Magazines - Reportages

[Invité]

Envoyé spécial :

les thémes abordés :

comme un poisson dans l'eau :
depuis 2007, les poissons du Rhône sont interdits à la consommation à cause du PCB ou pyralène, pourtant cette substance est bannie depuis vingt ans.

portrait de Dany Boon, le comique cht'i et réalisateur de bienvenue chez les ch'tis.

[Invité]

Un auditeur d'europe 1 poussait un coup de gueule ce matin, les magasines de la 6 qui montrent des gens blindés d'argent.....il trouve cela indécent et je pense qu'il a raison :P :P

[Annick]

Envoyé spécial :

les thémes abordés :

comme un poisson dans l'eau :
depuis 2007, les poissons du Rhône sont interdits à la consommation à cause du PCB ou pyralène, pourtant cette substance est bannie depuis vingt ans.

C'est de tout cela qu'on est malade, Campanule.
Les cochonneries déversées dans les rivières, l'usage des pesticides à outrance...

[Invité]

Envoyé spécial :

Voici les sujets inscrits cette semaine au sommaire du magazine «Envoyé Spécial», présenté par Guilaine Chenu et Françoise Joly, jeudi 18 décembre à 20:50 sur France 2.

Chasseur de crus Importer des vins du monde entier en France, au pays du Bordeaux et du Bourgogne, est un pari très risqué. Mais le goût de la découverte et de la nouveauté incite à aller chercher toujours plus loin des vins rares et insolites.

Qui aurait imaginé que l’on produit du vin au Japon depuis le XIXe siècle et que depuis peu il commence même à être exporté ? C’est en suivant les traces de Claude Gilois, un importateur de vins, que nous découvrons le vignoble du Mont Fuji.

Autres vins exceptionnels, ceux de Massandra en Crimée : cette cave créée par Nicolas II, le dernier tsar de Russie, abrite parmi les plus vieilles bouteilles de vin buvables au monde. Pour évaluer les crus de Massandra, Olivier Poussier, meilleur sommelier du monde 2000, est du voyage, tout comme Michel Chasseuil, un expert en vins rares.

Pour la première fois, ce dernier accepte d’ouvrir aux caméras les portes de sa collection personnelle, l’une des plus belles de la planète, vouée à devenir le premier conservatoire international du vin et à être classée un jour peut-être au patrimoine mondial de l’humanité…

Y aura-t-il des crevettes à Noël ? On la trouve sous toutes ses formes : crue, cuite, rose, grise, tigrée ou surgelée. Autrefois réservée à une clientèle privilégiée, la crevette est aujourd’hui en France sur tous les étals de poissonniers à longueur d’année régulièrement en promotion. En moins de vingt ans, elle est devenue un produit de consommation courante.

Depuis les années 80, l’Asie et l’Amérique produisent à grande échelle des crevettes d’élevage dont la demande a explosé dans les pays riches. Un secteur qui rapporte près de dix milliards d’euros aux producteurs du monde entier et qui fournit du travail à des dizaines de milliers d’employés. Mais à quel prix ?

Les amateurs de crevettes ignorent le coût véritable de cette industrie qui pollue, détruit la nature et joue avec la santé des hommes et parfois même avec leur vie. Pour découvrir cette réalité méconnue et cachée, direction le sud-est asiatique entre le Bangladesh, la Thaïlande et le Vietnam, trois pays qui comptent aujourd’hui parmi les plus importants producteurs au monde et où la crevette a déjà fait des ravages irréversibles.

Eglises : un patrimoine en danger La France a-t-elle encore les moyens de préserver toutes ses églises ? A Saint-Georges-des-Gardes, près d’Angers, un tabou a été brisé. Il y a deux ans, le conseil municipal a fait raser l’église. L’édifice datait du XIXe siècle et avait sérieusement besoin de restauration. Mais il y en avait pour plus d’un million d’euros de travaux. Trop cher selon la mairie. Il ne faudra pas moins de trois semaines de travail et deux pelleteuses pour en venir à bout.
Combien d’églises sont menacées en France ? Etonnamment, personne n’a dressé d’inventaire. Ni l’Etat, ni l’épiscopat. Le clergé ne finance pas les rénovations car il n’est pas le propriétaire des 45 000 églises de France. Il n’a la charge que des édifices construits après 1905, soit seulement 2 000 églises. Reste une solution pour trouver de l’argent, aller le chercher là où il se trouve, c’est-à-dire dans le privé. Des églises ont été vendues et transformées en restaurant, en magasin de meubles, en loft et même en boîte de nuit.

Alors quel avenir pour nos églises ? Pour celles classées aux monuments historiques, c'est-à-dire les plus prestigieuses comme les cathédrales, les basiliques ou les églises les plus anciennes : pas de problème. L’Etat trouvera toujours de l’argent. En revanche, de nombreuses petites églises de nos campagnes, celles dont la valeur patrimoniale n’est pas encore reconnue, sont menacées. A moins d’un miracle.

[Contenu sponsorisé]