Dans le silence de la nuit...

[j.r.garou]

Les rêves qui sont les fleurs de l’Espoir
Se tordent en mon esprit comme au guipoir
Fermer les yeux écouter le silence
Quand on est face au miroir de l’absence

L’esprit s’emplit des magiques secrets
Qui permettent alors des rêves dorés
Et vivre à nouveau la divine aventure
Loin du réel où l’esprit se torture

L’érotisme parfois hante l’esprit
Revient l’image d’une jolie femme
Son sourire me vrille jusqu’à l’âme
Des mots intraduisibles dans l’écrit

Les draps tièdes où rumine ma torpeur
Corps nu ayant perdu toute pudeur
Alors ma libido soudain s’enflamme
En faisant pavoiser mon oriflamme

Mais du sommeil je remonte à moitié
Et cherche en vain l’Amante à mes côtés
Du rêve à la réalité : le doute…
Au retour d’un ‘voyage’ qui envoûte !

Jan

[Invité]

La chose sur laquelle il n'y a aucun doute, c'est qu'une fois de plus tu as su rendre l'ambiance de cette nuit à la fois solitaire et pourtant pleine de la présence de cette femme aimée. Et Manany...C'est toujours juste dans la note mais cette fois, plus encore : ce visage de femme qui apparaît, comme un songe précisément, auprès du dormeur...C'est magique.

Mes félicitations à tous les deux !
999

[manany]

superbe jan les on voudrais que le reve ne finisse jamais
finalement tu avais raison de cacher les fessssssssss
merci
cigale merci avec le concours de jan qui me décrit si bien ce qu'il veux

[hulotte]

Magnifique ton poème Jan et cette créa superbemnt onirique bravo très beau

[Invité]

Bonjour ami poète

Bravo pour ce poème, j'aime beaucoup l'écriture.

Ce n'est qu'un rêve mais il semble si réel, on aimerait qu'il ne se termine jamais.

Merci à toi et à Manany, c'est une solide collaboration.

999

[Annick]

Benvenus sont les rêves qui nous transportent au temps du bonheur.
Mais le réveil est parfois brutal.
Joli poème, Jan, et belle illustration de Manany.

[j.r.garou]

Cigale,
Et tu as su deviner ce paradoxe, d'être à la fois
seul et pourtant près d'un être aimé... Stylisé
ce visage de femme est une réussite complète
de la chère Manany. ( petit secret : pour la
nudité exprimée, elle avait mis les fesses à l'air
de celui qui n'est pas un sportif de calendrier !
La seule petite correction demandée...)



Manany,
Quelle patience tu as à mon égard ! merci encore
"tout est permis quand on rêve" ça c'est ben vrai...


Hulotte,
Ah ! les silences de nos nuits, ils ont été différents
au cours de la vie : "Honni-rique" qui mal y pense ?
Mdr ?


Campanule,
Rêver - aimer - virtualité - réalité...
Bien et vit' (hem ! ) raconté !
Mdr ?


Annick,
Il en est des réveils comme du reste
ce à quoi on peut s'attendre dans l'après...


Jan

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