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Juste pour rire
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RBB
Z06
6 participants
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Juste pour rire
Culture Générale, pas mal... *La minute culturelle...* Voilà l'histoire vraie (...) d'une expression connue de tous, mais très souvent mal orthographiée.
L'histoire du pourquoi est malheureusement inconnue de beaucoup, aussi, après de longues recherches, je la livre un peu écourtée, mais bien réelle.
Par un beau jour d'automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.
Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Écouille, se présenta au château clamant à qui veut l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait. Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.
Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes. A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.
Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors des ses futures chasses. Il s'éclaircit la gorge et neprononça qu'une seule phrase :
- Combien cela va-t-il me coûter?
Martin Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.
Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction. La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché. Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher. On ne sait plus aujourd'hui ce que le marchand est devenu par la suite et l'objet n'a hélas pas survécu aux années mais cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :
« Ca coûte l'appeau d'Écouille ».
Un peu de culture ne peut pas faire de mal.
Invité- Invité
Re: Juste pour rire
Et bien .....qui aurait imaginé ca
RBB- Date d'inscription : 19/05/2008
Nombre de messages : 3473
Re: Juste pour rire
Ce n'est pas comme cela que je l'aurais orthographié.
Mais si tu le dis, Campanule, moi je veux bien te croire.
Mais si tu le dis, Campanule, moi je veux bien te croire.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 76492
Re: Juste pour rire
oui oui---
mais par chez nous cela est devenu "la peau des fesses"! ---un peu plus noble votre altesse!
mais par chez nous cela est devenu "la peau des fesses"! ---un peu plus noble votre altesse!
MARGAUX- Age : 69
Date d'inscription : 17/05/2008
Nombre de messages : 7497
Re: Juste pour rire
Coquine Campanule !! Histoire amusante et si elle est vraie, elle est encore plus drôle.!!
Annick n'ose pas nous donner son orthographe---comme je la comprends----et Margaux se veut plus moderne. Parce que chez moi, on dit assez crûment " la peau du c...l " Quand on réfléchit bien, elles se valent toutes.
Allez bisous à tous et toutes.
Annick n'ose pas nous donner son orthographe---comme je la comprends----et Margaux se veut plus moderne. Parce que chez moi, on dit assez crûment " la peau du c...l " Quand on réfléchit bien, elles se valent toutes.
Allez bisous à tous et toutes.
Aubépine- Date d'inscription : 17/05/2008
Nombre de messages : 2764
Les bons mots de Sacha Guitry
Mesdames, il nous est difficile de revenir aussi vite que vous sur les décisions que vous prenez.
Elle est si parfaitement laide - qu'elle devient vraiment jolie dans un bon miroir déformant.
Celles qui sont la franchise même ne disent que la moitié de ce qu'elles pensent - ou bien alors en disent le double.
Elles croient que tous les hommes sont pareils, parce qu'elles se conduisent de la même manière avec tous les hommes.
Une femme sur ses genoux avec laquelle on n'est plus d'accord - c'est lourd !
Elle s'est donnée à moi - et c'est elle qui m'a eu...
Son sommeil était, de beaucoup, ce qu'elle avait de plus profond.
Son inconduite ne laissait rien à désirer : elle donnait tout.
Les femmes parlent jusqu'à ce qu'elles aient quelque chose à dire...
Deux femmes finiront toujours pour se mettre d'accord sur le dos d'une troisième.
Elle est si parfaitement laide - qu'elle devient vraiment jolie dans un bon miroir déformant.
Celles qui sont la franchise même ne disent que la moitié de ce qu'elles pensent - ou bien alors en disent le double.
Elles croient que tous les hommes sont pareils, parce qu'elles se conduisent de la même manière avec tous les hommes.
Une femme sur ses genoux avec laquelle on n'est plus d'accord - c'est lourd !
Elle s'est donnée à moi - et c'est elle qui m'a eu...
Son sommeil était, de beaucoup, ce qu'elle avait de plus profond.
Son inconduite ne laissait rien à désirer : elle donnait tout.
Les femmes parlent jusqu'à ce qu'elles aient quelque chose à dire...
Deux femmes finiront toujours pour se mettre d'accord sur le dos d'une troisième.
Invité- Invité
Re: Juste pour rire
Je conviendrai bien volontiers que les femmes nous sont supérieures- si cela pouvait les dissuader de se prétendre nos égales.
Je suis contre les femmes ... tout contre ...
On les a dans ses bras - puis un jour sur les bras - et bientôt sur le dos ...
Si la femme était bonne, Dieu en aurait une.
Il faut s'amuser à mentir aux femmes, on a l'impression qu'on se rembourse
Elles considèrent comme des remontrances les avertissements que nous avons la loyauté de leur donner.
Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu'elles n'ont pas commises.
Quand on dit d'une femme qu'elle est assez jolie , c'est qu'elle ne l'est justement pas assez.
On n'est jamais trompé par celles qu'on voudrait ...
Je m'amuse à mentir aux femmes, c'est exquis
Toi, quand tu arriveras un jour à l'heure, c'est que tu te sera trompée d'heure.
Je suis contre les femmes ... tout contre ...
On les a dans ses bras - puis un jour sur les bras - et bientôt sur le dos ...
Si la femme était bonne, Dieu en aurait une.
Il faut s'amuser à mentir aux femmes, on a l'impression qu'on se rembourse
Elles considèrent comme des remontrances les avertissements que nous avons la loyauté de leur donner.
Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu'elles n'ont pas commises.
Quand on dit d'une femme qu'elle est assez jolie , c'est qu'elle ne l'est justement pas assez.
On n'est jamais trompé par celles qu'on voudrait ...
Je m'amuse à mentir aux femmes, c'est exquis
Toi, quand tu arriveras un jour à l'heure, c'est que tu te sera trompée d'heure.
Invité- Invité
Re: Juste pour rire
Vous avez parfaitement le droit de dire à un fumeur qu'il fume trop s'il fume votre tabac.
Une femme qui s'en va avec son amant n'abandonne pas son mari, elle le débarrasse d'une femme infidèle.
Son corps est comme un défi d’en trouver un plus beau. Cela donne envie de chercher.
Si vous êtes un jour traité de parvenu, tenez pour bien certain que vous serez arrivé.
Si une femme baisse les yeux quand on l’embrasse, c’est pour mieux voir l’homme par qui elle aimerait être embrassée.
Si les femmes savaient combien on les regrette, elles s'en iraient plus vite!
Si le plus grand plaisir des hommes est de se payer les corps des femmes,
le plus grand plaisir des femmes est de se payer la tête des hommes.
Si la femme était bonne, Dieu en aurait une!
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage!
Guitry
Une femme qui s'en va avec son amant n'abandonne pas son mari, elle le débarrasse d'une femme infidèle.
Son corps est comme un défi d’en trouver un plus beau. Cela donne envie de chercher.
Si vous êtes un jour traité de parvenu, tenez pour bien certain que vous serez arrivé.
Si une femme baisse les yeux quand on l’embrasse, c’est pour mieux voir l’homme par qui elle aimerait être embrassée.
Si les femmes savaient combien on les regrette, elles s'en iraient plus vite!
Si le plus grand plaisir des hommes est de se payer les corps des femmes,
le plus grand plaisir des femmes est de se payer la tête des hommes.
Si la femme était bonne, Dieu en aurait une!
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage!
Guitry
Invité- Invité
Re: Juste pour rire
merci Campanule
hulotte- Age : 74
Date d'inscription : 21/05/2008
Nombre de messages : 26509
Re: Juste pour rire
Merci Hulotte
Voici une scène du malade imaginaire de Molière qui me fait beaucoup rire.
Notre scène montre Argan comme un personnage méfiant : il n'est pas si fou qu'il en a l'air. Par ailleurs, l'obsession de sa maladie est intéressante : certes Argan n'est pas malade, mais son obsession (hypocondrie) est une maladie mentale connue par les médecins de l'époque.
ARGAN, TOINETTE, CLÉANTE.
ARGAN — Monsieur Purgon m'a dit de me promener le matin dans ma chambre douze allées et douze venues ; mais j'ai oublié à lui demander si c'est en long ou en large.
TOINETTE — Monsieur, voilà un...
ARGAN — Parle bas, pendarde ! Tu viens m'ébranler tout le cerveau, et tu ne songes pas qu'il ne faut point parler si haut à des malades.
TOINETTE — Je voulais vous dire, Monsieur...
ARGAN — Parle bas, te dis-je.
TOINETTE — Monsieur...
(Elle fait semblant de parler.)
ARGAN — Eh ?
TOINETTE — Je vous dis que...
(Elle fait semblant de parler.)
ARGAN — Qu'est-ce que tu dis ?
TOINETTE, haut. — Je dis que voilà un homme qui veut parler à vous.
ARGAN — Qu'il vienne.
(Toinette fait signe à Cléante d'avancer.)
CLÉANTE — Monsieur...
TOINETTE, raillant1. — Ne parlez pas si haut, de peur d'ébranler le cerveau de Monsieur.
CLÉANTE — Monsieur, je suis ravi de vous trouver debout et de voir que vous vous portez mieux.
TOINETTE, feignant d'être en colère. — Comment qu'il se porte mieux ? Cela est faux, Monsieur se porte toujours mal.
CLÉANTE — J'ai ouï dire que Monsieur était mieux, et je lui trouve bon visage.
TOINETTE — Que voulez-vous dire avec votre bon visage ? Monsieur l'a fort mauvais, et ce sont des impertinents qui vous ont dit qu'il était mieux. Il ne s'est jamais si mal porté.
ARGAN — Elle a raison.
TOINETTE — Il marche, dort, mange, et boit tout comme les autres ; mais cela n'empêche pas qu'il ne soit fort malade.
ARGAN — Cela est vrai.
CLÉANTE — Monsieur, j'en suis au désespoir. Je viens de la part du maître à chanter de Mademoiselle votre fille. Il s'est vu obligé d'aller à la campagne pour quelques jours, et, comme son ami intime, il m'envoie à sa place pour lui continuer ses leçons de peur qu'en les interrompant elle ne vînt à oublier ce qu'elle sait déjà.
ARGAN — Fort bien. Appelez Angélique.
TOINETTE — Je crois, Monsieur, qu'il sera mieux de mener Monsieur à sa chambre.
ARGAN — Non, faites-la venir.
TOINETTE — Il ne pourra lui donner leçon comme il faut s'ils ne sont en particulier.
ARGAN — Si fait2, si fait.
TOINETTE — Monsieur, cela ne fera que vous étourdir, et il ne faut rien pour vous émouvoir en l'état où vous êtes, et vous ébranler le cerveau.
ARGAN — Point, point, j'aime la musique, et je serai bien aise de...Ah ! la voici. Allez-vous-en voir, vous, si ma femme est habillée.
Voici une scène du malade imaginaire de Molière qui me fait beaucoup rire.
Notre scène montre Argan comme un personnage méfiant : il n'est pas si fou qu'il en a l'air. Par ailleurs, l'obsession de sa maladie est intéressante : certes Argan n'est pas malade, mais son obsession (hypocondrie) est une maladie mentale connue par les médecins de l'époque.
ARGAN, TOINETTE, CLÉANTE.
ARGAN — Monsieur Purgon m'a dit de me promener le matin dans ma chambre douze allées et douze venues ; mais j'ai oublié à lui demander si c'est en long ou en large.
TOINETTE — Monsieur, voilà un...
ARGAN — Parle bas, pendarde ! Tu viens m'ébranler tout le cerveau, et tu ne songes pas qu'il ne faut point parler si haut à des malades.
TOINETTE — Je voulais vous dire, Monsieur...
ARGAN — Parle bas, te dis-je.
TOINETTE — Monsieur...
(Elle fait semblant de parler.)
ARGAN — Eh ?
TOINETTE — Je vous dis que...
(Elle fait semblant de parler.)
ARGAN — Qu'est-ce que tu dis ?
TOINETTE, haut. — Je dis que voilà un homme qui veut parler à vous.
ARGAN — Qu'il vienne.
(Toinette fait signe à Cléante d'avancer.)
CLÉANTE — Monsieur...
TOINETTE, raillant1. — Ne parlez pas si haut, de peur d'ébranler le cerveau de Monsieur.
CLÉANTE — Monsieur, je suis ravi de vous trouver debout et de voir que vous vous portez mieux.
TOINETTE, feignant d'être en colère. — Comment qu'il se porte mieux ? Cela est faux, Monsieur se porte toujours mal.
CLÉANTE — J'ai ouï dire que Monsieur était mieux, et je lui trouve bon visage.
TOINETTE — Que voulez-vous dire avec votre bon visage ? Monsieur l'a fort mauvais, et ce sont des impertinents qui vous ont dit qu'il était mieux. Il ne s'est jamais si mal porté.
ARGAN — Elle a raison.
TOINETTE — Il marche, dort, mange, et boit tout comme les autres ; mais cela n'empêche pas qu'il ne soit fort malade.
ARGAN — Cela est vrai.
CLÉANTE — Monsieur, j'en suis au désespoir. Je viens de la part du maître à chanter de Mademoiselle votre fille. Il s'est vu obligé d'aller à la campagne pour quelques jours, et, comme son ami intime, il m'envoie à sa place pour lui continuer ses leçons de peur qu'en les interrompant elle ne vînt à oublier ce qu'elle sait déjà.
ARGAN — Fort bien. Appelez Angélique.
TOINETTE — Je crois, Monsieur, qu'il sera mieux de mener Monsieur à sa chambre.
ARGAN — Non, faites-la venir.
TOINETTE — Il ne pourra lui donner leçon comme il faut s'ils ne sont en particulier.
ARGAN — Si fait2, si fait.
TOINETTE — Monsieur, cela ne fera que vous étourdir, et il ne faut rien pour vous émouvoir en l'état où vous êtes, et vous ébranler le cerveau.
ARGAN — Point, point, j'aime la musique, et je serai bien aise de...Ah ! la voici. Allez-vous-en voir, vous, si ma femme est habillée.
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