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Recueil de belles histoires
2 participants
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Recueil de belles histoires
bonjour,
je poste ici des histoires glanées à droite et à gauche,si vous voulez participer ce sera avec plaisir
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L'Étrangère
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes
à l'inviter à demeurer chez nous.
L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et
mon père m'apprit l'obéissance.
Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse.
Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
(Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis.
Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent.
Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents,
vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter
ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom ?
Nous, nous l'appelons… Télévision !
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…
…un fils qui s'appelle Portable…
…et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
(Auteur inconnu)
****************************************************************************************
Dans un petit village côtier mexicain, un pêcheur rentre au port, ramenant plusieurs thons.
Un touriste américain le complimente sur la qualité de ses poissons, et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.
"Oh, pas très longtemps", répond le Mexicain.
"Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? " demande l'Américain, étonné.
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront amplement à nourrir sa famille les prochains jours.
L'Américain s’interroge : "Mais que faites-vous donc le reste du temps ? "
" Je fais la grasse matinée puis je pêche un peu. Une fois rentré je joue avec mes enfants ou je fais la sieste avec ma femme.
Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie..."
L'Américain l'interrompt : "Je suis diplômé en économie et management, et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps, et revendre ce que vous ne mangerez pas. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau.
Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez toute une flotte de chalutiers.
Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez ainsi négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine ! Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City,
Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires !"
"Combien de temps cela prendrait-il ?" demande alors le pêcheur.
"15 à 20 ans."
"Et après ?"
" Après, c'est là que ça devient intéressant", répond l'Américain en souriant.
"Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse. Vous gagnerez alors des millions !"
"Des millions ?!? Mais après ?" s’interroge le Mexicain.
"Après, vous pourrez prendre votre retraite et habiter dans un petit village côtier.
Vous pourrez faire la grasse matinée, pêcher un peu, jouer avec vos petits-enfants
ou faire la sieste avec votre femme, et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis..."
******************************************************************************
L'âne au fond du puits
Un jour, l' âne d' un fermier est tombé dans un puits.
L' animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il
a décidé que l' animal était vieux et le puits devait
disparaître de toute façon, ce n' était pas rentable
pour lui de récupérer l' âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l' aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à
enterrer l' âne dans le puits.
Au début, l' âne a réalisé ce qui se produisait et se
mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s' est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement
regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu' il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
l' âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se
secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à
pelleter sur l' animal, il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l' âne soit hors du
puits et se mit à trotter !
La vie va essayer de t' engloutir de toutes sortes
d' ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se
secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n' arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner!
Secoue-toi et fonce !
Rappelle-toi, les cinq règles simples !
À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
1. Libère ton coeur de la haine.
2. Libère ton esprit des inquiétudes.
3. Vis simplement.
4. Donne plus.
5. Attends moins.
****
************************************************************************
la blessure
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous
et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin
chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines
suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la
barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile
de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière.
Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.
Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour
où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père
qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit :
"Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière.
Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis
quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là.
Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours
une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent.
Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent
et t'ouvrent leur coeur. Montre à tes amis combien tu les aimes".
je poste ici des histoires glanées à droite et à gauche,si vous voulez participer ce sera avec plaisir
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L'Étrangère
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes
à l'inviter à demeurer chez nous.
L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et
mon père m'apprit l'obéissance.
Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse.
Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.
Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
(Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis.
Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent.
Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
Il n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents,
vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter
ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom ?
Nous, nous l'appelons… Télévision !
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…
…un fils qui s'appelle Portable…
…et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
(Auteur inconnu)
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Le pêcheur mexicain
Dans un petit village côtier mexicain, un pêcheur rentre au port, ramenant plusieurs thons.
Un touriste américain le complimente sur la qualité de ses poissons, et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.
"Oh, pas très longtemps", répond le Mexicain.
"Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? " demande l'Américain, étonné.
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront amplement à nourrir sa famille les prochains jours.
L'Américain s’interroge : "Mais que faites-vous donc le reste du temps ? "
" Je fais la grasse matinée puis je pêche un peu. Une fois rentré je joue avec mes enfants ou je fais la sieste avec ma femme.
Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie..."
L'Américain l'interrompt : "Je suis diplômé en économie et management, et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps, et revendre ce que vous ne mangerez pas. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau.
Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez toute une flotte de chalutiers.
Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez ainsi négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine ! Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City,
Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires !"
"Combien de temps cela prendrait-il ?" demande alors le pêcheur.
"15 à 20 ans."
"Et après ?"
" Après, c'est là que ça devient intéressant", répond l'Américain en souriant.
"Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse. Vous gagnerez alors des millions !"
"Des millions ?!? Mais après ?" s’interroge le Mexicain.
"Après, vous pourrez prendre votre retraite et habiter dans un petit village côtier.
Vous pourrez faire la grasse matinée, pêcher un peu, jouer avec vos petits-enfants
ou faire la sieste avec votre femme, et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis..."
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L'âne au fond du puits
Un jour, l' âne d' un fermier est tombé dans un puits.
L' animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il
a décidé que l' animal était vieux et le puits devait
disparaître de toute façon, ce n' était pas rentable
pour lui de récupérer l' âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l' aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à
enterrer l' âne dans le puits.
Au début, l' âne a réalisé ce qui se produisait et se
mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s' est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement
regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu' il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
l' âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se
secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à
pelleter sur l' animal, il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l' âne soit hors du
puits et se mit à trotter !
La vie va essayer de t' engloutir de toutes sortes
d' ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se
secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n' arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner!
Secoue-toi et fonce !
Rappelle-toi, les cinq règles simples !
À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
1. Libère ton coeur de la haine.
2. Libère ton esprit des inquiétudes.
3. Vis simplement.
4. Donne plus.
5. Attends moins.
****
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la blessure
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous
et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin
chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines
suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la
barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile
de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière.
Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.
Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour
où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père
qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit :
"Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière.
Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis
quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là.
Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours
une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent.
Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent
et t'ouvrent leur coeur. Montre à tes amis combien tu les aimes".
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Le tablier de grand-mère
Je crois que les jeunes d’aujourd’hui ignorent ce qu’est un tablier...
Vous souvenez-vous du tablier de votre grand-mère
Les mères et grand-mères portaient un tablier par-dessus leurs vêtements pour les protéger car elles avaient peu de robes de rechange. En fait, il était beaucoup plus facile de laver un tablier habituellement en coton qu’une robe, une blouse ou une jupe, faites d’autres tissus. Le principal usage du tablier de grand-mère était donc de protéger la robe, mais en plus de cela:
Il servait de gant pour retirer un plat brûlant du fourneau, bien avant l’invention des « mitaines à fourneau
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs à moitié éclos, que maman déposait dans un fourneau tiède afin de faciliter leur éclosion.
Quand il y avait de la visite, le tablier servait d'abri aux enfants timides… d’où l’expression : «Se cacher dans les jupons de sa mère».
Par temps frais, maman le relevait pour s’y emmitoufler les bras et les épaules. Par temps chaud, alors qu’elle cuisinait devant le poêle à bois, elle y épongeait la sueur de son front.
Ce bon vieux tablier faisait aussi office de soufflet, alors qu’elle l’agitait au dessus du feu de bois pour le ranimer.
C'est lui qui servait à transbahuter pommes de terre et bois sec jusque dans la cuisine
Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes ; après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux. En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand des visiteurs arrivaient à l’improviste, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
A l'heure du repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, c’était signe que le dîner était prêt, et les hommes aux champs savaient qu'ils devaient passer à table.
Grand-mère l'utilisait aussi pour sortir la tarte aux pommes du four et la poser sur le rebord de la fenêtre, afin qu'elle refroidisse ; de nos jours sa petite fille l’y pose aussi, mais pour la décongeler... Autres temps, autres moeurs!
Il faudra de bien longues années, avant que quelqu'un invente un vêtement, qui puisse rivaliser avec ce bon vieux tablier utile à tant de choses.
Danger ?
On deviendrait bien fou aujourd’hui rien que de songer à la quantité de microbes qui pouvaient s’accumuler sur le tablier en une seule journée ! !
En réalité la seule chose que les enfants de l’époque aient attrapée au contact du tablier de maman ou de grand-maman, c’est de l’amour !
En souvenir de nos grands-mères
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Je crois que les jeunes d’aujourd’hui ignorent ce qu’est un tablier...
Vous souvenez-vous du tablier de votre grand-mère
Les mères et grand-mères portaient un tablier par-dessus leurs vêtements pour les protéger car elles avaient peu de robes de rechange. En fait, il était beaucoup plus facile de laver un tablier habituellement en coton qu’une robe, une blouse ou une jupe, faites d’autres tissus. Le principal usage du tablier de grand-mère était donc de protéger la robe, mais en plus de cela:
Il servait de gant pour retirer un plat brûlant du fourneau, bien avant l’invention des « mitaines à fourneau
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs à moitié éclos, que maman déposait dans un fourneau tiède afin de faciliter leur éclosion.
Quand il y avait de la visite, le tablier servait d'abri aux enfants timides… d’où l’expression : «Se cacher dans les jupons de sa mère».
Par temps frais, maman le relevait pour s’y emmitoufler les bras et les épaules. Par temps chaud, alors qu’elle cuisinait devant le poêle à bois, elle y épongeait la sueur de son front.
Ce bon vieux tablier faisait aussi office de soufflet, alors qu’elle l’agitait au dessus du feu de bois pour le ranimer.
C'est lui qui servait à transbahuter pommes de terre et bois sec jusque dans la cuisine
Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes ; après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux. En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand des visiteurs arrivaient à l’improviste, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
A l'heure du repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, c’était signe que le dîner était prêt, et les hommes aux champs savaient qu'ils devaient passer à table.
Grand-mère l'utilisait aussi pour sortir la tarte aux pommes du four et la poser sur le rebord de la fenêtre, afin qu'elle refroidisse ; de nos jours sa petite fille l’y pose aussi, mais pour la décongeler... Autres temps, autres moeurs!
Il faudra de bien longues années, avant que quelqu'un invente un vêtement, qui puisse rivaliser avec ce bon vieux tablier utile à tant de choses.
Danger ?
On deviendrait bien fou aujourd’hui rien que de songer à la quantité de microbes qui pouvaient s’accumuler sur le tablier en une seule journée ! !
En réalité la seule chose que les enfants de l’époque aient attrapée au contact du tablier de maman ou de grand-maman, c’est de l’amour !
En souvenir de nos grands-mères
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jean-pierre- Date d'inscription : 03/12/2018
Nombre de messages : 909
Re: Recueil de belles histoires
Merci pour ces belles histoires que j'ai toutes lues.
J'aime bien celle de l'âne et du puits.
Je me souviens des tabliers de mes grands-mères, il est vrai qu'il servait à tout ce tablier, questions microbes il devait y en avoir pas mal dessus en fin de journée, mais nous n'étions pas plus malades pour cela.
J'aime bien celle de l'âne et du puits.
Je me souviens des tabliers de mes grands-mères, il est vrai qu'il servait à tout ce tablier, questions microbes il devait y en avoir pas mal dessus en fin de journée, mais nous n'étions pas plus malades pour cela.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
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