy, 35e président des Etats-Unis depuis 1960, visite Dallas au Texas, étape de sa tournée en vue de sa candidature à la réélection l’année suivante.
Le temps est splendide et le jeune président, accompagné de sa femme, prennent place dans une limousine décapotable, à l’aéroport de Dallas à 11 h 51.
Comme le cortège arrive dans le centre ville, des coups de feu éclatent : touché à la tête, Kennedy s’effondre dans la voiture. Il est alors 12 h 30.
Ce sont trois coups de fusil qui ont été tirés du cinquième étage d’une maison proche du parcours officiel.
Sur un film amateur, on peut constater la panique qui règne au sein du cortège.
Jacqueline Kennedy hurle en se penchant vers son mari, puis essaye de récupérer à l’arrière de la voiture un fragment du crâne de son mari.
Un garde court vers la voiture et saute à bord pour protéger le Président mais il est déjà trop tard.
Une course folle s’engage vers l’hôpital où le président est admis à 12 h 38. Malheureusement, il meurt 30 minutes après l’attentat sans avoir jamais repris connaissance.
Juste après les détonations, un homme est arrêté. Il s’agit de Lee Harvey Oswald. C’est un ancien soldat du corps des marines.
Il sera lui-même assassiné la veille de l’inhumation du président par Jacob Rubinstein, dit Jack Ruby, bien connu des services de police.
Oswald ayant été le seul acteur direct supposé de l’assassinat, les circonstances précises de la mort de Kennedy n’ont, jusqu’à aujourd’hui, jamais été officiellement élucidées.
Les véritables responsables sont toujours restés dans l’ombre.
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Je me souviens bien de cette journée, et de ce que j'étais entrain de faire à ce moment là.
Cet évènement nous avait tous marqués.
Oswald a tiré mais on ne sait qui a armé son bras.
On a évoqué un rôle de la mafia et j'avais même entendu que le Président Johnson qui a pris l'intérim derrière Kennedy n'était pas blanc blanc dans cette affaire.
Les archives secrètes "parleront" peut-être dans quelques années, en Histoire, c'est toujours ainsi, il faut attendre pour savoir.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: Les morts suspectes
Coucou
si Elles arrivent a être, un jour, publique....
Car de mémoire cela fut déjà reporté cette ouverture au publique..
Les archives secrètes "parleront" peut-être dans quelques années, en Histoire, c'est toujours ainsi, il faut attendre pour savoir.
si Elles arrivent a être, un jour, publique....
Car de mémoire cela fut déjà reporté cette ouverture au publique..
Z06- Admin
- Age : 74
Date d'inscription : 07/05/2008
Nombre de messages : 46442
Re: Les morts suspectes
C'était en autre le fils de la fameuse impératrice Sissi.
Il est mort dans des circonstances mystérieuses au pavillon de chasse de Mayerling.
Il était le seul garçon du couple et l'héritier de la couronne des Habsbourg.
Marié sans amour à une princesse, Stéphanie de Belgique, il collectionne les maîtresses.
Marie Vetsera, à peine 18 ans sera sa maîtresse et il en tombera amoureux.
Leur amour est impossible.
On prétendra qu'ils se sont suicidés tous les deux à cause de cet amour impossible.
Cependant la thèse de l'assassinat n'est pas exclue.
2 théories principales :
1/ les Services secrets français
2/ les Services secrets allemands
- La première provient esentiellement d'un entretien d'un journaliste avec l'ex-impératrice d'Autriche Zita, en 1983, qui affirmait que Rodolphe avait été contacté par ces Services afin de rompre l'axe austro-allemand et de bâtir un axe Vienne-Paris... donc de conspirer contre François-Joseph. Le prince ayant refusé, afin d'éviter que l'affaire s'ébruite, il aurait été exécuté.
Quand on connaît les sentiments très francophiles de l'archiduc on peut s'étonner que le Gouvernement français ait voulu suppimer un futur allié,
mais, encore une fois, rien n'est impossible,
surtout quand on sait les violents sentiments
anti-monarchiques de Clémenceau ...
- Pour la seconde, les témoignages de l'entourage du prince à l'époque, bien que "muselés" par la police impériale, laissent planer une forte suspicion (traces de lutte, fenêtre brisée, etc...)
On connait son opposition à la politique impérialiste de Guillaume II et on a vu beaucoup d'allemands rôder autour de Mayerling avant le drame.
le Gouvernement autrichien aurait préféré étouffer l'affaire...pour éviter la guerre avec l'Allemagne.
Quelle que soit la vérité on peut se demander quel aurait été le destin de l'Autriche... et de l'Europe
si Rodolphe avait règné avant la fin de ce XIX° siècle ou au tout début du XX° ?
Il avait des idées plus libérales que François Joseph, son père.
Bref, on ne saura sans doute jamais ?
https://www.youtube.com/watch?v=XdtHuWhcBu8&feature=related
https://www.youtube.com/watch?v=ad8PoqaFK-c&feature=related
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
"Pierre Bérégovoy a-t-il été exécuté" ou s'est-il suicidé ?
Sur plusieurs de ces ‘ faits troublants’ et de ces ‘ zones d'ombre’ , un livre apporte pourtant des réponses. ‘ Bérégovoy, le dernier secret’ est une enquête rédigée par un journaliste du Monde, Jacques Follorou. Le livre regorge d'anecdotes tendant à tordre le cou à l'idée selon laquelle Bérégovoy était, en avril 1993, ‘ un battant prêt à se relancer dans d'autres batailles’ . Oui, Béré a vécu une descente aux enfers, oui, il était un homme brisé par l'affaire Pelat (affairiste qui lui avait prêté un million de francs pour l'aider à l'achat d'un appartement) et épuisé par l'échec aux municipales, qu'il se reprochait. Jacques Follorou apporte également un témoignage capital, celui du gendre de Pierre Bérégovoy, l'avocat Vincent Sol :
” Plusieurs semaines avant sa mort, mon beau père, Pierre Bérégovoy, m'a remis deux lettres. La première m'était adressée, je l'ai ouverte, il me demandait de m'occuper de sa famille après sa mort. La seconde était au nom de François Mitterrand. On ne l'a pas ouverte, mais il devait lui annoncer la même chose qu'à moi ; sa volonté de disparaître. Je lui ai dit que vraiment il ne pouvait envoyer une telle lettre au chef de l'Etat, alors on l'a déchirée. »
Sol nous a confirmé cette anecdote. Hélas, il n'a pas gardé la lettre : « Quand il me l'a remise, j'étais furieux, je l'ai déchirée et jetée devant lui », nous raconte-t-il.
Follorou, enfin, affirme avoir eu, lui, accès au dossier judiciaire. Il restitue les éléments de l'enquête sur les causes de la mort du socialiste.
Il balaye par exemple la rumeur selon laquelle Bérégovoy serait mort après avoir reçu deux balles dans le corps. L'autopsie a eu lieu à l'institut médico-légal de Paris, au lendemain du drame qui, à l'époque, soulève une immense émotion en France. « Le tir est à bout touchant » conclut le texte cité par notre confrère, « il n'y a pas d'autres lésions violentes » . Bérégovoy est donc bien mort d'une seule balle tirée dans la tempe droite et ressortie par le front gauche. Des traces de poudre sont retrouvées sur sa main droite et sur sa chemise. C'est la même poudre que celle de l'arme trouvée à côté de son corps. Ce n'est pas tout : l'analyse toxicologique révèle l'absorbtion d'antidépresseurs les deux jours précédent le suicide.
L'énigme du « carnet noir »
Reste l'énigme du « carnet noir » dans lequel Bérégovoy prenait des notes, et qui avait étrangement disparu au lendemain de sa mort. Au point que Gilberte Bérégovoy, sa femme, s'interroge publiquement sur les circonstances de sa mort. En réalité, ce « carnet noir » (un répertoire) n'a jamais été soustrait par des barbouzes. Il a été pris par le directeur de cabinet de Bérégovoy, Didier Boulaud (aujourd'hui maire de Nevers), qui le confie alors à Vincent Sol. Pourquoi ? Pour ne pas dévoiler à l'épouse de Pierre Bérégovoy « l'existence de certaines relations de son mari » . Boulaud a fait cette confidence face à la caméra dans le documentaire de France2. Un secret d'alcôve qui pourrait, à lui seul, expliquer bien des contradictions, cachotteries, coups de fils mystérieux et autres « éléments troublants » .
Dans son livre, Follorou retrace l'obsession de Pierre Bérégovoy, à partir de l'affaire du prêt Pelat, pour ses « turpitudes passées » : mouvements d'argent sur son compte BNP dans les années 80, libéralités accordées à lui ou à sa famille par certains hommes d'affaires, comme Roger-Patrice Pelat, Samir Traboulsi ou André Bettancourt. Un récit sans complaisance, qui ébranle l'icone Bérégovoy, mais rend plus crédible encore la thèse du suicide.
Mais le livre ne lève pas entièrement le voile sur les mystères qui ont entouré l'enquête sur la mort du Premier ministre. Follorou cite ainsi quelques extraits du rapport d'autopsie, alors qu'il aurait pu les publier en annexe de son livre. Pour mettre un terme à ces quinze années de polémique, il y aurait un moyen simple : mettre un terme à cette ambiance de secret, tout mettre sur table, rendre public, une fois pour toute, l'intégralité des éléments de l'enquête judiciaire.
► A écouter sur France Inter : Bérégovoy, contre enquête sur un suicide, par Benoît Collombat
http://www.rue89.com/2008/04/30/beregovoy-theories-et-contre-theories-du-complot-0
Sur plusieurs de ces ‘ faits troublants’ et de ces ‘ zones d'ombre’ , un livre apporte pourtant des réponses. ‘ Bérégovoy, le dernier secret’ est une enquête rédigée par un journaliste du Monde, Jacques Follorou. Le livre regorge d'anecdotes tendant à tordre le cou à l'idée selon laquelle Bérégovoy était, en avril 1993, ‘ un battant prêt à se relancer dans d'autres batailles’ . Oui, Béré a vécu une descente aux enfers, oui, il était un homme brisé par l'affaire Pelat (affairiste qui lui avait prêté un million de francs pour l'aider à l'achat d'un appartement) et épuisé par l'échec aux municipales, qu'il se reprochait. Jacques Follorou apporte également un témoignage capital, celui du gendre de Pierre Bérégovoy, l'avocat Vincent Sol :
” Plusieurs semaines avant sa mort, mon beau père, Pierre Bérégovoy, m'a remis deux lettres. La première m'était adressée, je l'ai ouverte, il me demandait de m'occuper de sa famille après sa mort. La seconde était au nom de François Mitterrand. On ne l'a pas ouverte, mais il devait lui annoncer la même chose qu'à moi ; sa volonté de disparaître. Je lui ai dit que vraiment il ne pouvait envoyer une telle lettre au chef de l'Etat, alors on l'a déchirée. »
Sol nous a confirmé cette anecdote. Hélas, il n'a pas gardé la lettre : « Quand il me l'a remise, j'étais furieux, je l'ai déchirée et jetée devant lui », nous raconte-t-il.
Follorou, enfin, affirme avoir eu, lui, accès au dossier judiciaire. Il restitue les éléments de l'enquête sur les causes de la mort du socialiste.
Il balaye par exemple la rumeur selon laquelle Bérégovoy serait mort après avoir reçu deux balles dans le corps. L'autopsie a eu lieu à l'institut médico-légal de Paris, au lendemain du drame qui, à l'époque, soulève une immense émotion en France. « Le tir est à bout touchant » conclut le texte cité par notre confrère, « il n'y a pas d'autres lésions violentes » . Bérégovoy est donc bien mort d'une seule balle tirée dans la tempe droite et ressortie par le front gauche. Des traces de poudre sont retrouvées sur sa main droite et sur sa chemise. C'est la même poudre que celle de l'arme trouvée à côté de son corps. Ce n'est pas tout : l'analyse toxicologique révèle l'absorbtion d'antidépresseurs les deux jours précédent le suicide.
L'énigme du « carnet noir »
Reste l'énigme du « carnet noir » dans lequel Bérégovoy prenait des notes, et qui avait étrangement disparu au lendemain de sa mort. Au point que Gilberte Bérégovoy, sa femme, s'interroge publiquement sur les circonstances de sa mort. En réalité, ce « carnet noir » (un répertoire) n'a jamais été soustrait par des barbouzes. Il a été pris par le directeur de cabinet de Bérégovoy, Didier Boulaud (aujourd'hui maire de Nevers), qui le confie alors à Vincent Sol. Pourquoi ? Pour ne pas dévoiler à l'épouse de Pierre Bérégovoy « l'existence de certaines relations de son mari » . Boulaud a fait cette confidence face à la caméra dans le documentaire de France2. Un secret d'alcôve qui pourrait, à lui seul, expliquer bien des contradictions, cachotteries, coups de fils mystérieux et autres « éléments troublants » .
Dans son livre, Follorou retrace l'obsession de Pierre Bérégovoy, à partir de l'affaire du prêt Pelat, pour ses « turpitudes passées » : mouvements d'argent sur son compte BNP dans les années 80, libéralités accordées à lui ou à sa famille par certains hommes d'affaires, comme Roger-Patrice Pelat, Samir Traboulsi ou André Bettancourt. Un récit sans complaisance, qui ébranle l'icone Bérégovoy, mais rend plus crédible encore la thèse du suicide.
Mais le livre ne lève pas entièrement le voile sur les mystères qui ont entouré l'enquête sur la mort du Premier ministre. Follorou cite ainsi quelques extraits du rapport d'autopsie, alors qu'il aurait pu les publier en annexe de son livre. Pour mettre un terme à ces quinze années de polémique, il y aurait un moyen simple : mettre un terme à cette ambiance de secret, tout mettre sur table, rendre public, une fois pour toute, l'intégralité des éléments de l'enquête judiciaire.
► A écouter sur France Inter : Bérégovoy, contre enquête sur un suicide, par Benoît Collombat
http://www.rue89.com/2008/04/30/beregovoy-theories-et-contre-theories-du-complot-0
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
Moi je pense qu'il s'est bien suicidé cet homme.
Les journalistes brodent.
Intègre, honnête, il n'a pas supporté de voir trainer son nom dans la boue pour l'affaire du prêt Pelat passé en toute conformité.
Et personne de son gouvernement lui a tendu la main.
Tous des énarques, et lui petit ouvrier autodidacte, était méprisé par cet entourage et une presse bien pensante qui ne ratait jamais l'occasion de lui rappeler ses modestes origines.
J'avais beaucoup d"estime pour lui.
Il a fini tristement, sans le secours de personne.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: Les morts suspectes
Annick, je partage tout à fait ton opinion.
J'ai fait des recherches sur le net et je pense également que les journalistes brodent afin de vendre "leurs papiers".
Oui, c'était un autodidacte et tous, au gouvernement, l'ont bien laissé tomber.
J'ai fait des recherches sur le net et je pense également que les journalistes brodent afin de vendre "leurs papiers".
Oui, c'était un autodidacte et tous, au gouvernement, l'ont bien laissé tomber.
Invité- Invité
Re: Les morts suspectes
les journalistes ont besoin de vendre leurs papiers et leurs bouquins! c'est à celui qui sortira le plus gros "scoop"!
pour moi Beregovoy s'est suicidé, Coluche est mort dans un accident malheureux mettant en cause un camion ; et bien d'autres ........ Marylin au départ s'était suicidée, on a dit ensuite qu'elle avait été suicidée!!
et Jeanne d'Arc était un homme, et Napoléon a peut etre été empoisonné etc etc..........
pour moi Beregovoy s'est suicidé, Coluche est mort dans un accident malheureux mettant en cause un camion ; et bien d'autres ........ Marylin au départ s'était suicidée, on a dit ensuite qu'elle avait été suicidée!!
et Jeanne d'Arc était un homme, et Napoléon a peut etre été empoisonné etc etc..........
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Aujourd'hui à 8:05 par joelle
» livre
Hier à 15:53 par Lulu
» paques
Sam 30 Mar 2024 - 17:50 par joelle
» La galerie de hulotte...
Ven 22 Mar 2024 - 21:05 par hulotte
» coloriage anti-stress pour adulte
Sam 17 Fév 2024 - 7:41 par hulotte
» Aux nouveaux inscrits qui ne se présentent pas.
Ven 26 Jan 2024 - 13:58 par Z06
» Quelques recettes de Margaux
Mer 20 Déc 2023 - 13:06 par Jabani
» Parc Botanique de Haute-Bretagne
Ven 24 Nov 2023 - 17:06 par hulotte
» Yves Jamait
Sam 11 Nov 2023 - 20:54 par Lulu
» PARCS et JARDINS à VISITER
Mar 7 Nov 2023 - 16:44 par Lulu
» Je n'avais pas vu qu'il y avait un onglet spécifique musique, désolé
Lun 6 Nov 2023 - 10:20 par Invité
» Et si on parlait musique ?
Lun 6 Nov 2023 - 9:33 par Invité
» Série télé
Sam 4 Nov 2023 - 20:09 par hulotte
» Le plastique
Ven 3 Nov 2023 - 19:14 par Z06
» Question sérieuse
Mer 1 Nov 2023 - 15:11 par Invité