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L'école des mousses.
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L'école des mousses.
L’école des
mousses.
A la chute de l’Empire au tout
début du 19ème siècle, la marine française était dans une situation
désastreuse. La mauvaise organisation comme l’indiscipline nécessitaient une
réorganisation. Il fallut aussi mettre de l’ordre dans les arsenaux.
On décida d’incorporer de jeunes
garçons, choisis parmi les enfants des officiers mariniers, matelots et
autres salariés de la marine, tant des ports que du littoral, en accordant
toujours la préférence aux enfants des marins morts ou mutilés en service,
ensuite aux enfants de ceux qui ont le plus de servi sur les bâtiments de
l’Etat.
Ou parmi les enfants des
officiers, sous officiers et soldats des troupes de terre et de mer, et en cas
d’insuffisance officiellement signalée aux préfets maritimes, parmi les enfants
de l’intérieur de la France.
Ils doivent être âgés de 13 à 15
ans, au plus de 16 ans, et doivent contracter un engagement volontaire de
servir dans les équipages de la flotte. Ils reçoivent un enseignement
comprenant lecture, écriture, premières règles d’arithmétique. L’instruction religieuse
est donnée par l’aumônier du vaisseau sur lequel ils sont embarqués.
Ils étaient donc engagés jusqu’à
leurs 18 ans et s’ils décidaient de se libérer plus tôt, leurs parents étaient
tenus de rembourser les frais de leur instruction et de leur entretien.
Par ordonnance royale du 28 Mai
1829, le corps royal des équipages de ligne fut réparti en 5 divisions avec
chacune une compagnie de mousses et commandée par un Lieutenant de Vaisseau.
La première compagnie de mousses
fut créée à Brest le premier mars 1832. Son effectif était de 120 enfants
installés à la Cayenne
à Recouvrance.
Le nom de « Cayenne »
donné à une caserne construite en 1766, peut paraitre bizarre. Il proviendrait
du fait qu’on y avait logé pendant qu’on la construisait ou aussitôt après,
soit des colons échappés lors de la désastreuse expédition de Kourou en Guyane,
soit une partie de ceux qu’on envoya de nouveau à Cayenne en 1768.
Cette caserne se composait de
deux pavillons réunis par un corps de bâtiments. L’ensemble de l’édifice bâti
sur un mamelon, dominait le port à l’Est et les bassins de Pontaniou au Nord.
Elle pouvait contenir 3200 marins plus les bureaux.
Le 12 Janvier 1835, une deuxième
compagnie fut formée à Brest en associant celles qui existaient précédemment à
Lorient et à Rochefort. Elle fut placée à la Cayenne en 1836 puis transférée aux Capucins.
Le plateau des Capucins est ainsi
nommé en souvenir de l’ancien couvent construit à cet emplacement en 1695 ; En 1789, les capucins
vendirent au Roi une partie des terrains leur appartenant, terrains acquis en
vue de dégager les abords des bassins de Pontaniou.
Vint la révolution et le départ
des capucins. On vendit le mobilier du couvent dont la partie la plus
importante était la bibliothèque composée d’environ 3000 volumes. Le produit de
la vente ne put suffire à l’acquittement des dettes contractées par les
capucins de Brest en très grande partie pour venir en aide à ceux de Quimper
qui avaient subi un incendie en 1785.
Les édifices et les terrains
furent attribués à la marine par décret en date du 12 mars 1791, qui en 1801
s’appropria le couvent pour servir de caserne aux apprentis canonniers. A
l’emplacement du couvent et des jardins y attenant on été élevés des ateliers.
En 2009, la marine rétrocède les
capucins à la ville qui doit y créer un nouveau quartier et réaménager les
ateliers qui s’y trouvaient.
C’est l’amiral GRIVEL qui décida
de séparer les mousses des équipages de ligne et qui les installa en rade sur une
ancienne corvette « l’Abondance ». Ce sera le premier navire école
des mousses de Brest.
En 1850 c’est sur la
« Thétis » toujours en rade de Brest que l’école sera transférée. Par
décret du 5 juin 1856, les compagnies des mousses seront regroupées sous
l’appellation d’école des mousses qui restera embarquée sur des bâtiments
mouillés en rade.
Plusieurs bâtiments abritèrent
cette école, les derniers furent :
Le Bretagne III de 1894 à 1898
Le Bretagne IV qui deviendra
célèbre sous le nom d’ « Armorique » de 1910 à 1940
Le Magellan de 1908 à 1923
Le Montcalm (qui deviendra le
Trémintin en 1934) de 1925 à 1940
Le Jean Bart (qui deviendra
l’Océan) de 1940 à 1944.
La promotion 1913 fut envoyée au
front dans la campagne des Flandres pour renforcer les bataillons de fusiliers
marins ; beaucoup n’en sont pas revenus. L’école reçut la croix de guerre
avec la citation :
« L’école des mousses de
Brest a formé de nombreux contingents de marins dont l’esprit de devoir et de
sacrifice s’est hautement manifesté, soit à terre, soit à bord, au cours de la
guerre 1914-1918. »
Lors de la dernière guerre
mondiale et l’arrivée des allemands à Morlaix, les mousses furent embarqués en
catastrophe et vont aller d’un pays à l’autre : l’Angleterre, le Maroc
(Casablanca, Safi), l’Algérie (Oran), et enfin Toulon sur
l’ « Océan » amarré sur coffre à St Mandrier. Quelques jours
après le sabordage de la flotte à Toulon, l’école sera dissoute. On verra
ensuite les mousses à Vals les Bains, Cahors puis Bordeaux en 1944. En 1945
l’école des mousses est transférée au Dourdy en Loctudy (Finistère sud).
Certains partirent en
Indochine ; à l’issue de cette campagne l’école reçut la médaille de
Chevalier de la Légion
d’Honneur remise par le secrétaire d’Etat à la marine le 11 décembre 1958 avec
la citation :
« L’école des mousses a
fourni à la marine une élite de marins de carrière dont l’esprit de devoir et
de sacrifice n’a cessé de se manifester au combat sur les théâtres d’opérations
extérieures. »
Le Dourdy s’ouvrit avec un premier
contingent de 100 pupilles venus de l’école des pupilles installée à Bertheaume
en Plougonvelin près du Conquet dans le Finistère. A partir de 1952 à leur
admission, les pupilles devront aussi posséder le certificat d’études primaires
et être âgés de 14 à 15 ans ½.
Les mousses possédaient le
certificat d’études primaires et étaient âgés de 15 à 17 ans.
Quant aux maistranciers, ils
étaient admis sur concours et devaient avoir de 16 à 19 ans.
A la sortie de l’école, les
mousses sont envoyés dans les écoles de spécialités, ainsi que les
maistranciers ayant réussi l’examen de sortie.
A la rentrée 1960 le 14 Octobre,
les mousses revinrent à Brest dans les bâtiments de l’ancienne école navale.
Dès lors ils seront recrutés dans la
France entière avec le BEPC et le niveau d’une classe de
seconde. Pour être admis ils devront passer différents examens : médicaux,
psychologiques, scolaires et contracter un engagement de 5 ans à compter de la
sortie de l’école.
Leur formation était divisée en
deux parties :
1/ instruction militaire, marine
et sportive. Des sorties sur les goélettes de la marine complétaient leur
formation.
2/ la seconde partie était
consacrée aux études.
En 1988 la marine devenue plus
moderne, la formation que recevait les mousses n’était plus adaptée, les jeunes
garçons préféraient l’école de maistrance qui forme des techniciens de pointe
d’un niveau scolaire supérieur. L’école devait fermer le 15 Juillet 1988 et son
drapeau remis aux mains du délégué du ministre. Depuis lors le drapeau est porté
par la garde de l’école de maistrance.
L’école des mousses vient d’être
recréée en 2009 à l’initiative du chef d’Etat Major afin de renforcer la capacité de recrutement par la marine, de
personnels appelés à naviguer, nourrir une ambition plus large de promotion de
la mer et des métiers qui peuvent s’y exercer auprès des jeunes générations.
Le président de la fondation
BELEM et le chef d’Etat Major de la marine ont signé une convention le 9
Juillet 2009 relative à l’embarquement des élèves de l’école des mousses sur le
trois mâts Belem. Chaque année à l’automne, les 150 élèves de l’école des
mousses embarqueront pour trois jours ; ce sera une prise de contact avec
la vie à bord et la discipline d’équipage sur un navire exigeant des manœuvres
spécifiques. La marine ne possède pas de navires susceptibles d’offrir cette
formation.
L’école des mousses est désormais
installée au CIN (CENTRE D’INSTRUCTION NAVALE) à Brest.
(Désolée, mais je n'arrive pas à ce qu'il soit plus compact). En espérant que cela peut vous intéresser.
mousses.
A la chute de l’Empire au tout
début du 19ème siècle, la marine française était dans une situation
désastreuse. La mauvaise organisation comme l’indiscipline nécessitaient une
réorganisation. Il fallut aussi mettre de l’ordre dans les arsenaux.
On décida d’incorporer de jeunes
garçons, choisis parmi les enfants des officiers mariniers, matelots et
autres salariés de la marine, tant des ports que du littoral, en accordant
toujours la préférence aux enfants des marins morts ou mutilés en service,
ensuite aux enfants de ceux qui ont le plus de servi sur les bâtiments de
l’Etat.
Ou parmi les enfants des
officiers, sous officiers et soldats des troupes de terre et de mer, et en cas
d’insuffisance officiellement signalée aux préfets maritimes, parmi les enfants
de l’intérieur de la France.
Ils doivent être âgés de 13 à 15
ans, au plus de 16 ans, et doivent contracter un engagement volontaire de
servir dans les équipages de la flotte. Ils reçoivent un enseignement
comprenant lecture, écriture, premières règles d’arithmétique. L’instruction religieuse
est donnée par l’aumônier du vaisseau sur lequel ils sont embarqués.
Ils étaient donc engagés jusqu’à
leurs 18 ans et s’ils décidaient de se libérer plus tôt, leurs parents étaient
tenus de rembourser les frais de leur instruction et de leur entretien.
Par ordonnance royale du 28 Mai
1829, le corps royal des équipages de ligne fut réparti en 5 divisions avec
chacune une compagnie de mousses et commandée par un Lieutenant de Vaisseau.
La première compagnie de mousses
fut créée à Brest le premier mars 1832. Son effectif était de 120 enfants
installés à la Cayenne
à Recouvrance.
Le nom de « Cayenne »
donné à une caserne construite en 1766, peut paraitre bizarre. Il proviendrait
du fait qu’on y avait logé pendant qu’on la construisait ou aussitôt après,
soit des colons échappés lors de la désastreuse expédition de Kourou en Guyane,
soit une partie de ceux qu’on envoya de nouveau à Cayenne en 1768.
Cette caserne se composait de
deux pavillons réunis par un corps de bâtiments. L’ensemble de l’édifice bâti
sur un mamelon, dominait le port à l’Est et les bassins de Pontaniou au Nord.
Elle pouvait contenir 3200 marins plus les bureaux.
Le 12 Janvier 1835, une deuxième
compagnie fut formée à Brest en associant celles qui existaient précédemment à
Lorient et à Rochefort. Elle fut placée à la Cayenne en 1836 puis transférée aux Capucins.
Le plateau des Capucins est ainsi
nommé en souvenir de l’ancien couvent construit à cet emplacement en 1695 ; En 1789, les capucins
vendirent au Roi une partie des terrains leur appartenant, terrains acquis en
vue de dégager les abords des bassins de Pontaniou.
Vint la révolution et le départ
des capucins. On vendit le mobilier du couvent dont la partie la plus
importante était la bibliothèque composée d’environ 3000 volumes. Le produit de
la vente ne put suffire à l’acquittement des dettes contractées par les
capucins de Brest en très grande partie pour venir en aide à ceux de Quimper
qui avaient subi un incendie en 1785.
Les édifices et les terrains
furent attribués à la marine par décret en date du 12 mars 1791, qui en 1801
s’appropria le couvent pour servir de caserne aux apprentis canonniers. A
l’emplacement du couvent et des jardins y attenant on été élevés des ateliers.
En 2009, la marine rétrocède les
capucins à la ville qui doit y créer un nouveau quartier et réaménager les
ateliers qui s’y trouvaient.
C’est l’amiral GRIVEL qui décida
de séparer les mousses des équipages de ligne et qui les installa en rade sur une
ancienne corvette « l’Abondance ». Ce sera le premier navire école
des mousses de Brest.
En 1850 c’est sur la
« Thétis » toujours en rade de Brest que l’école sera transférée. Par
décret du 5 juin 1856, les compagnies des mousses seront regroupées sous
l’appellation d’école des mousses qui restera embarquée sur des bâtiments
mouillés en rade.
Plusieurs bâtiments abritèrent
cette école, les derniers furent :
Le Bretagne III de 1894 à 1898
Le Bretagne IV qui deviendra
célèbre sous le nom d’ « Armorique » de 1910 à 1940
Le Magellan de 1908 à 1923
Le Montcalm (qui deviendra le
Trémintin en 1934) de 1925 à 1940
Le Jean Bart (qui deviendra
l’Océan) de 1940 à 1944.
La promotion 1913 fut envoyée au
front dans la campagne des Flandres pour renforcer les bataillons de fusiliers
marins ; beaucoup n’en sont pas revenus. L’école reçut la croix de guerre
avec la citation :
« L’école des mousses de
Brest a formé de nombreux contingents de marins dont l’esprit de devoir et de
sacrifice s’est hautement manifesté, soit à terre, soit à bord, au cours de la
guerre 1914-1918. »
Lors de la dernière guerre
mondiale et l’arrivée des allemands à Morlaix, les mousses furent embarqués en
catastrophe et vont aller d’un pays à l’autre : l’Angleterre, le Maroc
(Casablanca, Safi), l’Algérie (Oran), et enfin Toulon sur
l’ « Océan » amarré sur coffre à St Mandrier. Quelques jours
après le sabordage de la flotte à Toulon, l’école sera dissoute. On verra
ensuite les mousses à Vals les Bains, Cahors puis Bordeaux en 1944. En 1945
l’école des mousses est transférée au Dourdy en Loctudy (Finistère sud).
Certains partirent en
Indochine ; à l’issue de cette campagne l’école reçut la médaille de
Chevalier de la Légion
d’Honneur remise par le secrétaire d’Etat à la marine le 11 décembre 1958 avec
la citation :
« L’école des mousses a
fourni à la marine une élite de marins de carrière dont l’esprit de devoir et
de sacrifice n’a cessé de se manifester au combat sur les théâtres d’opérations
extérieures. »
Le Dourdy s’ouvrit avec un premier
contingent de 100 pupilles venus de l’école des pupilles installée à Bertheaume
en Plougonvelin près du Conquet dans le Finistère. A partir de 1952 à leur
admission, les pupilles devront aussi posséder le certificat d’études primaires
et être âgés de 14 à 15 ans ½.
Les mousses possédaient le
certificat d’études primaires et étaient âgés de 15 à 17 ans.
Quant aux maistranciers, ils
étaient admis sur concours et devaient avoir de 16 à 19 ans.
A la sortie de l’école, les
mousses sont envoyés dans les écoles de spécialités, ainsi que les
maistranciers ayant réussi l’examen de sortie.
A la rentrée 1960 le 14 Octobre,
les mousses revinrent à Brest dans les bâtiments de l’ancienne école navale.
Dès lors ils seront recrutés dans la
France entière avec le BEPC et le niveau d’une classe de
seconde. Pour être admis ils devront passer différents examens : médicaux,
psychologiques, scolaires et contracter un engagement de 5 ans à compter de la
sortie de l’école.
Leur formation était divisée en
deux parties :
1/ instruction militaire, marine
et sportive. Des sorties sur les goélettes de la marine complétaient leur
formation.
2/ la seconde partie était
consacrée aux études.
En 1988 la marine devenue plus
moderne, la formation que recevait les mousses n’était plus adaptée, les jeunes
garçons préféraient l’école de maistrance qui forme des techniciens de pointe
d’un niveau scolaire supérieur. L’école devait fermer le 15 Juillet 1988 et son
drapeau remis aux mains du délégué du ministre. Depuis lors le drapeau est porté
par la garde de l’école de maistrance.
L’école des mousses vient d’être
recréée en 2009 à l’initiative du chef d’Etat Major afin de renforcer la capacité de recrutement par la marine, de
personnels appelés à naviguer, nourrir une ambition plus large de promotion de
la mer et des métiers qui peuvent s’y exercer auprès des jeunes générations.
Le président de la fondation
BELEM et le chef d’Etat Major de la marine ont signé une convention le 9
Juillet 2009 relative à l’embarquement des élèves de l’école des mousses sur le
trois mâts Belem. Chaque année à l’automne, les 150 élèves de l’école des
mousses embarqueront pour trois jours ; ce sera une prise de contact avec
la vie à bord et la discipline d’équipage sur un navire exigeant des manœuvres
spécifiques. La marine ne possède pas de navires susceptibles d’offrir cette
formation.
L’école des mousses est désormais
installée au CIN (CENTRE D’INSTRUCTION NAVALE) à Brest.
(Désolée, mais je n'arrive pas à ce qu'il soit plus compact). En espérant que cela peut vous intéresser.
Invité- Invité
Re: L'école des mousses.
Oui Brocéliande, c'est intéressant.
A son début, les garçons étaient vraiment jeunes, encore des enfants.
C'était une rude école.
A son début, les garçons étaient vraiment jeunes, encore des enfants.
C'était une rude école.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 76492
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