Nouvelles

[Invité]

Farrah Fawcet, la drôle de dame libre son dernier combat.
Elle lutte conte un cancer généralisé.
Elle a 62 ans, elle vit ses derniers jours auprès de son compagnons Ryan O'Neal.
Leur fils Redmon a pu sortir de prison quelques heures, il est incarcéré pour recel de drogue et faire ses adieux à sa mère.

Elle a accepté que son combat fasse l'objet d'un documentaire : Farrah's story, diffusé vendredi sue NBC.
Ceci pour que les gens prennent conscience de l'horreur de cette maladie et pour que les hôpitaux préservent la vie privée de leurs patients, peut être aussi pour payer les frais engendrés par la maladie.
extrait du documentaire

http://videos.nouvelobs.com/video/iLyROoafMVw-.html

[hulotte]

Merci Campanule bien triste,espèrons qu'elle sera écoutée...quelle sal.....i cette maladie.

[Invité]

Voici une affaire dont on nous parle relativement peu pour l'instant mais qui fait un certain bruit dans le milieu littéraire et qui a son intérêt dans le monde des médias car elle concerne l'animateur de télévision Michel Drucker!

En effet Calixthe Beyala a récemment publié un livre intitulé "L'Homme qui m’offrait le ciel" dans lequel elle parle d'un certain François Ackerman dont on remarque vite qu'il s'agit de Michel Drucker lui même!

Il s’appelle François Ackerman, il est l’animateur de télé préféré des Français, le « gendre idéal », il reçoit des people chaque dimanche et souffre de la mort de son frère « âgé d’un an de plus que lui »… François Ackerman ? Un nom de code pour désigner un homme public que tous reconnaissent sans peine.

C’est ce stratagème que la romancière Calixthe Beyala, africaine et passionaria de la « cause noire », a choisi pour se venger de l’homme qui a partagé deux ans de sa vie avant de rompre cette liaison extra-conjugale et de sagement rejoindre son épouse.

A peine publié, son roman à clef - « L’Homme qui m’offrait le ciel » (Albin Michel) fait jaser le Tout-Paris médiatique.
Calixthe Beyala n’a reculé devant aucun déballage, allant jusqu’à publier dans son livre les lettres de son illustre amant.
suite de l'article très intéressant

http://www.comlive.net/Calixthe-Beyala-Accuse-Michel-Drucker,153247.htm

Vidéo de Calixte Beyala :

http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoaftWYR.html

[Invité]

La drôle de dame a tiré de façon définitive sa révérence....
Farah Fawcett avait 62 ans et elle est décédée d'un cancer du colon, voir article plus haut

[Invité]

Flavie Fament règle ses comptes avec TF1

Six mois après avoir quitté TF1, et alors qu’elle officie toujours sur Jimmy, Flavie Flament continue de régler ses comptes, et ce, par le biais de France Soir. Dans un entretien sans concessions, l’animatrice revient sur son départ de la chaîne privée, encore une fois sans langue de bois.

Ainsi, elle avoue avoir été « soulagée » après être partie de la Une car « quitter TF1, c’était une question de santé mentale. ». Elle continue : « J’ai eu un sentiment de puissance et de liberté. J’avais l’impression d’être prise dans une machine à laver qui me broyait ».

Et si elle affirme ne pas avoir eu le sentiment d’accepter des projets pour rester à l’antenne à tout prix, une attitude qu’elle qualifie de « pathétique », elle se lâche toutefois sur d’autres programmes, et lance : « S’il y a un seul programme que je regrette d’avoir présenté, c’est Love and bluff. Une émission absolument merdique. La seule raison pour laquelle je l’ai acceptée, c’est parce que j’ai reçu des coups de fils incessants de la chaîne pendant 48 heures. L’animateur qui devait le présenter les avait lâchés. J’ai voulu leur rendre service. Ils m’ont dit qu’ils s’en souviendraient et que l’on pourrait enfin parler du magazine qui m’intéressait. Ça ne s’est jamais fait. ».

Quant à son avenir, elle remet les choses au clair, notamment concernant une rumeur l’annonçant à la tête d’une nouvelle émission de variétés sur France 3 : « J’ai été la première à rire de cette rumeur. Ça aurait été incohérent que j’anime une nouvelle émission de variétés alors que je ne voulais plus en faire sur TF1. Je le dis haut et fort : je n’en ferai plus jamais. Je serai sur Jimmy à la rentrée pour présenter deux émissions, Les Rois de la casse et L’Œil de Jimmy »

[Invité]

Jour J à France Télévisions. Ce matin, Patrick de Carolis, 56 ans barbu désormais, façon de marquer une nouvelle ère pour le journaliste qui reprend la rédaction d’un roman historique cède son fauteuil de PDG. Nommé par Nicolas Sarkozy, Rémy Pflimlin, 56 ans également, transfuge de Presstalis qu’il dirigeait, lui succède avec un plan d’attaque : rajeunir l’audience de France 2 et France 3, donner de l’autonomie à chaque chaîne, améliorer la diversité ethnoculturelle, garantir l’indépendance, combler le retard du groupe en matière d’offre numérique et négocier la nouvelle convention collective de la société unique.


La passation de pouvoirs
L’ancien et le nouveau patron auront un tête-à-tête vers 9 heures, pour faire le point sur les dossiers sensibles ou urgents. A commencer par les deux journalistes de France Télé otages en Afghanistan. A 10 heures, Carolis et Pflimlin prononceront un bref discours. Seuls les salariés maison pourront y assister. Le réseau interne retransmettra les allocutions : les collaborateurs en région et en outre-mer pourront ainsi les suivre.

La nouvelle équipe
On ignore la teneur du discours de Rémy Pflimlin, mais un communiqué devrait annoncer dans la journée tout un lot de nominations. D’abord, trois nouveaux DG de France Télés. Patrice Papet, ex-directeur des ressources humaines de Radio France, pour superviser la DRH du groupe et élaborer la nouvelle convention collective. Martin Ajdari, directeur adjoint de l’Opéra de Paris et autrefois patron de la gestion et de la production de Radio France, supervisera les finances. Bruno Patino, ex-directeur de France Culture, sera chargé de la stratégie et du développement numérique. Selon nos informations, d’autres nominations sont planifiées : Claude-Yves Robin à la tête de France 2, François Guilbeau pour France 3, Bruno Patino pour France 5 (outre sa fonction transversale). Emmanuelle Guilbart, jusqu’ici directrice du pôle télé de Lagardère, supervisera les programmes. Le poste de directeur général chargé des antennes et de l’information est supprimé. Patrice Duhamel, qui l’occupait, partira donc d’ici une à deux semaines.

L’avenir d’Arlette Chabot
Le point qui cristallise l’attention des rédactions concerne l’information. Rémy Pflimlin jette aux orties le cumul entre la direction de l’info et l’animation d’« A vous de juger ». Une « façon diplomatique d’écarter Arlette Chabot, conformément au souhait de Nicolas Sarkozy », déplore le SNJ. Sommée de choisir, Arlette Chabot garde une activité à l’antenne… sans garantie télé où il était directeur de la rédaction, Thierry Thuillier la remplace comme patron de l’info. « La vraie question est de savoir si les journalistes de France Télévisions et leur direction garderont leur indépendance vis-à-vis de l’Elysée, observe le SNJ. Dire à Arlette Chabot qu’elle est relevée de ses fonctions n’est pas très bon signe. »

Le Parisien

[Annick]

Je l'aimais bien en présentatrice des émissions de variétés.
Jolie, agréable, une bonne diction.

[Invité]

l'amour est dans le pré

Lundi 16 août, 5.3 millions de Français assistaient au bilan de la cinquième saison de L’Amour est dans le pré. Au cours de l’émission, la candidate Agnès était venue seule pour évoquer son idylle « au repos » avec Olivier. Dans les pages de Closer, l’intéressée apporte plus de précisions sur la situation.

« Nous ne sommes plus ensemble depuis un moment. Bien avant le tournage du bilan. Depuis le début, je n’y croyais pas trop. C’était trop beau pour être vrai. Par exemple, il m’a dit qu’il était amoureux deux jours après le début de l’expérience. (...) On a 45 ans, on a chacun eu des déceptions, on n’est plus des gamins », explique-t-elle en premier lieu.

La viticultrice évoque ensuite l’annonce de la rupture à son ancien prétendant, après un « break » de trois semaines pour des raisons professionnelles : « Hélas, il ne m’a pas manqué du tout... Je l’ai donc rappelé pour lui dire qu’on en restait là. Il a continué à insister, à appeler, à me relancer... très lourdement. Si bien qu’à un moment, j’ai envisagé d’appeler la production de M6 pour le calmer ».

« Je crois qu’il est encore [accro]. Mais je ne lui ai jamais fait miroiter quoi que ce soit. Il savait que je ne l’avais pas choisi au speed-dating et que, physiquement, il n’était pas mon style », poursuit-elle avant d’indiquer avoir accepté le week-end en amoureux à la demande d’Olivier afin de lui laisser une chance. Et l’intéressée de conclure : « Ce n’est pas lui le fautif, c’est moi qui n’ai rien ressenti pour lui ».

[Contenu sponsorisé]