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Jacques Brel
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Jacques Brel
Ce 9 octobre est fêté le trentième anniversaire de la mort de Jacques Brel. A cette occasion, Michel Drucker a invité France Brel, la fille du chanteur, qui dirige les éditions Jacques Brel depuis 1981.
Jacques Brel est décédé à l’âge de 49 ans.
Il a chanté durant 15 ans et seulement 6-7 ans au plus haut niveau.
Comme le remarque Jean Mareska, il "a mis 10 ans à être connu du jour au lendemain", en empruntant l’expression au monde du théâtre.
Une carrière fulgurante qui l’a pourtant fait entrer dans le panthéon des artistes français, et qui a fait de lui un artiste francophone reconnu et repris dans le monde entier; un "ouragan magnétique" comme le titraient des journaux.
Mais cet originaire de la banlieue bruxelloise a eu une carrière multiple.
En plus de la chanson, il s’est consacré au cinéma où il a joué et mis en scène.
France Brel souligne notamment l’accueil mitigé, au festival de Cannes, du deuxième film mis en scène par son père. Un événement qui l'a blessé.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Education catholique...première communion,....mais très vite dans la capitale occupée par les nazis, le goût du théâtre et du déguisement...
A 18 ans, devant ses échecs scolaires, son père le fait entrer dans l'entreprise familiale.
A la même époque, il s'inscrit à "La Franche Cordée", mouvement philanthropique, dont il deviendra le président en 49.
Au sein de cette association, il monte de nombreuses pièces de théâtre dont "Le Petit Prince de Saint-Exupéry".
Il y rencontre également, sa future épouse, Thérèse Michielsen, dite Miche.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Jacques Brel aura trois filles.
Tout en continuant à travailler à la cartonnerie, Jacques veut vivre autrement, et il enregistre à Bruxelles, en février 1953, un disque qu'il souhaite proposer aux radios.
Ce premier titre, La Foire / Il y a, marquera le début d'une longue carrière.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
C'est à Paris que Jacques, riche de cette première expérience discographique, essaie de se vendre.
Il a laissé derrière lui sa femme et sa fille, de peur de les entraîner dans cette difficile aventure.
Et, en effet, à ses débuts, la vie est dure: Jacques joue dans les cabarets pour un repas ou cent francs la soirée.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Aux trois baudets où Brassens, Béart, Aznavour commencent leur carrière, Brel est remarqué parJacques Canetti qui le lance et qui lui permettra d'enregistrer son premier album.
Sa seconde fille nait en 1953.
En 1957, il sort un album avec le titre : quand on a que l'amour, il recevra le prix Charles Cros et ce titre restera un énorme succès.
https://www.youtube.com/watch?v=wZHg6AUXTKw
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Les tournées se font internationales, et Jacques, accompagné de ses amis musiciens Rauber et Jouannest, devient une véritable célébrité dès 1959. Mais la vie d'artiste est éprouvante et Jacques ne voit que très rarement "ses femmes" (la famille s'est agrandie en 1958 avec la naissance de sa troisième fille Isabelle).
https://www.dailymotion.com/video/x63iy_brel-jacques-ne-me-quitte-pas
chanson composée pour Suzanne Gabriello.
https://www.dailymotion.com/video/x63iy_brel-jacques-ne-me-quitte-pas
chanson composée pour Suzanne Gabriello.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Au début des années 60, le chanteur belge, sous l’impulsion de son impresario, parcours le monde des Etats-Unis à l’URSS pour mieux revenir en France.
A son retour, il quitte sa maison de disque pour Barclay et sort un de ces titres incontournables "Le plat pays".
1964 est l’année de la consécration : il publie un album studio, son récital à l’Olympia au cours duquel il dévoile au public sa nouvelle chanson "Amsterdam" et remporte une nouvelle fois le grand prix du disque.
https://www.dailymotion.com/video/x3lwk_jacques-brelle-plat-payspar-bisonra
https://www.dailymotion.com/related/x25ebf_amsterdam_music/video/xllfn_jacques-brel-amsterdam_music
A son retour, il quitte sa maison de disque pour Barclay et sort un de ces titres incontournables "Le plat pays".
1964 est l’année de la consécration : il publie un album studio, son récital à l’Olympia au cours duquel il dévoile au public sa nouvelle chanson "Amsterdam" et remporte une nouvelle fois le grand prix du disque.
https://www.dailymotion.com/video/x3lwk_jacques-brelle-plat-payspar-bisonra
https://www.dailymotion.com/related/x25ebf_amsterdam_music/video/xllfn_jacques-brel-amsterdam_music
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
et puis les bourgeois, il venait d'une famille bourgeoise, n'oublions pas....j'adore cette chanson
https://www.dailymotion.com/related/x1b1kj_jacques-brel-ces-gens-la-engl-subti_music/video/x1an7p_jacques-brel-les-bourgeois-1962-eng_music
https://www.dailymotion.com/related/x1b1kj_jacques-brel-ces-gens-la-engl-subti_music/video/x1an7p_jacques-brel-les-bourgeois-1962-eng_music
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
ces gens là, quelle belle satire de la bourgeoisie encore une fois :
https://www.dailymotion.com/related/x1an7p_jacques-brel-les-bourgeois-1962-eng_music/video/x1b1kj_jacques-brel-ces-gens-la-engl-subti_music
https://www.dailymotion.com/related/x1an7p_jacques-brel-les-bourgeois-1962-eng_music/video/x1b1kj_jacques-brel-ces-gens-la-engl-subti_music
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
J'ai un faible pour celle-ci :
mon enfance :
https://www.dailymotion.com/related/x1b1kj_jacques-brel-ces-gens-la-engl-subti_music/video/x1fko7_jacques-brel-mon-enfance-english-su_family
mon enfance :
https://www.dailymotion.com/related/x1b1kj_jacques-brel-ces-gens-la-engl-subti_music/video/x1fko7_jacques-brel-mon-enfance-english-su_family
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
les bonbons, j'étais mdr lorsqu'il l'a chantée à Douai, c'était je crois son avant dernier spectacle, c'était merveilleux....
je vous ai apporté des bonbons
https://www.dailymotion.com/related/x1fko7_jacques-brel-mon-enfance-english-su_family/video/x1d1vn_jacques-brel-les-bonbons-eng-sub_dating
je vous ai apporté des bonbons
https://www.dailymotion.com/related/x1fko7_jacques-brel-mon-enfance-english-su_family/video/x1d1vn_jacques-brel-les-bonbons-eng-sub_dating
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Merveilleuse chanson :
la chanson des vieux amants :
https://www.youtube.com/watch?v=H1DpjXQUDsI
la chanson des vieux amants :
https://www.youtube.com/watch?v=H1DpjXQUDsI
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Madeleine :
https://www.youtube.com/watch?v=bRCBpMmhrgg&feature=related
Mathilde :
https://www.youtube.com/watch?v=3uns_cTgOU8&feature=related
https://www.youtube.com/watch?v=bRCBpMmhrgg&feature=related
Mathilde :
https://www.youtube.com/watch?v=3uns_cTgOU8&feature=related
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Les vieux, une de ses meilleures, celles dont on donne le sujet au bac français à l'oral.
https://www.youtube.com/watch?v=M-nyLvIuHDU&feature=related
https://www.youtube.com/watch?v=M-nyLvIuHDU&feature=related
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Brel ,c'est pas mon truc .....
ALAN- Date d'inscription : 11/05/2008
Nombre de messages : 12210
Re: Jacques Brel
Merci pour vos commentaires.
Jeff mais non t'es pas tout seul, arrête de pleurer comme ça devant tout le monde :arrow:
https://www.youtube.com/watch?v=T4Mx8AN0GF4&feature=related
Jeff mais non t'es pas tout seul, arrête de pleurer comme ça devant tout le monde :arrow:
https://www.youtube.com/watch?v=T4Mx8AN0GF4&feature=related
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Désolé ,je suis plutot ROCK année 65 et aprés .
ALAN- Date d'inscription : 11/05/2008
Nombre de messages : 12210
Re: Jacques Brel
Alan, je te promets de parler des années 70 après, je viens de recevoir un double album des années 70, pas mal.
merci d'être passé.
merci d'être passé.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Jacques Brel et la Belgique :
Les chansons de Jacques Brel n'ont pas toutes eu la même destinée.
Il y a eu les populaires, les inoubliables et... les censurées ! Parmi ces dernières, La, la, la (1967) a fait couler beaucoup d'encre, suscité moult polémiques et est longtemps restée interdite.
Il entretenait une relation ambiguë avec la Belgique.
Il y a pourtant celle ci qui qui est magnifique, on vient de m'envoyer le diaporama, c'est superbe, tout simplement....
http://www.picdo.net/Fichiers/8594b94b94586f3ededfb944b9d6fd5/Bruges-et-Gand-(JL).pps
Les chansons de Jacques Brel n'ont pas toutes eu la même destinée.
Il y a eu les populaires, les inoubliables et... les censurées ! Parmi ces dernières, La, la, la (1967) a fait couler beaucoup d'encre, suscité moult polémiques et est longtemps restée interdite.
Il entretenait une relation ambiguë avec la Belgique.
Il y a pourtant celle ci qui qui est magnifique, on vient de m'envoyer le diaporama, c'est superbe, tout simplement....
http://www.picdo.net/Fichiers/8594b94b94586f3ededfb944b9d6fd5/Bruges-et-Gand-(JL).pps
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Il a su parler de son pays de façon sublime.....
Mon père disait :
https://www.youtube.com/watch?v=1c2Gbw2EdyE&feature=related
Mon père disait :
https://www.youtube.com/watch?v=1c2Gbw2EdyE&feature=related
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
et ce plat pays qui est le mien aussi :
https://www.youtube.com/watch?v=E2v5y_OVwUQ&feature=related
https://www.youtube.com/watch?v=E2v5y_OVwUQ&feature=related
Invité- Invité
ALAN- Date d'inscription : 11/05/2008
Nombre de messages : 12210
Re: Jacques Brel
Merci pour cet hommage à Brel, Campanule.
Il était chanteur et parolier exceptionnel.
Toutes ses chansons sont des bijoux.
Alan, c'est quoi ces commentaires à la c*** ?
Même si tu n'aimes pas Brel (et ils sont rares ceux qui ne l'aiment pas), tu pourrais au moins respecter le travail de Campanule.
Il était chanteur et parolier exceptionnel.
Toutes ses chansons sont des bijoux.
Alan, c'est quoi ces commentaires à la c*** ?
Même si tu n'aimes pas Brel (et ils sont rares ceux qui ne l'aiment pas), tu pourrais au moins respecter le travail de Campanule.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: Jacques Brel
ALAN a écrit:Bon ça va ..avec BREL
Et BACHELET , C JEROME ,...CARLOS .
On en a eu assez avec les infos hypocrites ..
Enfin ..
.......ALAN........y a des coups qui se perdent...........
Si le Grand Jacques, ne te plait pas.....ne viens pas :
- lire
-"polluer" le travail de Campanule........
FRANCHEMENT cela devient "problématique" ces réactions irréfléchies !..
/////////////////////////////////////////////////////////////
j'ai de plus en plus du mal accepter ces interventions...
.:85:
:813:
Z06- Admin
- Age : 74
Date d'inscription : 07/05/2008
Nombre de messages : 46512
Re: Jacques Brel
Bonsoir Campanule
MERCI pour ce bon moment avec le Grand Jacques.......
J'apprécie.
A++++
MERCI pour ce bon moment avec le Grand Jacques.......
J'apprécie.
A++++
Z06- Admin
- Age : 74
Date d'inscription : 07/05/2008
Nombre de messages : 46512
Re: Jacques Brel
Je ne comprends pas ton intervention désagréable Alan, je n'étais pas chez moi ce soir pour y répondre plus tôt.
Je suis allée au cinéma avec mon époux.
Merci Annick et ZO6, je vais continuer à vous parler de Brel car c'était et cela reste un des mes chanteurs préférés, je n'oblige personne à venir consulter cette rubrique.
Désolée Alan, les chanteurs que tu cites, ce n'est pas ma tasse de thé mais personne ne t'empêche d'en parler.
Fais toi un topic avec tes chanteurs préférés si tu le souhaites.
Je suis allée au cinéma avec mon époux.
Merci Annick et ZO6, je vais continuer à vous parler de Brel car c'était et cela reste un des mes chanteurs préférés, je n'oblige personne à venir consulter cette rubrique.
Désolée Alan, les chanteurs que tu cites, ce n'est pas ma tasse de thé mais personne ne t'empêche d'en parler.
Fais toi un topic avec tes chanteurs préférés si tu le souhaites.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
interview brel - Knokke 1971 - partie 2
https://www.youtube.com/watch?v=3_97DF4Fozk&NR=1
https://www.youtube.com/watch?v=3_97DF4Fozk&NR=1
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Tout au long de la semaine dernière, au journal de TF1 de 13h, il y a eu un hommage à Brel, avec des reportages aux Marquises.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: Jacques Brel
Je n'ai pas vu Annick mais je trouve que cet hommage est bien mérité.
Brel et Bruxelles :
https://www.youtube.com/watch?v=Qrj7XN81E6g
Brel et les flamandes :
https://www.youtube.com/watch?v=05Z56Fqe1Bk&feature=related
Brel et Bruxelles :
https://www.youtube.com/watch?v=Qrj7XN81E6g
Brel et les flamandes :
https://www.youtube.com/watch?v=05Z56Fqe1Bk&feature=related
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Après des années de succès international, Jacques Brel ébranle la scène musicale française en 1966 en décidant d’abandonner définitivement la chanson. Son récital à l’Olympia cette année-là devient un événement sans précédent, même s’il n’interprète que 15 chansons sur scène, préférant laisser de la place aux jeunes artistes.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Jacques Brel va monter une comédie musicale : l'homme de la manche avec Dario Moreno.
https://www.dailymotion.com/bisonravi1987/video/x79ew_jacques-brel-la-quete
https://www.dailymotion.com/bisonravi1987/video/x79ew_jacques-brel-la-quete
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Puis Jacques Brel commença une carrière dans le cinéma.
Son premier film fut les risques du métier où il incarne un instituteur injustement accusé par l'une de ses élèves :
Son premier film fut les risques du métier où il incarne un instituteur injustement accusé par l'une de ses élèves :
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Il joua également dans la bande à Bonnot, il jouait le rôle de Raymond la science
Il joua également et c'est mon préféré :
Mon oncle Benjamin :
Voici un extrait de ce film que je connais par coeur :
https://www.dailymotion.com/related/x71uoi_jacques-brel-bande-anonce-de-mon-on_shortfilms/video/x33wfe_mon-oncle-benjamin_fun
Il joua également et c'est mon préféré :
Mon oncle Benjamin :
Voici un extrait de ce film que je connais par coeur :
https://www.dailymotion.com/related/x71uoi_jacques-brel-bande-anonce-de-mon-on_shortfilms/video/x33wfe_mon-oncle-benjamin_fun
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
L'emmerdeur.....François Pignon....
https://www.dailymotion.com/video/x4vvvv_lemmerdeur-lino-ventura-vs-jacques_shortfilms
https://www.dailymotion.com/video/x4vvvv_lemmerdeur-lino-ventura-vs-jacques_shortfilms
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Le bar de la fourche :
A la fin de l'année 1916, le Flamand Van Horst, aventurier et coureur de jupons, part au Canada dans l'espoir d'y retrouver Maria, un amour de jeunesse.
Il croise sur sa route Olivier, un adolescent avec qui il se lie d'amitié.
Tous deux arrivent sur les rives du Saint-Laurent, au Bar de la Fourche, un établissement tenu par Maria.
A la fin de l'année 1916, le Flamand Van Horst, aventurier et coureur de jupons, part au Canada dans l'espoir d'y retrouver Maria, un amour de jeunesse.
Il croise sur sa route Olivier, un adolescent avec qui il se lie d'amitié.
Tous deux arrivent sur les rives du Saint-Laurent, au Bar de la Fourche, un établissement tenu par Maria.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Montdragon :
Un ingenieur, chasse de l'armee, retourne au domaine de Montdragon pour se venger de ses deboires.
Un ingenieur, chasse de l'armee, retourne au domaine de Montdragon pour se venger de ses deboires.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Franz de Jacques Brel avec Barbara.
Dand le Nord, deux pensionnaires d'une maison de repos vivent une étrange passion amoureuse, qui suscite ricanements et jalousie : Léon, un homme timide et un peu simplet, ancien mercenaire, et Léonie, une femme mystérieuse à l'air arrogant.
https://www.dailymotion.com/video/x1bek4_jacques-brel-barbara-extrait-de-fra_music
https://www.dailymotion.com/related/x1bek4_jacques-brel-barbara-extrait-de-fra_music/video/x19srn_jacques-brel-barbara-extrait-de-fra_dating
Dand le Nord, deux pensionnaires d'une maison de repos vivent une étrange passion amoureuse, qui suscite ricanements et jalousie : Léon, un homme timide et un peu simplet, ancien mercenaire, et Léonie, une femme mystérieuse à l'air arrogant.
https://www.dailymotion.com/video/x1bek4_jacques-brel-barbara-extrait-de-fra_music
https://www.dailymotion.com/related/x1bek4_jacques-brel-barbara-extrait-de-fra_music/video/x19srn_jacques-brel-barbara-extrait-de-fra_dating
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Far west qui fut un échec :
Jacques rencontre Gabriel. Tous deux sont faits pour s'entendre. Ils partent ensemble au Far-West ils prennent sous leur protection une ravissante infirme noire, et chemin faisant, leur petite troupe grossit. Ils arrivent au Far-West. Peu importe qu'il ressemble à une ancienne mine. Ils s'y amusent bien.
Mais un jour, ils trouvent l'or. Jacques ne parvient pas à le restituer aux autorités. Cest ainsi qu'il tombe sous les coups de l'armée en un nouveau Fort Alam
Jacques rencontre Gabriel. Tous deux sont faits pour s'entendre. Ils partent ensemble au Far-West ils prennent sous leur protection une ravissante infirme noire, et chemin faisant, leur petite troupe grossit. Ils arrivent au Far-West. Peu importe qu'il ressemble à une ancienne mine. Ils s'y amusent bien.
Mais un jour, ils trouvent l'or. Jacques ne parvient pas à le restituer aux autorités. Cest ainsi qu'il tombe sous les coups de l'armée en un nouveau Fort Alam
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Il rencontre également le succès aux États-Unis d'Amérique et au Royaume-Uni.
Des traductions en anglais de ses chansons rencontrent le succès et sont enregistrées par David Bowie (Amsterdam), Scott Walker (Amsterdam, Mathilde), Marc Almond, le groupe Goodbye Mr. Mackenzie (Amsterdam), Terry Jacks et Alex Harvey.
Jacques Brel is alive and well and living in Paris est une comédie musicale américaine qui est jouée autour du monde pendant plusieurs années.
https://www.youtube.com/watch?v=TI8F6DbB2cE&feature=related
Ne me quitte pas par Nina Simone
Des traductions en anglais de ses chansons rencontrent le succès et sont enregistrées par David Bowie (Amsterdam), Scott Walker (Amsterdam, Mathilde), Marc Almond, le groupe Goodbye Mr. Mackenzie (Amsterdam), Terry Jacks et Alex Harvey.
Jacques Brel is alive and well and living in Paris est une comédie musicale américaine qui est jouée autour du monde pendant plusieurs années.
https://www.youtube.com/watch?v=TI8F6DbB2cE&feature=related
Ne me quitte pas par Nina Simone
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
*
Le regard de Philippe Labro.
Il était maigre, il n'y eut jamais une once de graisse en lui, comme en sa vie ou son écriture.
Il se croyait laid, alors que, avec des lèvres sensuelles et, dans ses yeux sombres, une sorte d'incendie que l'on décèle seulement chez celles ou ceux qui cherchent la limite de leur manque de limites, il était beau, de cette «beauté des laids» dont parlait Gainsbourg.
Il chantait comme personne, à part Piaf, bien sûr - puisque, comme elle, il faisait à chaque fois le cadeau de son corps, cette structure un peu déglinguée, avec deux bras qui partaient dans tous les sens, des mains qui racontaient les femmes, les vieux, les bourgeois, les nigauds et les salauds, les rêveurs et les marins, ceux qui s'aiment et ceux qui ne s'aiment pas, avec un déhanchement cassé, une démarche de funambule, de sans-filiste, des étincelles de comédien, des inventions de mime. Et surtout, une énergie telle que, s'il n'avait pas été baigné de sueur dès la troisième chanson, il aurait considéré qu'il avait menti ou triché. Or, tricher n'était pas son fort.
Il y aura trente ans, dans 4 jours, que Jacques Romain Georges Brel, né à Schaerbeek en Belgique, mourait d'un cancer du poumon à 4 h 10 du matin, entre un dimanche et un lundi, à l'hôpital franco-musulman de Bobigny, dans la banlieue nord de Paris. Il avait 49 ans. C'était quand même un peu trop tôt pour que «on rie, on pleure, on s'amuse comme des fous, quand c'est qu'on me mettra dans le trou». Il ne faut pas s'étonner qu'à l'occasion de cet anniversaire la presse, la télévision, la radio et le livre (on réédite la remarquable biographie d'Olivier Todd) consacrent du temps et de l'espace à ce spécimen unique, auteur et interprète d'une centaine de chansons, inoubliable artiste dont la courte existence n'aura été qu'une kyrielle sidérante de ruptures : il fuit le cocon familial, il ne prendra pas la suite de son père à la tête d'une cartonnerie ; il devient chanteur, et, au bout de quinze ans de succès, il abandonne la scène ; il fait l'acteur de cinéma et laisse tomber pour, ultime étape, s'exiler en navigateur, pilote d'avion, aventurier sur un îlot du Pacifique, comme si, affamé de vie et de nouvelles expériences, vorace dévoreur de nuits, d'amitiés, de passions, rongé déjà sans doute par le crabe du cancer, partagé entre le goût de la fête et la tentation de la dépression, constant poursuivant de «l'inaccessible étoile», Jacques Brel avait toujours voulu tourner les pages, pour «aller voir», comme il disait.
Nostalgie
Les Français ont une certaine propension aux célébrations de leurs artistes populaires - en particulier dans le domaine de la chanson. Nostalgie, ou conviction que certains «poètes disparus» font partie d'un patrimoine qu'il n'est pas absurde d'entretenir ? Goût du passé, face à un présent qui ne leur a pas encore proposé des personnalités aussi susceptibles d'imprimer leurs mélodies et paroles dans l'inconscient collectif ? Peu importe la raison. Dans le cas de Brel, encore une fois, il n'y a pas lieu de s'interroger. Son œuvre est exceptionnelle, son personnage singulier, sa vie romanesque.
À partir du moment où un auteur - la chanson n'est pas un art «mineur» - pénètre dans la conversation courante d'un pays, il a franchi une étape et le fait entrer dans le club fermé des pourvoyeurs de citations. De «On n'oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout» à «Je vous ai apporté des bonbons», en passant par «être une heure, rien qu'une heure durant, beau et con à la fois», il nous a été souvent loisible de parler le Brel comme on parle le Trenet («Que reste-t-il de nos amours ?»), le Brassens («Ils s'appelaient les copains d'abord»), le Bécaud («Et maintenant que vais-je faire ?»), ou comme, compagnie encore plus noble, on parle le La Fontaine ou le Molière. Le répertoire de Brel appartient à ce patrimoine, mais s'il survit et surprend quand on le ré-écoute, c'est parce que Brel subjuguait et émouvait quiconque le rencontrait ou assistait à son spectacle.
Universel
Il eut la chance de connaître, suffisamment tôt dans sa carrière, deux hommes aux noms peu connus et qui surent mettre en musique les phrases de ce poète déchiré, ce caricaturiste féroce, ce serviteur de l'amour, cet incorrect politique qui n'avait pas peur d'être idéaliste, cet individualiste partagé entre l'anarchisme et la générosité de l'humaniste. Inclassable et donc suspect aux yeux de l'idéologie dominante. Mais universel, puisque ayant atteint le «grand public». Ces artisans s'appellent François Rauber, le meilleur orchestrateur de la variété française, et un pianiste doué, Gérard Jouannest. Ils permirent à Brel de se débarrasser de sa guitare pour que, libéré de tout accessoire, il fasse éclater sa gestuelle, il cisèle portraits et évocations (du Plat pays aux Vieux amants), il manifeste l'étendue de sa nature, le culot de ses excès. Il y a, dans certains de ses vers, de vrais bonheurs d'écriture - «la chaleur épaisse des langueurs océanes», ou encore ce pathétique chant d'adieu :
«Veux-tu que je te dise : gémir n'est pas de mise / Aux Marquises», écrit à Hiva Oa, île perdue du Pacifique, où, le visage décharné, il s'apprête à «mourir face au cancer, par arrêt de l'arbitre», sans gémir, en effet, mais non sans tristesse d'avoir à renoncer à ce bleu du ciel et de l'océan qui remplissait son âme avide de pureté.
Je conserve un souvenir violent de son dernier récital sur la scène de l'Olympia, le 1er novembre 1966. Nous savons tous, ce soir-là, qu'il s'agit d'un véritable adieu et pas d'une de ces fausses sorties dont sont friands chanteurs ou chanteuses. La salle est fervente, pleine à exploser d'hommes et femmes qui composent le «Tout-Paris» de l'époque, masques et poupées, marionnettes et pantins, mais aussi gens de talent, de pouvoir et d'influence, mouches et moucherons attirés par cette lumière qui va, volontairement, s'éteindre. Car c'est lui, Jacques, Jacky, le Grand Jacques, qui a décidé d'arrêter. Les tournées et leurs nuits blanches, l'alcool et le tabac, les hôtels et les routes ont eu raison de lui, mais c'est aussi parce qu'il veut explorer d'autres paysages, cinéma, comédie musicale et au-delà, car il pressentait que sa vie serait brève et qu'il lui restait, quoi ? à peine dix ans pour «aller voir».
Gravité
Avec gravité, comique, authenticité, gesticulations et douceur, il nous aura tout offert, ce soir-là, quinze chansons, quinze merveilles. Quinze fois nous l'applaudîmes, quinze fois nous réclamâmes la suite, et lorsqu'il eut, avec une espèce de fureur désespérée, une véhémence lyrique, fait le don entier de son corps, son cœur, ses entrailles et ses tripes, et balancé son extraordinaire Amsterdam, nous l'acclamâmes, debout, pendant un temps que je ne saurais décompter. Nous lui hurlions admiration et gratitude, nous avions envie de lui crier «ne me quitte pas», mais, malgré sept allers et retours entre les coulisses et la scène, il ne fit aucun «rappel». Simplement, silhouette poignante et épuisée, larmes au visage et sourire aux lèvres, sueur au front, vêtu d'une robe de chambre - je revois ses chevilles nues et graciles - Jacques Brel saluait et saluait et saluait, mais il n'était déjà plus là.
Son corps repose au cimetière d'Atuona, dans l'archipel des Marquises, aux côtés de Paul Gauguin. Sa musique vit dans nos mémoires.
la tombe de Gauguin :
Le regard de Philippe Labro.
Il était maigre, il n'y eut jamais une once de graisse en lui, comme en sa vie ou son écriture.
Il se croyait laid, alors que, avec des lèvres sensuelles et, dans ses yeux sombres, une sorte d'incendie que l'on décèle seulement chez celles ou ceux qui cherchent la limite de leur manque de limites, il était beau, de cette «beauté des laids» dont parlait Gainsbourg.
Il chantait comme personne, à part Piaf, bien sûr - puisque, comme elle, il faisait à chaque fois le cadeau de son corps, cette structure un peu déglinguée, avec deux bras qui partaient dans tous les sens, des mains qui racontaient les femmes, les vieux, les bourgeois, les nigauds et les salauds, les rêveurs et les marins, ceux qui s'aiment et ceux qui ne s'aiment pas, avec un déhanchement cassé, une démarche de funambule, de sans-filiste, des étincelles de comédien, des inventions de mime. Et surtout, une énergie telle que, s'il n'avait pas été baigné de sueur dès la troisième chanson, il aurait considéré qu'il avait menti ou triché. Or, tricher n'était pas son fort.
Il y aura trente ans, dans 4 jours, que Jacques Romain Georges Brel, né à Schaerbeek en Belgique, mourait d'un cancer du poumon à 4 h 10 du matin, entre un dimanche et un lundi, à l'hôpital franco-musulman de Bobigny, dans la banlieue nord de Paris. Il avait 49 ans. C'était quand même un peu trop tôt pour que «on rie, on pleure, on s'amuse comme des fous, quand c'est qu'on me mettra dans le trou». Il ne faut pas s'étonner qu'à l'occasion de cet anniversaire la presse, la télévision, la radio et le livre (on réédite la remarquable biographie d'Olivier Todd) consacrent du temps et de l'espace à ce spécimen unique, auteur et interprète d'une centaine de chansons, inoubliable artiste dont la courte existence n'aura été qu'une kyrielle sidérante de ruptures : il fuit le cocon familial, il ne prendra pas la suite de son père à la tête d'une cartonnerie ; il devient chanteur, et, au bout de quinze ans de succès, il abandonne la scène ; il fait l'acteur de cinéma et laisse tomber pour, ultime étape, s'exiler en navigateur, pilote d'avion, aventurier sur un îlot du Pacifique, comme si, affamé de vie et de nouvelles expériences, vorace dévoreur de nuits, d'amitiés, de passions, rongé déjà sans doute par le crabe du cancer, partagé entre le goût de la fête et la tentation de la dépression, constant poursuivant de «l'inaccessible étoile», Jacques Brel avait toujours voulu tourner les pages, pour «aller voir», comme il disait.
Nostalgie
Les Français ont une certaine propension aux célébrations de leurs artistes populaires - en particulier dans le domaine de la chanson. Nostalgie, ou conviction que certains «poètes disparus» font partie d'un patrimoine qu'il n'est pas absurde d'entretenir ? Goût du passé, face à un présent qui ne leur a pas encore proposé des personnalités aussi susceptibles d'imprimer leurs mélodies et paroles dans l'inconscient collectif ? Peu importe la raison. Dans le cas de Brel, encore une fois, il n'y a pas lieu de s'interroger. Son œuvre est exceptionnelle, son personnage singulier, sa vie romanesque.
À partir du moment où un auteur - la chanson n'est pas un art «mineur» - pénètre dans la conversation courante d'un pays, il a franchi une étape et le fait entrer dans le club fermé des pourvoyeurs de citations. De «On n'oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout» à «Je vous ai apporté des bonbons», en passant par «être une heure, rien qu'une heure durant, beau et con à la fois», il nous a été souvent loisible de parler le Brel comme on parle le Trenet («Que reste-t-il de nos amours ?»), le Brassens («Ils s'appelaient les copains d'abord»), le Bécaud («Et maintenant que vais-je faire ?»), ou comme, compagnie encore plus noble, on parle le La Fontaine ou le Molière. Le répertoire de Brel appartient à ce patrimoine, mais s'il survit et surprend quand on le ré-écoute, c'est parce que Brel subjuguait et émouvait quiconque le rencontrait ou assistait à son spectacle.
Universel
Il eut la chance de connaître, suffisamment tôt dans sa carrière, deux hommes aux noms peu connus et qui surent mettre en musique les phrases de ce poète déchiré, ce caricaturiste féroce, ce serviteur de l'amour, cet incorrect politique qui n'avait pas peur d'être idéaliste, cet individualiste partagé entre l'anarchisme et la générosité de l'humaniste. Inclassable et donc suspect aux yeux de l'idéologie dominante. Mais universel, puisque ayant atteint le «grand public». Ces artisans s'appellent François Rauber, le meilleur orchestrateur de la variété française, et un pianiste doué, Gérard Jouannest. Ils permirent à Brel de se débarrasser de sa guitare pour que, libéré de tout accessoire, il fasse éclater sa gestuelle, il cisèle portraits et évocations (du Plat pays aux Vieux amants), il manifeste l'étendue de sa nature, le culot de ses excès. Il y a, dans certains de ses vers, de vrais bonheurs d'écriture - «la chaleur épaisse des langueurs océanes», ou encore ce pathétique chant d'adieu :
«Veux-tu que je te dise : gémir n'est pas de mise / Aux Marquises», écrit à Hiva Oa, île perdue du Pacifique, où, le visage décharné, il s'apprête à «mourir face au cancer, par arrêt de l'arbitre», sans gémir, en effet, mais non sans tristesse d'avoir à renoncer à ce bleu du ciel et de l'océan qui remplissait son âme avide de pureté.
Je conserve un souvenir violent de son dernier récital sur la scène de l'Olympia, le 1er novembre 1966. Nous savons tous, ce soir-là, qu'il s'agit d'un véritable adieu et pas d'une de ces fausses sorties dont sont friands chanteurs ou chanteuses. La salle est fervente, pleine à exploser d'hommes et femmes qui composent le «Tout-Paris» de l'époque, masques et poupées, marionnettes et pantins, mais aussi gens de talent, de pouvoir et d'influence, mouches et moucherons attirés par cette lumière qui va, volontairement, s'éteindre. Car c'est lui, Jacques, Jacky, le Grand Jacques, qui a décidé d'arrêter. Les tournées et leurs nuits blanches, l'alcool et le tabac, les hôtels et les routes ont eu raison de lui, mais c'est aussi parce qu'il veut explorer d'autres paysages, cinéma, comédie musicale et au-delà, car il pressentait que sa vie serait brève et qu'il lui restait, quoi ? à peine dix ans pour «aller voir».
Gravité
Avec gravité, comique, authenticité, gesticulations et douceur, il nous aura tout offert, ce soir-là, quinze chansons, quinze merveilles. Quinze fois nous l'applaudîmes, quinze fois nous réclamâmes la suite, et lorsqu'il eut, avec une espèce de fureur désespérée, une véhémence lyrique, fait le don entier de son corps, son cœur, ses entrailles et ses tripes, et balancé son extraordinaire Amsterdam, nous l'acclamâmes, debout, pendant un temps que je ne saurais décompter. Nous lui hurlions admiration et gratitude, nous avions envie de lui crier «ne me quitte pas», mais, malgré sept allers et retours entre les coulisses et la scène, il ne fit aucun «rappel». Simplement, silhouette poignante et épuisée, larmes au visage et sourire aux lèvres, sueur au front, vêtu d'une robe de chambre - je revois ses chevilles nues et graciles - Jacques Brel saluait et saluait et saluait, mais il n'était déjà plus là.
Son corps repose au cimetière d'Atuona, dans l'archipel des Marquises, aux côtés de Paul Gauguin. Sa musique vit dans nos mémoires.
la tombe de Gauguin :
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Miche son épouse est allée se recueillir sur sa tombe aux Marquises, une des ses filles est décédée.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Quand Jacques Brel est arrivé aux Marquises en novembre 1975 à bord de son voilier l'Askoy au terme d'une traversée de l'Atlantique puis du Pacifique, il a été séduit par l'île d'Hiva Oa. La beauté sauvage de l'île, un paysage à la Jurassic Park, la végétation luxuriante ne laissent pas indifférents. Mais surtout personne ne lui a demandé d'autographe. Ce qui n'était pas le cas à Papeete, capitale de la Polynésie française. A Atuona, à la Poste, il doit même montrer sa carte d'identité pour retirer un paquet.
Anticlérical militant Les Bigotes, La Dame patronnesse Brel condamne les institutions, pas les hommes.
Aussi entretient-il d'excellentes relations avec les sœurs de l'école Sainte-Anne.
Cette institution religieuse accueillait les jeunes filles de bonne famille de 9 à 18 ans qui y restaient en pension toute l'année scolaire.
Les liaisons maritimes difficiles entre les îles interdisaient de retrouver les familles à Noël ou à Pâques. Jacques Brel transportait donc les gamines avec son bimoteur Jojo.
Trente ans après, ces femmes, devenues mères de famille, en gardent un souvenir ému.
Anticlérical militant Les Bigotes, La Dame patronnesse Brel condamne les institutions, pas les hommes.
Aussi entretient-il d'excellentes relations avec les sœurs de l'école Sainte-Anne.
Cette institution religieuse accueillait les jeunes filles de bonne famille de 9 à 18 ans qui y restaient en pension toute l'année scolaire.
Les liaisons maritimes difficiles entre les îles interdisaient de retrouver les familles à Noël ou à Pâques. Jacques Brel transportait donc les gamines avec son bimoteur Jojo.
Trente ans après, ces femmes, devenues mères de famille, en gardent un souvenir ému.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Après l'échec de son dernier film : Far West, Jacques Brel part avec Madly et sa fille France sur son voilier l'Askoy.
Fin août, aux Açores, Brel apprend la mort de son fidèle ami, Jojo.
Il rentre pour les obsèques, et reste pour le mariage de sa fille Chantal en septembre.
En novembre, Jacques Brel est opéré du poumon à Bruxelles.
Il souffre d'un cancer du poumon gauche déjà très avancé.
Fin août, aux Açores, Brel apprend la mort de son fidèle ami, Jojo.
Il rentre pour les obsèques, et reste pour le mariage de sa fille Chantal en septembre.
En novembre, Jacques Brel est opéré du poumon à Bruxelles.
Il souffre d'un cancer du poumon gauche déjà très avancé.
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
En 1981, sa fille France crée la Fondation Jacques Brel destinée d'une part à faire connaître à un large public l'oeuvre de l'artiste, mais aussi à soutenir la recherche contre le cancer et l'aide à l'enfance hospitalisée.
http://www.francesoir.fr/musique/2008/10/09/entretien-france-brel-a-edite-le-dvd-j-aime-les-belges.html
http://www.francesoir.fr/musique/2008/10/09/entretien-france-brel-a-edite-le-dvd-j-aime-les-belges.html
Invité- Invité
Re: Jacques Brel
Et pour terminer ce superbe diaporama.
http://www.picdo.net/Fichiers/7b8383a582b7d51dcdce833a8cdd2a/Hommage_Brel.pps
si vous souhaitez apporter d'autres témoignages, vidéos ou photos, j'en serais ravie, merci.
http://www.picdo.net/Fichiers/7b8383a582b7d51dcdce833a8cdd2a/Hommage_Brel.pps
si vous souhaitez apporter d'autres témoignages, vidéos ou photos, j'en serais ravie, merci.
Invité- Invité
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