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" Histoires Vraies " ou Le Savoir "
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Z06
lilas
Annick
Magnolio
Marialys
9 participants
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Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Le 3 juin 2016
Bonsoir à Toutes et Tous
" Pour le plaisir des Yeux , et pour les Gourmands "
Le musée du chocolat de Barcelone est sans doute le musée le plus « sucré » de la ville.
Inauguré en 2000, il est le premier établissement de ce genre en Catalogne.
Seulement huit ans après son ouverture, le musée du chocolat a sut consolider
sa place au sein de l’offre culturelle catalane et fait partie des musées les plus visité
de la ville de Barcelone. Depuis son inauguration, il compte déjà plus de 445 000 visites
avec un record de fréquentation en 2007 atteignant les 92 000 visiteurs.
Le musée du chocolat est une initiative de la corporation régionale de la pâtisserie
de Barcelone qui avait la volonté d’innover et de moderniser le secteur à partir de
la vraie tradition pâtissière.
Le musée du Chocolat de Barcelone dispose d’un espace de 600m² dans lequel
il est présenté le processus allant de son origine et sa signification, son exportation
Européenne, sa valeur symbolique, culturelle, économique et nutritive, ainsi que
sa fabrication, sa production et sa consommation.
L’exposition regroupe des objets, des iconographies, des représentations
interactives et audiovisuelles.
Certaines représentent des monuments emblématiques de Barcelone et d’Espagne,
d’autres des scènes de dessins animés cultes tels que Tintin ou Astérix.
Cela ne manquera pas de plaire aux enfants!
Et pour finir :
" PHOTOS. Chocolat: les créations les plus originales "
Ce sont Toutes des Créations en Chocolat !
" Et SCULPTURE DE LEONIDAS " en Chocolat "
" une sculpture en chocolat haute d'un mètre et longue de deux mètres, représentant l'Opéra Garnier. Réalisée par la maison belge Léonidas, elle brille de plusieurs milliers de cristaux Swarovski "
" Et voici des bouquets de fleurs... en chocolat :
on n'a pas envie de les manger tellement c'est joli ".
Une sculpture aussi belle qu'appétissante offre au maltais maître chocolatier Andrew Farrugia l'inscription de son convoi en chocolat de 35 mètres au Guinness book record.
Un régal pour les yeux !
Très Bonne Soirée
A Toutes et Tous
Bonsoir à Toutes et Tous
" Pour le plaisir des Yeux , et pour les Gourmands "
Le musée du chocolat de Barcelone est sans doute le musée le plus « sucré » de la ville.
Inauguré en 2000, il est le premier établissement de ce genre en Catalogne.
Seulement huit ans après son ouverture, le musée du chocolat a sut consolider
sa place au sein de l’offre culturelle catalane et fait partie des musées les plus visité
de la ville de Barcelone. Depuis son inauguration, il compte déjà plus de 445 000 visites
avec un record de fréquentation en 2007 atteignant les 92 000 visiteurs.
Le musée du chocolat est une initiative de la corporation régionale de la pâtisserie
de Barcelone qui avait la volonté d’innover et de moderniser le secteur à partir de
la vraie tradition pâtissière.
Le musée du Chocolat de Barcelone dispose d’un espace de 600m² dans lequel
il est présenté le processus allant de son origine et sa signification, son exportation
Européenne, sa valeur symbolique, culturelle, économique et nutritive, ainsi que
sa fabrication, sa production et sa consommation.
L’exposition regroupe des objets, des iconographies, des représentations
interactives et audiovisuelles.
Sculptures en chocolat
Des sculptures en chocolat jalonnent le parcours et sont bien plus impressionnantes!Certaines représentent des monuments emblématiques de Barcelone et d’Espagne,
d’autres des scènes de dessins animés cultes tels que Tintin ou Astérix.
Cela ne manquera pas de plaire aux enfants!
Et pour finir :
" PHOTOS. Chocolat: les créations les plus originales "
Ce sont Toutes des Créations en Chocolat !
" Et SCULPTURE DE LEONIDAS " en Chocolat "
" une sculpture en chocolat haute d'un mètre et longue de deux mètres, représentant l'Opéra Garnier. Réalisée par la maison belge Léonidas, elle brille de plusieurs milliers de cristaux Swarovski "
" Et voici des bouquets de fleurs... en chocolat :
on n'a pas envie de les manger tellement c'est joli ".
Une sculpture aussi belle qu'appétissante offre au maltais maître chocolatier Andrew Farrugia l'inscription de son convoi en chocolat de 35 mètres au Guinness book record.
Un régal pour les yeux !
Très Bonne Soirée
A Toutes et Tous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Quelles merveilles toutes ces créations en chocolat !
C'est fabuleux.
Merci Marialys
C'est fabuleux.
Merci Marialys
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Marialys ! waouuuu que c'est beau tout ca !!
quel travail d'artiste !
à déguster des yeux car ca serait un sacrilège de les manger
Je connais les fleurs en chocolat ; à Bayonne j'en avais acheté ; et comme dit Brel : les fleurs c'est périssable, mais pas celles là !
il y a aussi des robes en chocolat ... là il faut éviter les passions brulantes !
merci de nous faire découvrir ces merveilles de ce musée
bonne journée
quel travail d'artiste !
à déguster des yeux car ca serait un sacrilège de les manger
Je connais les fleurs en chocolat ; à Bayonne j'en avais acheté ; et comme dit Brel : les fleurs c'est périssable, mais pas celles là !
il y a aussi des robes en chocolat ... là il faut éviter les passions brulantes !
merci de nous faire découvrir ces merveilles de ce musée
bonne journée
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Merci pour cette belle découverte , j'avoue que je croquerais bien dedans , accroc au chocolat (noir bien entendu )
Invité- Invité
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Retiens-toi, Bathilde !
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Le 15 juin 2016
Bonsoir à Toutes et Tous
Annick , Bathilde , je crois
l'on est tous fan du chocolat noir ,
c'est un pur délice!!!!! miam....miam......!
Et bien aujourd'hui , çà ne se mange pas !
je vais vous raconter " L'HISTOIRE DU PIANO "
Histoire et évolution du piano du 14e siècle au 19e siècle
Les premiers instruments de musique pouvant être appelés « mélodiques » utilisés par l’homme sont sans aucun doute des instruments à cordes. Le tout premier instrument à corde ayant été inventé est vraisemblablement l’arc musical :
des dessins qui se retrouvent dans des cavernes et datant de l’âge de la pierre le prouvent.
Au cours de l’histoire, la corde « tendue » est demeurée l’un des moyens les plus importants de produire un son musical, que l’instrument de musique soit sous forme d’arc, qu’elle soit pincée par les doigts ou un plectre rigide ou, dans certains cas, frappée par un marteau.
Le piano étant un instrument à cordes frappées, il se distingue des instruments à cordes pincées (par exemple le clavecin, ou encore la guitare) ou à cordes frottées (prenons le violon), et ses origines sont plutôt tardives.
C’est probablement au quatorzième siècle qu’a été développée l’idée d’ajouter un clavier à un instrument à cordes, cordes qui se mettraient à vibrer lorsqu’un marteau les frappe. Mais au cours des 250 années qui ont suivi, c’est le clavecin, aux cordes pincées et non pas frappées, qui aura sans contredit eu la plus grande influence en musique.
Le clavicorde également aura été plutôt populaire, et malgré ses limites importantes, c’était un instrument qui permettait différents degrés de jeu des doigts, car ses cordes sont frappées par des tangentes miniatures.
Vers la fin du 17e siècle, une demande naissante pour de plus grandes possibilités musicales telles que l’accentuation auront donné lieu au climat dans lequel a pu se développer un instrument comme le piano, après son apparition.
Élément essentiel de l’instrument, le clavier est apparu au Moyen Âge. C’est en fait une adaptation aux instruments de musique à cordes du clavier de l’orgue qui, lui, est un instrument de musique à vent. L’invention aura généré deux familles d’instruments musicaux différents :
Cristofori – La naissance du piano vers 1710
C’est Bartolommeo Cristofori, un fabricant de clavecins, qui a construit le premier piano, quelque part entre 1709 et 1711. Il donna le nom de « gravicembalo col piano e forte » (clavecin avec doux et fort) au nouvel instrument de musique créé. Son ingéniosité fut telle qu’il a inventé un système permettant de jouer doucement (« piano ») et fortement (« forte ») de l’instrument.
Le développement du piano de 1780 à 1790
Au cours de la troisième décennie du 18e siècle, quelques facteurs de clavecin et d’orgues d’Allemagne, de Saxe et de Bavière plus précisément, ont commencé à concevoir des pianos pour quelques amateurs. Gottfried Silbermann (1683-1753) était le plus connu d’entre eux, et celui-ci a tenté d’intéresser le compositeur Jean-Sébastien Bach à son nouvel instrument. On note qu’il a reproduit presque identiquement la mécanique de Cristofori, en y apportant toutefois une amélioration, soit celle d’élever les étouffoirs.
Au cours de la guerre de Sept Ans, soit de 1756 à 1763, les activités ont cessé sur le continent, et douze fabricants se sont déplacés en Angleterre. L’un d’entre eux, Johann Zumpe (1726-1791), a créé son propre atelier, et en 1766, est devenu le premier facteur de pianos de son côté de sa région du monde. Il y fabriquait de petits pianofortes carrés (les cordes était disposées parallèlement au clavier); ses instruments étaient équipés de petits marteaux à tête en cuir, articulés sur une tringle fixe par une charnière en cuir. Un pilote, fixé sur la touche, attaquait le marteau près du pivot et l’envoyait contre les cordes. Et durant plusieurs années, le pianoforte carré a été l’alternative à l’instrument « en forme d’aile ». Au niveau de la forme, le carré ressemblait aux plus grands clavicordes, et était bien sûr oblong, pas carré. Le principe de la mécanique était comparable à celui de Cristofori, qui, comme mentionné plus haut, avait été amélioré par Silbermann en élevant les étouffoirs.
Les instruments de Zumpe étaient petits, et même rudimentaires, mais le fait de posséder un caractère nouveau leur a permis, malgré leur ton modeste, d’avoir une popularité croissante auprès des foyers en moyens et pour les concerts. Les pianos du facteur ont en effet connu un immense succès et ont été fabriqués en grande quantité.
Les pianos issus de Londres ont également acquiert une certaines popularité à Paris, et on s’est assuré très vite que la capitale française possède sa propre production.
John Broadwood (1732-1812) a conçu son premier piano carré en 1771. Il a agrandi le design simple de Zumpe afin de donner à l’instrument une meilleure résonance, tandis que lui et Johann Geib ont contribué séparément à l’élaboration de la mécanique du piano carré. Avec ses développements, le piano carré s’avéra satisfaisant, et il été accepté de bon cœur par le public dans la première moitié du 19e siècle, cheminant dans bien plus de foyers que son rival en forme d’aile, d’abord appelé « piano à queue » en 1777.
L’homme est connu pour avoir produit des pianos en forme de clavecin à échappement simple. Il a renforcé la caisse, utilisé des cordes de plus gros calibre, a porté l’étendue du clavier à six octaves et ajouté des pédales, qu’il a inventé en 1783. Broadwood a contribué largement au développement du piano à queue. Il a réarrangé la disposition des chevalets de bois sur la table d’harmonie en ajoutant un chevalet de basse distinct. De plus, il a également commencé l’utilisation des tensions de cordes supérieures. Ses altérations de la disposition de la table d’harmonie lui ont permis d’étendre le registre à six octaves en ajoutant une demi-octave aux aigus, et en 1794, une demi-octave dans les basses. Il a été le premier à introduire une pédale forte en 1783 pour tenir les étouffoirs en haut des cordes. Ces améliorations ont permis à Broadwood d’amener une tonalité maximum à ses instruments, qui sont devenus les plus sonores de l’époque, et donnant ainsi à l’Angleterre la position de tête à l’échelle mondiale en ce qui concerne la qualité et la quantité de la production.
En France, la facture de piano a été dominée par Sebastien Érard (1752-1831). L’homme, né à Strasbourg, était venu s’établir à Paris comme apprenti vers 1768, puis s’était installé à son compte en 1778. C’est en 1796 qu’il a lancé ses modèles de « grands » pianos en forme de clavecin et à échappement
Beaucoup connaissent l’amour que Beethoven avait pour son piano-forte Broadwood qu’il avait reçu en cadeau de Thomas Broadwood. Mais sa façon de jouer, pleine de force et d’émotions – exigeante –, s’avérait « trop » pour les pianos contemporains. Mais aussi, les compositeurs des nouvelles écoles comptaient de plus en plus sur une technique brillante pour obtenir des effets au piano que les instruments de l’époque ne pouvaient produire de manière fiable.
La période entre 1830 et 1850 a constitué l’âge d’or de la facture de piano en France. Le pays produisait et exportait ses propres pianos. La Ville lumière est devenue l’un des grands centres de la facture de pianos. Et 3 facteurs de pianos français ont dominé, dans le milieu, soit Erard, Pape et Pleyel. Et l’initiateur du piano moderne a été Sébastien Erard.
Erard : les débuts du piano moderne
La maison Erard s’est imposée par ses grands pianos à queue. Sébastien Erard a mis au point, au début des années 1820, le piano à double échappement. Cette invention, qui permet une plus grande rapidité de jeu, a placé Erard au 1er plan des facteurs européens jusqu’au milieu du 19e siècle.
Erard – ou plutôt Ehrhard –, est né à Strasbourg en 1752, et est arrivé dans la Ville lumière en 1768. À ses débuts ouvrier dans l’atelier d’un facteur de clavecins, il s’est rapidement établi à son compte, puis, de la facture du clavecin, il est passé à celle du piano. C’est en 1777 qu’il aurait construit son premier piano. Appuyé de la faveur royale, il a construit, entre autres, un instrument pour Marie-Antoinette. Lorsque la Révolution a éclaté, Erard s’est retiré à Londres, et c’est dans la capitale du Royaume-Uni qu’il a breveté son tout premier piano à queue. En 1796, il est revenu dans la Ville lumière.
Deux grands noms de la facture française : Pape et Pleyel
Figure intéressante, mais nom aujourd’hui injustement oublié, Jean-Henri Pape est un autre grand nom de la facture parisienne du 19e siècle. Il est arrivé en 1811 à Paris, où il a d’abord travaillé dans l’atelier de Pleyel, puis, il s’y est établi à son compte. L’homme est le 1er à avoir utilisé, au cours des années 1820, de la garniture de feutre pour le marteau ainsi que le croisement des cordes pour augmenter leur longueur.
En 1807, l’Autrichien Ignace Pleyel (1757-1831), à qui l’on doit une série d’innovations (adoption du cadre de fonte, façonnement de la table en placage à contrefil…), et qui, au fil des ans, est devenu le principal concurrent de Sébastien Erard, a fondé une manufacture de pianos et de harpes. Celle-ci, en effet, s’est imposée très vite comme la grande rivale d’Erard. Dès 1826, il a équipé ses instruments d’un cadre de fer et d’un sommier à pointes de cuivre; cependant, il a continué d’employer la mécanique à simple échappement.
On a loué les pianos produits par Pleyel pour leur souplesse et leur délicatesse, des qualités qui convenaient davantage au jeu de pianistes comme Chopin et son attaque « chantante » de la touche, tandis que l’aspect robuste et l’éclat des pianos Erard semblaient s’adapter parfaitement au toucher du bien connu Liszt.
1850 à 1920 : suprématie allemande… et américaine
La facture allemande du piano, qui est entrée en Angleterre, en France et en Amérique, a eu toute une importance. En 1910, il existait plus de 300 fabriques de piano, dont un certain nombre comptaient plus d’un siècle d’existence. Parmi les facteurs connus du pays, il y avait Walter, Hubert et Spath, Ibach .
Le représentant le plus en vue de la facture américaine a été Heinrich Steinweg. En 1853 a été fondée Steinway and Sons, qui est devenue prospère très rapidement. Parmi les autres fabricants américains, citons Baldwin, Mason et Hamlin ainsi que Chickering and Sons.
1920 à nos jours : autres développements et standardisations
Au cours de la première partie du 20e siècle, chaque marque possédait toujours ses caractéristiques, et les professionnels et amateurs pouvaient encore choisir entre différents types de timbres. Puis, le brevet du cadre en fonte a été déposé en 1925, remplaçant le cadre de bois.
Pour les facteurs, la deuxième partie du 20e siècle a surtout été axée sur une recherche de perfectionnement rendant l’instrument plus solide, plus sûr; perfectionnement qui lui a toutefois retiré beaucoup de son charme ancien. L’époque de standardisation de l’instrument a par ailleurs fait naître une fabrication en série caractérisée entre autres par un séchage artificiel du bois qui, malheureusement, a conduit à la standardisation d’une sonorité type, « prévisible ». C’est de cette manière que sont disparus presque tous les facteurs – proprement dits – de piano, qui ont été remplacés par des fabricants.
" Piano du 15eme siècle "
" Piano du 16eme siècle "
" Piano du 17eme siècle "
" Piano du 18eme siècle "
" Piano du 19eme siècle "
" Piano du 20eme siècle "
Une Très Bonne Soirée
A Toutes et Tous
Bonsoir à Toutes et Tous
Annick , Bathilde , je crois
l'on est tous fan du chocolat noir ,
c'est un pur délice!!!!! miam....miam......!
Et bien aujourd'hui , çà ne se mange pas !
je vais vous raconter " L'HISTOIRE DU PIANO "
Histoire et évolution du piano du 14e siècle au 19e siècle
Les premiers instruments de musique pouvant être appelés « mélodiques » utilisés par l’homme sont sans aucun doute des instruments à cordes. Le tout premier instrument à corde ayant été inventé est vraisemblablement l’arc musical :
des dessins qui se retrouvent dans des cavernes et datant de l’âge de la pierre le prouvent.
Au cours de l’histoire, la corde « tendue » est demeurée l’un des moyens les plus importants de produire un son musical, que l’instrument de musique soit sous forme d’arc, qu’elle soit pincée par les doigts ou un plectre rigide ou, dans certains cas, frappée par un marteau.
Le piano étant un instrument à cordes frappées, il se distingue des instruments à cordes pincées (par exemple le clavecin, ou encore la guitare) ou à cordes frottées (prenons le violon), et ses origines sont plutôt tardives.
C’est probablement au quatorzième siècle qu’a été développée l’idée d’ajouter un clavier à un instrument à cordes, cordes qui se mettraient à vibrer lorsqu’un marteau les frappe. Mais au cours des 250 années qui ont suivi, c’est le clavecin, aux cordes pincées et non pas frappées, qui aura sans contredit eu la plus grande influence en musique.
Le clavicorde également aura été plutôt populaire, et malgré ses limites importantes, c’était un instrument qui permettait différents degrés de jeu des doigts, car ses cordes sont frappées par des tangentes miniatures.
Vers la fin du 17e siècle, une demande naissante pour de plus grandes possibilités musicales telles que l’accentuation auront donné lieu au climat dans lequel a pu se développer un instrument comme le piano, après son apparition.
Élément essentiel de l’instrument, le clavier est apparu au Moyen Âge. C’est en fait une adaptation aux instruments de musique à cordes du clavier de l’orgue qui, lui, est un instrument de musique à vent. L’invention aura généré deux familles d’instruments musicaux différents :
- Des instruments à cordes pincées tels que le clavecin;
- Des instruments à cordes frappées tels que le clavicorde.
Cristofori – La naissance du piano vers 1710
C’est Bartolommeo Cristofori, un fabricant de clavecins, qui a construit le premier piano, quelque part entre 1709 et 1711. Il donna le nom de « gravicembalo col piano e forte » (clavecin avec doux et fort) au nouvel instrument de musique créé. Son ingéniosité fut telle qu’il a inventé un système permettant de jouer doucement (« piano ») et fortement (« forte ») de l’instrument.
Le développement du piano de 1780 à 1790
Au cours de la troisième décennie du 18e siècle, quelques facteurs de clavecin et d’orgues d’Allemagne, de Saxe et de Bavière plus précisément, ont commencé à concevoir des pianos pour quelques amateurs. Gottfried Silbermann (1683-1753) était le plus connu d’entre eux, et celui-ci a tenté d’intéresser le compositeur Jean-Sébastien Bach à son nouvel instrument. On note qu’il a reproduit presque identiquement la mécanique de Cristofori, en y apportant toutefois une amélioration, soit celle d’élever les étouffoirs.
Au cours de la guerre de Sept Ans, soit de 1756 à 1763, les activités ont cessé sur le continent, et douze fabricants se sont déplacés en Angleterre. L’un d’entre eux, Johann Zumpe (1726-1791), a créé son propre atelier, et en 1766, est devenu le premier facteur de pianos de son côté de sa région du monde. Il y fabriquait de petits pianofortes carrés (les cordes était disposées parallèlement au clavier); ses instruments étaient équipés de petits marteaux à tête en cuir, articulés sur une tringle fixe par une charnière en cuir. Un pilote, fixé sur la touche, attaquait le marteau près du pivot et l’envoyait contre les cordes. Et durant plusieurs années, le pianoforte carré a été l’alternative à l’instrument « en forme d’aile ». Au niveau de la forme, le carré ressemblait aux plus grands clavicordes, et était bien sûr oblong, pas carré. Le principe de la mécanique était comparable à celui de Cristofori, qui, comme mentionné plus haut, avait été amélioré par Silbermann en élevant les étouffoirs.
Les instruments de Zumpe étaient petits, et même rudimentaires, mais le fait de posséder un caractère nouveau leur a permis, malgré leur ton modeste, d’avoir une popularité croissante auprès des foyers en moyens et pour les concerts. Les pianos du facteur ont en effet connu un immense succès et ont été fabriqués en grande quantité.
Les pianos issus de Londres ont également acquiert une certaines popularité à Paris, et on s’est assuré très vite que la capitale française possède sa propre production.
John Broadwood (1732-1812) a conçu son premier piano carré en 1771. Il a agrandi le design simple de Zumpe afin de donner à l’instrument une meilleure résonance, tandis que lui et Johann Geib ont contribué séparément à l’élaboration de la mécanique du piano carré. Avec ses développements, le piano carré s’avéra satisfaisant, et il été accepté de bon cœur par le public dans la première moitié du 19e siècle, cheminant dans bien plus de foyers que son rival en forme d’aile, d’abord appelé « piano à queue » en 1777.
L’homme est connu pour avoir produit des pianos en forme de clavecin à échappement simple. Il a renforcé la caisse, utilisé des cordes de plus gros calibre, a porté l’étendue du clavier à six octaves et ajouté des pédales, qu’il a inventé en 1783. Broadwood a contribué largement au développement du piano à queue. Il a réarrangé la disposition des chevalets de bois sur la table d’harmonie en ajoutant un chevalet de basse distinct. De plus, il a également commencé l’utilisation des tensions de cordes supérieures. Ses altérations de la disposition de la table d’harmonie lui ont permis d’étendre le registre à six octaves en ajoutant une demi-octave aux aigus, et en 1794, une demi-octave dans les basses. Il a été le premier à introduire une pédale forte en 1783 pour tenir les étouffoirs en haut des cordes. Ces améliorations ont permis à Broadwood d’amener une tonalité maximum à ses instruments, qui sont devenus les plus sonores de l’époque, et donnant ainsi à l’Angleterre la position de tête à l’échelle mondiale en ce qui concerne la qualité et la quantité de la production.
En France, la facture de piano a été dominée par Sebastien Érard (1752-1831). L’homme, né à Strasbourg, était venu s’établir à Paris comme apprenti vers 1768, puis s’était installé à son compte en 1778. C’est en 1796 qu’il a lancé ses modèles de « grands » pianos en forme de clavecin et à échappement
Beaucoup connaissent l’amour que Beethoven avait pour son piano-forte Broadwood qu’il avait reçu en cadeau de Thomas Broadwood. Mais sa façon de jouer, pleine de force et d’émotions – exigeante –, s’avérait « trop » pour les pianos contemporains. Mais aussi, les compositeurs des nouvelles écoles comptaient de plus en plus sur une technique brillante pour obtenir des effets au piano que les instruments de l’époque ne pouvaient produire de manière fiable.
La période entre 1830 et 1850 a constitué l’âge d’or de la facture de piano en France. Le pays produisait et exportait ses propres pianos. La Ville lumière est devenue l’un des grands centres de la facture de pianos. Et 3 facteurs de pianos français ont dominé, dans le milieu, soit Erard, Pape et Pleyel. Et l’initiateur du piano moderne a été Sébastien Erard.
Erard : les débuts du piano moderne
La maison Erard s’est imposée par ses grands pianos à queue. Sébastien Erard a mis au point, au début des années 1820, le piano à double échappement. Cette invention, qui permet une plus grande rapidité de jeu, a placé Erard au 1er plan des facteurs européens jusqu’au milieu du 19e siècle.
Erard – ou plutôt Ehrhard –, est né à Strasbourg en 1752, et est arrivé dans la Ville lumière en 1768. À ses débuts ouvrier dans l’atelier d’un facteur de clavecins, il s’est rapidement établi à son compte, puis, de la facture du clavecin, il est passé à celle du piano. C’est en 1777 qu’il aurait construit son premier piano. Appuyé de la faveur royale, il a construit, entre autres, un instrument pour Marie-Antoinette. Lorsque la Révolution a éclaté, Erard s’est retiré à Londres, et c’est dans la capitale du Royaume-Uni qu’il a breveté son tout premier piano à queue. En 1796, il est revenu dans la Ville lumière.
Deux grands noms de la facture française : Pape et Pleyel
Figure intéressante, mais nom aujourd’hui injustement oublié, Jean-Henri Pape est un autre grand nom de la facture parisienne du 19e siècle. Il est arrivé en 1811 à Paris, où il a d’abord travaillé dans l’atelier de Pleyel, puis, il s’y est établi à son compte. L’homme est le 1er à avoir utilisé, au cours des années 1820, de la garniture de feutre pour le marteau ainsi que le croisement des cordes pour augmenter leur longueur.
En 1807, l’Autrichien Ignace Pleyel (1757-1831), à qui l’on doit une série d’innovations (adoption du cadre de fonte, façonnement de la table en placage à contrefil…), et qui, au fil des ans, est devenu le principal concurrent de Sébastien Erard, a fondé une manufacture de pianos et de harpes. Celle-ci, en effet, s’est imposée très vite comme la grande rivale d’Erard. Dès 1826, il a équipé ses instruments d’un cadre de fer et d’un sommier à pointes de cuivre; cependant, il a continué d’employer la mécanique à simple échappement.
On a loué les pianos produits par Pleyel pour leur souplesse et leur délicatesse, des qualités qui convenaient davantage au jeu de pianistes comme Chopin et son attaque « chantante » de la touche, tandis que l’aspect robuste et l’éclat des pianos Erard semblaient s’adapter parfaitement au toucher du bien connu Liszt.
1850 à 1920 : suprématie allemande… et américaine
La facture allemande du piano, qui est entrée en Angleterre, en France et en Amérique, a eu toute une importance. En 1910, il existait plus de 300 fabriques de piano, dont un certain nombre comptaient plus d’un siècle d’existence. Parmi les facteurs connus du pays, il y avait Walter, Hubert et Spath, Ibach .
Le représentant le plus en vue de la facture américaine a été Heinrich Steinweg. En 1853 a été fondée Steinway and Sons, qui est devenue prospère très rapidement. Parmi les autres fabricants américains, citons Baldwin, Mason et Hamlin ainsi que Chickering and Sons.
1920 à nos jours : autres développements et standardisations
Au cours de la première partie du 20e siècle, chaque marque possédait toujours ses caractéristiques, et les professionnels et amateurs pouvaient encore choisir entre différents types de timbres. Puis, le brevet du cadre en fonte a été déposé en 1925, remplaçant le cadre de bois.
Pour les facteurs, la deuxième partie du 20e siècle a surtout été axée sur une recherche de perfectionnement rendant l’instrument plus solide, plus sûr; perfectionnement qui lui a toutefois retiré beaucoup de son charme ancien. L’époque de standardisation de l’instrument a par ailleurs fait naître une fabrication en série caractérisée entre autres par un séchage artificiel du bois qui, malheureusement, a conduit à la standardisation d’une sonorité type, « prévisible ». C’est de cette manière que sont disparus presque tous les facteurs – proprement dits – de piano, qui ont été remplacés par des fabricants.
" Piano du 15eme siècle "
" Piano du 16eme siècle "
" Piano du 17eme siècle "
" Piano du 18eme siècle "
" Piano du 19eme siècle "
" Piano du 20eme siècle "
Une Très Bonne Soirée
A Toutes et Tous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Merci pour l'histoire de l'évolution du piano, Marialys.
Il y en a de bien beaux dans les modèles anciens.
Il y en a de bien beaux dans les modèles anciens.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Je ne savais pas que les clavecins étaient à cordes pincées et le piano à cordes frappées , c'est intéressant de voir l'évolution des instruments de musique
Invité- Invité
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
merci Marialys : on connaît tout sur le piano grâce à toi !
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Le 29 septembre 2016
Bonsoir à Toutes et Tous
" LES DEMOISELLES DE MAGASINS "
Car, pour être vendeuse, il ne faut pas seulement
Le 9 septembre 1869, Mme Boucicaut a posé la
première pierre des nouveaux
bâtiments du Bon Marché.
Sur le boulevard de Sébastopol, récemment
percé par le baron Haussmann, urbaniste de Napoléon III,
a surgi la grande
épicerie de M. Félix Potin.
Quelques jours avant le déclenchement de la guerre
de 1870, Ernest Cognacq
a passé avec un cafetier de la rue de Rivoli un accord lui permettant d'installer ses
premiers rayons de mercerie, prémices des magasins de la Samaritaine,
dont l'architecte Frantz Jourdain fera l'un des joyaux de l'architecture métallique.
Les Galeries Lafayette, boulevard Haussmann,
nées en 1895 de la rencontre de
Théophile Bader et d'Alphonse Kahn, possèdent
le premier grand magasin construit
entièrement en ciment armé.
A quelques pas de là est posée, le 23 mai 1907, la
première pierre des nouveaux magasins du Printemps, en présence de l'ensemble
du personnel qui faisait partie du premier établissement
fondé en 1865...
En 1907, les grands magasins parisiens traitent pour
un milliard de francs de
chiffre d'affaires, que se partagent notamment le Bon Marché (230 millions),
la Samaritaine (130 millions), le Louvre (90 millions), les Galeries Lafayette
(80 millions). À ce peloton de tête est venu s'ajouter
le Grand Bazar de la rue de Rennes,
construit par un jeune architecte de l'École de Nancy,
Une Très Bonne Soirée
à Toutes
et Tous
Bonsoir à Toutes et Tous
" LES DEMOISELLES DE MAGASINS "
En 1901, un événement d'importance intervient dans
la vie des grands magasins.
Désormais, les vendeuses ont le droit de s'asseoir,
Désormais, les vendeuses ont le droit de s'asseoir,
de temps en temps, pour se reposer.
Après moult réflexions, les députés ont fini par
Après moult réflexions, les députés ont fini par
admettre qu'une station debout de
dix ou douze heures d'affilée était fatigante.
dix ou douze heures d'affilée était fatigante.
Même pour une jeune femme en
bonne santé. La nouvelle loi va redonner aux
bonne santé. La nouvelle loi va redonner aux
employées le sourire indispensable
à l'exercice de leur profession.
à l'exercice de leur profession.
Car, pour être vendeuse, il ne faut pas seulement
posséder un physique agréable
et avoir une certaine élégance, il convient encore
et avoir une certaine élégance, il convient encore
d'arborer le sourire qui plaît à la clientèle.
Celle-ci, comme chacun sait, est reine.
Celle-ci, comme chacun sait, est reine.
Quels que soient ses humeurs et ses caprices.
Principalement dans ces temples modernes
Principalement dans ces temples modernes
de la consommation implantés à partir
de la seconde moitié du XIXe siècle.
de la seconde moitié du XIXe siècle.
L'année 1855 a vu l'inauguration du
magasin du Louvre.
magasin du Louvre.
La Belle Jardinière (fondée en 1824) s'est installée,
l'année suivante, à proximité du Pont-Neuf.
l'année suivante, à proximité du Pont-Neuf.
Le 9 septembre 1869, Mme Boucicaut a posé la
première pierre des nouveaux
bâtiments du Bon Marché.
Sur le boulevard de Sébastopol, récemment
percé par le baron Haussmann, urbaniste de Napoléon III,
a surgi la grande
épicerie de M. Félix Potin.
Quelques jours avant le déclenchement de la guerre
de 1870, Ernest Cognacq
a passé avec un cafetier de la rue de Rivoli un accord lui permettant d'installer ses
premiers rayons de mercerie, prémices des magasins de la Samaritaine,
dont l'architecte Frantz Jourdain fera l'un des joyaux de l'architecture métallique.
Les Galeries Lafayette, boulevard Haussmann,
nées en 1895 de la rencontre de
Théophile Bader et d'Alphonse Kahn, possèdent
le premier grand magasin construit
entièrement en ciment armé.
A quelques pas de là est posée, le 23 mai 1907, la
première pierre des nouveaux magasins du Printemps, en présence de l'ensemble
du personnel qui faisait partie du premier établissement
fondé en 1865...
En 1907, les grands magasins parisiens traitent pour
un milliard de francs de
chiffre d'affaires, que se partagent notamment le Bon Marché (230 millions),
la Samaritaine (130 millions), le Louvre (90 millions), les Galeries Lafayette
(80 millions). À ce peloton de tête est venu s'ajouter
le Grand Bazar de la rue de Rennes,
construit par un jeune architecte de l'École de Nancy,
Henry Guitton, pour
le compte des Magasins Réunis .
le compte des Magasins Réunis .
Les grands magasins parisiens emploient
au moins 6 000 personnes, dont
une majorité de femmes.
une majorité de femmes.
Demoiselle de magasin est un métier très sollicité.
La demande est supérieure à l'offre.
La demande est supérieure à l'offre.
Obtenir une place est souvent affaire de piston.
Chaque année, le nombre des demandes oscille
Chaque année, le nombre des demandes oscille
entre 7 000 et 8 000.
Et, pour entrer dans une grande maison,
Et, pour entrer dans une grande maison,
il ne faut pas avoir dépassé l'âge de vingt ans.
Les fonctions se divisent en manutentionnaires,
ouvrières, débitrices, vendeuses,
employées à la publicité, employées aux écritures,
employées à la publicité, employées aux écritures,
dactylos, etc.
L'emploi le plus modeste est celui de débitrice.
L'emploi le plus modeste est celui de débitrice.
Il consiste à recevoir les fiches de
vente des mains des vendeuses, à accompagner
vente des mains des vendeuses, à accompagner
les clients jusqu'à la caisse et à
énoncer, devant la comptable, les ventes effectuées.
La débitrice n'a pas d'appointements proprement
énoncer, devant la comptable, les ventes effectuées.
La débitrice n'a pas d'appointements proprement
dits mais perçoit une indemnité
de 600 F par an, si elle n'est pas nourrie.
de 600 F par an, si elle n'est pas nourrie.
Vient ensuite la vendeuse, dont,
en 1907, aux Galeries Lafayette, le salaire de début
en 1907, aux Galeries Lafayette, le salaire de début
s'échelonne entre 1 600 et 1 800 F
par an.
par an.
Une rémunération supérieure à la moyenne et qui varie
selon la catégorie
des rayons et l'importance de la ristourne sur la vente
des rayons et l'importance de la ristourne sur la vente
octroyée à la vendeuse.
Des chanceuses décrochent le gros lot lorsque se
Des chanceuses décrochent le gros lot lorsque se
présentent des clientes telles
que la duchesse d'Uzès, achetant une layette
que la duchesse d'Uzès, achetant une layette
de 30 000 F, ou Sarah Bernhardt,
faisant l'emplette pour son chien d'un manteau fourré
faisant l'emplette pour son chien d'un manteau fourré
à 2 000 F et commandant
pour elle-même un manteau d'automobile en zibeline
pour elle-même un manteau d'automobile en zibeline
à 15 000 F.
La journée de travail commence à 8 heures du matin
pour se terminer à 7 heures
du soir.
du soir.
Elle est coupée par le déjeuner que l'on prend entre
11 heures et demie et
midi, par équipes, soit au dehors, soit dans des
midi, par équipes, soit au dehors, soit dans des
réfectoires distincts pour les hommes
et les femmes.
et les femmes.
Le Bon Marché héberge gratuitement les demoiselles
qui n'ont pas de famille à Paris .
Les employées logées par la maison doivent rentrer,
Les employées logées par la maison doivent rentrer,
au plus tard, à 11 heures précises du soir,
en semaine, à minuit et demie, le dimanche et
les jours de fête.
Le Bon Marché se flatte de ne jamais infliger
en semaine, à minuit et demie, le dimanche et
les jours de fête.
Le Bon Marché se flatte de ne jamais infliger
d'amende à son personnel.
Les principaux motifs de blâme ou de renvoi
Les principaux motifs de blâme ou de renvoi
sont le manque d'égard
envers les clients et la négligence de tenue ou de langage.
Les vacances annuelles payées n'existent pas
envers les clients et la négligence de tenue ou de langage.
Les vacances annuelles payées n'existent pas
pour le petit personnel, seuls en bénéficient les chefs
et sous-chefs de comptoir et de service ainsi
que les inspecteurs .
et sous-chefs de comptoir et de service ainsi
que les inspecteurs .
Une Très Bonne Soirée
à Toutes
et Tous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
très interéssant l'histoire des Grands magasins ! Merci Marialys
c'était une visite annuelle en début de rentrée scolaire quand on était petites ; j'adorais cette ambiance
c'était une visite annuelle en début de rentrée scolaire quand on était petites ; j'adorais cette ambiance
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Le 27 décembre 2017
Bonsoir à Toutes
et Tous
" Peur du Dentiste " ? Moi...........Jamais........!
En toutes provinces, on apaisait une rage de dent en frottant,
sur le chicot douloureux ou l'abcès, un clou que l'on plantait
dans un arbre ou dans une poutre de charpente; c'étant fait,
mieux valait déguerpir au plus vite.
En Bretagne et en Poitou, on se débarrassait d'une dent cariée
en appliquant dessus une racine d'asperge, séchée à l'ombre;
une inflammation gingivale disparaissait dès que la touchait
une main encore chaude d'avoir étouffé une taupe.
Les Poitevins soignaient également leurs parodontis en
se rinçant la bouche avec de l'eau qu'ils avaient puisée à l'aurore
dans un puits profond. En Brie, on guérissait d'un abcès en se
levant la nuit à l'insu d'autrui; on courait se prosterner devant
un buisson d'aubépine, on récitait cinq Pater et cinq Ave,
enfin on attachait une faveur à l'arbuste et on se recouchait.
En Orléanais, quiconque portait une patte de lièvre sous son aisselle
gauche, n'avait jamais à se plaindre de douleurs dentales.
En règle générale, les sonneries de cloches apaisaient les rages dentaires;
mais en Limousin, il suffisait de mordre un objet en fer, tandis que tintaient
celles du Samedi saint, pour être tranquille pendant l'année.
Le patient s'asseyait sur une simple chaise, aux barreaux de laquelle
il s'agrippait vaille que vaille. Le principal ressort des effets comiques,
en pantomime, étant les mésaventures d'autrui et les grimaces,
les badauds regardaient l'attraction du même oeil amusé que les
autres spectacles. C'était un numéro avec participation de brèche-dents
volontaires, ni plus ni moins.
L'assistant battait le tambour dès que le client se mettait
à brailler de douleur, c'est-à-dire quand le burlesque de la scène menaçait
de virer à la tragédie hurlante. Mais ce ban avait un double avantage :
les braillements étaient couverts par un roulement énergique qui, fort
à propos, rameutait une cohue friande d'émotions fortes.
Toute victoire sur une molaire récalcitrante valait à l'arracheur,
au moment de saluer le parterre, une belle salve d'applaudissements.
En Bretagne, les arracheurs de dents se recrutaient souvent
parmi les forgerons qui, en plus d'une poigne solide, montraient une
grande dextérité à manier les tenailles. Une bolée de cidre, corsée à la
gnôle, servait indistinctement d'anesthésique et de désinfectant
En Auvergne, à la fin du dix-neuvième siècle, on n'avait que faire
du dentiste. Quand on avait trop mal, on allait chez le Joyeux, le marchand
drapier qui, pour dix sous, vous opérait en un tournemain. Il employait
à cet effet une espèce de crochet formé d'une tige aux deux extrémités
tranchantes et recourbées dont le manche ressemblait à celui d'un tire-bouchon.
II vous introduisait dans la bouche une partie de cette tige qu'entortillait
un torchon malpropre de façon à ne laisser dépasser que les dents du crochet;
il vous appuyait ses genoux sur le ventre, et hardi ! il fallait que ça vienne.
Il venait toujours quelque chose; si la dent ne sortait pas tout entière,
il y en avait au moins un morceau, quelquefois même avec un petit bout
de gencive en plus.
Que dire , lorsqu'on voit çà !!!!
que c'est bien plus confortable la chaise
de notre Dentiste ( même si on a un peu peur ) !
Vive le progrès !
Une Très Bonne Soirée
à Toutes
et Tous
Bonsoir à Toutes
et Tous
" Peur du Dentiste " ? Moi...........Jamais........!
En toutes provinces, on apaisait une rage de dent en frottant,
sur le chicot douloureux ou l'abcès, un clou que l'on plantait
dans un arbre ou dans une poutre de charpente; c'étant fait,
mieux valait déguerpir au plus vite.
En Bretagne et en Poitou, on se débarrassait d'une dent cariée
en appliquant dessus une racine d'asperge, séchée à l'ombre;
une inflammation gingivale disparaissait dès que la touchait
une main encore chaude d'avoir étouffé une taupe.
Les Poitevins soignaient également leurs parodontis en
se rinçant la bouche avec de l'eau qu'ils avaient puisée à l'aurore
dans un puits profond. En Brie, on guérissait d'un abcès en se
levant la nuit à l'insu d'autrui; on courait se prosterner devant
un buisson d'aubépine, on récitait cinq Pater et cinq Ave,
enfin on attachait une faveur à l'arbuste et on se recouchait.
En Orléanais, quiconque portait une patte de lièvre sous son aisselle
gauche, n'avait jamais à se plaindre de douleurs dentales.
En règle générale, les sonneries de cloches apaisaient les rages dentaires;
mais en Limousin, il suffisait de mordre un objet en fer, tandis que tintaient
celles du Samedi saint, pour être tranquille pendant l'année.
Le patient s'asseyait sur une simple chaise, aux barreaux de laquelle
il s'agrippait vaille que vaille. Le principal ressort des effets comiques,
en pantomime, étant les mésaventures d'autrui et les grimaces,
les badauds regardaient l'attraction du même oeil amusé que les
autres spectacles. C'était un numéro avec participation de brèche-dents
volontaires, ni plus ni moins.
L'assistant battait le tambour dès que le client se mettait
à brailler de douleur, c'est-à-dire quand le burlesque de la scène menaçait
de virer à la tragédie hurlante. Mais ce ban avait un double avantage :
les braillements étaient couverts par un roulement énergique qui, fort
à propos, rameutait une cohue friande d'émotions fortes.
Toute victoire sur une molaire récalcitrante valait à l'arracheur,
au moment de saluer le parterre, une belle salve d'applaudissements.
En Bretagne, les arracheurs de dents se recrutaient souvent
parmi les forgerons qui, en plus d'une poigne solide, montraient une
grande dextérité à manier les tenailles. Une bolée de cidre, corsée à la
gnôle, servait indistinctement d'anesthésique et de désinfectant
En Auvergne, à la fin du dix-neuvième siècle, on n'avait que faire
du dentiste. Quand on avait trop mal, on allait chez le Joyeux, le marchand
drapier qui, pour dix sous, vous opérait en un tournemain. Il employait
à cet effet une espèce de crochet formé d'une tige aux deux extrémités
tranchantes et recourbées dont le manche ressemblait à celui d'un tire-bouchon.
II vous introduisait dans la bouche une partie de cette tige qu'entortillait
un torchon malpropre de façon à ne laisser dépasser que les dents du crochet;
il vous appuyait ses genoux sur le ventre, et hardi ! il fallait que ça vienne.
Il venait toujours quelque chose; si la dent ne sortait pas tout entière,
il y en avait au moins un morceau, quelquefois même avec un petit bout
de gencive en plus.
Que dire , lorsqu'on voit çà !!!!
que c'est bien plus confortable la chaise
de notre Dentiste ( même si on a un peu peur ) !
Vive le progrès !
Une Très Bonne Soirée
à Toutes
et Tous
Dernière édition par Marialys le Mer 27 Déc 2017 - 21:13, édité 1 fois
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Merci Marialys...Le dentiste!!!J'avais mal en lisant...
lilas- Age : 77
Date d'inscription : 02/04/2013
Nombre de messages : 11438
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Tu as raison lilas !!!!!
les images anciennes sont longues à s'afficher !
les images anciennes sont longues à s'afficher !
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
waou ! je prefere quand même les dentistes d'aujourd'hui !
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
" Non.....Non.....Ne nous plaignons pas ....!
Le 1er Octobre 2018
Coucou à Toutes
et Tous
Non…..Non...….Ne nous plaignons pas !!!!!!!
Petit florilège des conseils pour être une épouse idéale dans les années 50.
Pour une fois, on ne se dit pas que "c'était mieux avant".
Dans les années 50, le seul rôle qu'on voulait bien laisser à une femme,
c'était celui de mère et de ménagère. Voilà ses seuls droits,
voilà l'étendue de ses devoirs : faire plaisir à son mari en étant
une bonne femme au foyer.
Si cela nous paraît insensé aujourd'hui, c'est un parfait reflet de la
situation des femmes il y a 60 ans et du carcan dans lequel on tentait
de les enfermer. Les règles citées ici dépeignent un monde où
la femme idéale est forcément une femme au foyer, qui
passe sa journée à s'occuper des enfants, des tâches
ménagères et des repas. Le moment fort de sa journée est
le moment où le chef de famille rentre du travail :
elle peut avoir alors l'immense bonheur de le servir et de veiller
à anticiper le moindre de ses désirs. En silence, de préférence,
et en souriant gentiment.
1- "Prévoyez votre dîner du lendemain la veille afin de pouvoir
le servir chaud à votre mari dès qu'il arrive.
Ça lui montrera que vous pensez à lui et que vous vous souciez de ses besoins."
3- "Environ 15 min avant que votre mari rentre, prenez une courte pause
pour vous préparer : retouchez votre maquillage, remettez vos cheveux
en ordre et refaites-vous une beauté. Il a vu des gens fatigués par le
travail toute la journée, alors soyez impeccable."
En tant que femme-objet, vous vous devez d'être agréable à regarder !
4- "Soyez intéressante et engageante pour lui.
Sa journée est pleine de travail ennuyeux, donc l
'un de vos devoirs est de le distraire."
5- "Juste avant qu'il arrive, passez un coup de balai pour éliminer
le bazar et dépoussiérez rapidement."
6- "En hiver, préparez et allumez un feu pour son retour afin qu'il puisse
se détendre près de l'âtre de la cheminée. Il aura le sentiment de baigner
dans l'ordre et la paix, ce qui vous fera vous sentir bien aussi.
S'occuper du bien être de votre mari vous donnera un important
sentiment de satisfaction personnelle."
7- "Préparez les enfants afin que leurs cheveux soient peignés et leurs visages propres."
9- "Accueillez-le toujours de manière joyeuse et positive.
Adressez-lui un sourire chaleureux et exprimez sincèrement
votre désir de lui faire plaisir."
Y compris en couchant avec sa secrétaire si besoin est.
Ce qui compte, c'est qu'il soit heureux, n'est-ce pas ?
16- "Ne remettez pas en question ses jugements ou ses actions.
Souvenez-vous, c'est le maître de la maison et peut exercer sa
volonté comme il le souhaite. Vous n'avez aucun droit de discuter cela."
17- "Une bonne épouse sait rester à sa place."
C'est pas beau çà ?
A l'époque , elle était ou sa place ?
Un très bon lundi à Toutes
et Tous
Coucou à Toutes
et Tous
Non…..Non...….Ne nous plaignons pas !!!!!!!
Petit florilège des conseils pour être une épouse idéale dans les années 50.
Pour une fois, on ne se dit pas que "c'était mieux avant".
Dans les années 50, le seul rôle qu'on voulait bien laisser à une femme,
c'était celui de mère et de ménagère. Voilà ses seuls droits,
voilà l'étendue de ses devoirs : faire plaisir à son mari en étant
une bonne femme au foyer.
Si cela nous paraît insensé aujourd'hui, c'est un parfait reflet de la
situation des femmes il y a 60 ans et du carcan dans lequel on tentait
de les enfermer. Les règles citées ici dépeignent un monde où
la femme idéale est forcément une femme au foyer, qui
passe sa journée à s'occuper des enfants, des tâches
ménagères et des repas. Le moment fort de sa journée est
le moment où le chef de famille rentre du travail :
elle peut avoir alors l'immense bonheur de le servir et de veiller
à anticiper le moindre de ses désirs. En silence, de préférence,
et en souriant gentiment.
1- "Prévoyez votre dîner du lendemain la veille afin de pouvoir
le servir chaud à votre mari dès qu'il arrive.
Ça lui montrera que vous pensez à lui et que vous vous souciez de ses besoins."
2- "Les hommes ont faim quand ils rentrent
à la maison, un bon repas est donc nécessaire
pour un accueil chaleureux et agréable."
3- "Environ 15 min avant que votre mari rentre, prenez une courte pause
pour vous préparer : retouchez votre maquillage, remettez vos cheveux
en ordre et refaites-vous une beauté. Il a vu des gens fatigués par le
travail toute la journée, alors soyez impeccable."
En tant que femme-objet, vous vous devez d'être agréable à regarder !
4- "Soyez intéressante et engageante pour lui.
Sa journée est pleine de travail ennuyeux, donc l
'un de vos devoirs est de le distraire."
5- "Juste avant qu'il arrive, passez un coup de balai pour éliminer
le bazar et dépoussiérez rapidement."
6- "En hiver, préparez et allumez un feu pour son retour afin qu'il puisse
se détendre près de l'âtre de la cheminée. Il aura le sentiment de baigner
dans l'ordre et la paix, ce qui vous fera vous sentir bien aussi.
S'occuper du bien être de votre mari vous donnera un important
sentiment de satisfaction personnelle."
7- "Préparez les enfants afin que leurs cheveux soient peignés et leurs visages propres."
8- "Les enfants sont des trésors, et c'est
ainsi qu'ils doivent se conduire.
Minimisez le bruit quand votre mari arrive en les encourageant à se taire. Il ne doit pas y avoir
non plus de bruits d'aspirateur, de machine
à laver ou de sèche-linge."
9- "Accueillez-le toujours de manière joyeuse et positive.
Adressez-lui un sourire chaleureux et exprimez sincèrement
votre désir de lui faire plaisir."
10- "Peu importe ce dont vous avez besoin de
parler avec votre mari et combien ça vous
importe, le moment de son arrivée à la maison
n'est pas le bon moment pour le faire.
Ses sujets de conversation sont plus importants,
donc laissez-le parler en premier."
11- "Les soirées sont ses moments privilégiés.
Ne vous plaignez pas s'il rentre tard ou s'il sort
dîner (ou quoi que ce soit d'autre) sans vous.
Vous devez essayer de comprendre que son
monde est plein de contraintes et de stress
et qu'il doit pouvoir se relaxer."
Y compris en couchant avec sa secrétaire si besoin est.
Ce qui compte, c'est qu'il soit heureux, n'est-ce pas ?
12- "L'objectif d'une bonne épouse est de
faire de son foyer un endroit où règnent le
calme et la tranquillité afin que son mari
puisse s'y ressourcer."
13- "Ne l'accueillez jamais en lui parlant
de problèmes ou en vous plaignant."
14- "Son confort est votre priorité.
Installez-le dans un fauteuil confortable
et servez-lui des boissons chaudes et froides."
15- "Tapotez ses oreillers et enlevez ses
chaussures. Parlez-lui toujours d'une voix
douce et basse."
16- "Ne remettez pas en question ses jugements ou ses actions.
Souvenez-vous, c'est le maître de la maison et peut exercer sa
volonté comme il le souhaite. Vous n'avez aucun droit de discuter cela."
17- "Une bonne épouse sait rester à sa place."
C'est pas beau çà ?
A l'époque , elle était ou sa place ?
Un très bon lundi à Toutes
et Tous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
oh mon dieu !!!!!!!!!!!
je pense que dans certains foyers ca se passait comme ca et ca n'était pas exagéré !
ouf... moi je travaillais ...
Comment voulez vous qu'après tout ca il y ait beaucoup de machos ??
je pense que dans certains foyers ca se passait comme ca et ca n'était pas exagéré !
ouf... moi je travaillais ...
Comment voulez vous qu'après tout ca il y ait beaucoup de machos ??
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Le 15 décembre 2018
Bonsoir à Toutes et Tous
" L'HISTOIRE DES SANTONS "
Les représentations de la naissance du Christ se multiplièrent à partir du IV ème siècle,
surtout dans les livres religieux. On a également retrouvé une description de la crèche sur un bas relief d'un sarcophage du IVème siècle conservé dans un musée à Rom
e, ainsi qu’une représentation de la nativité sur des couvercles de sarcophages
paléochrétiens en Arles.
La fête de Noël a été décidée en 354 par le pape Liberius dans le but
de remplacer la fête païenne qui entourait le solstice d'hiver.
Dès le XIIème siècle, on trouve de nombreuses représentations sculptées
de la nativité, mais aussi de l'âne, du bœuf, des rois-mages.
Un capucin sculpteur marseillais, copie les personnages de la crèche de son
couvent en petite dimension pour le peuple.
La première mise en scène d'une crèche vivante avec des personnages
et animaux, fut créée en 1223 par saint François d'Assise
(dont la mère était originaire de Tarascon), lors d'une messe de minuit
à Gréccio dans la forêt des Abruzzes en Italie. Bien que cette pratique
ne fut guère appréciée du souverain pontife Honorius III, elle se répandit
dans toute l’Italie et surtout dans la région napolitaine où saint François d’assise
séjourna.
Le santon est donc probablement d’origine napolitaine, et c’est d’ailleurs
dans cette région que l’on peut admirer les plus belles crèches.
Dès la fin du XIII ème siècle, les moines franciscains introduisent
la crèche en Provence.
Au XVIIIe siècle, la révolution interdit la Messe de Minuit et les crèches d’église.
Les Marseillais restés très fidèles à leurs crèches, créèrent des "crèches publiques",
réalisées par des particuliers qui les faisaient visiter.
L'usage se développa alors de monter une crèche dans chaque foyer.
Une petite industrie se mit à fabriquer tous les personnages de la crèche.
En 1798, Louis Lagnel (qui vécut à Marseille de 1764 à1822),
conçut les premiers moules en plâtre pour fabriquer ses santons.
Cette nouveauté technologique permit une production de masse et
une plus grande diffusion. Ces "santons d'un sou" permettaient enfin
à chacun de posséder sa propre crèche.
Le véritable essor des santons commença au XIX siècle avec l’apparition
des premiers maîtres santonniers de Provence. Les personnages d'argile
qu’ils créaient étaient empruntés à la vie quotidienne et aux métiers de la rue.
Marseille, devenue capitale santonnière se mit à organiser des foires devenues
annuelles. Parmi les principales étapes, on notera :
- en 1803, la 1ère Foire de Noël aux Santons et aux Crèches, se déroula sur
le cours Belsunce,
- en 1808 la première vente de santons sur le cours Saint-Louis,
- en 1853, la foire se tient boulevard du Muy,
- en 1883, elle s'installe aux allées Meilhan,
- depuis 1897, la foire est devenue annuelle ;
Comptine sur les santons de Provence
Les petits santons
Dans une boîte en carton,
Sommeillent les petits santons.
Le berger, le rémouleur
Et l’enfant Jésus Rédempteur.
Le Ravi qui le vit est toujours ravi.
Les moutons, en coton
Sont serrés au fond
Un soir, alors,
Paraît l’étoile d’or
Et tous les petits santons
Quittent la boîte de carton.
Naïvement, dévotement,
Ils vont à Dieu porter leurs vœux
Et leur chant, est touchant
Noël, joyeux Noël,
Noël joyeux de la Provence.
Le berger comme autrefois
Montre le chemin aux trois rois.
Et ces rois ont pour suivants,
Des chameaux chargés de présents.
Leurs manteaux sont très beaux
Dorés au pinceau.
Et ils ont le menton
Noirci au charbon.De bon matin,
J’ai vu passer leur train
Ils traînaient leurs pauvres pieds
Sur les gros rochers de papier.
Naïvement, dévotement,
Ils vont à Dieu porter leurs vœux
Et leur chant, est touchant
Noël, joyeux Noël,
Noël joyeux de la Provence.
Dans l’étable de bois blanc,
Il est là le divin enfant.
Et leur chant, est touchant
Entre le bœuf au poil roux
Et le petit âne à l’œil doux.
Et l’enfant vagissant
Murmure en dormant.
« Les jaloux, sont des fous,
Humains aimez-vous. »
Mais au matin,
Joyeux Noël prend fin
Et tous les petits santons
Regagnent la boîte en carton.
Naïvement, dévotement,
Ils dormiront dans du coton,
En rêvant, de doux chants.
Noël, joyeux Noël
Noël joyeux de la Provence.
Une Très Bonne Soirée
Bonsoir à Toutes et Tous
" L'HISTOIRE DES SANTONS "
L’histoire du santon de Provence
Les représentations de la naissance du Christ se multiplièrent à partir du IV ème siècle,
surtout dans les livres religieux. On a également retrouvé une description de la crèche sur un bas relief d'un sarcophage du IVème siècle conservé dans un musée à Rom
e, ainsi qu’une représentation de la nativité sur des couvercles de sarcophages
paléochrétiens en Arles.
La fête de Noël a été décidée en 354 par le pape Liberius dans le but
de remplacer la fête païenne qui entourait le solstice d'hiver.
Dès le XIIème siècle, on trouve de nombreuses représentations sculptées
de la nativité, mais aussi de l'âne, du bœuf, des rois-mages.
Un capucin sculpteur marseillais, copie les personnages de la crèche de son
couvent en petite dimension pour le peuple.
La première mise en scène d'une crèche vivante avec des personnages
et animaux, fut créée en 1223 par saint François d'Assise
(dont la mère était originaire de Tarascon), lors d'une messe de minuit
à Gréccio dans la forêt des Abruzzes en Italie. Bien que cette pratique
ne fut guère appréciée du souverain pontife Honorius III, elle se répandit
dans toute l’Italie et surtout dans la région napolitaine où saint François d’assise
séjourna.
Le santon est donc probablement d’origine napolitaine, et c’est d’ailleurs
dans cette région que l’on peut admirer les plus belles crèches.
Dès la fin du XIII ème siècle, les moines franciscains introduisent
la crèche en Provence.
Au XVIIIe siècle, la révolution interdit la Messe de Minuit et les crèches d’église.
Les Marseillais restés très fidèles à leurs crèches, créèrent des "crèches publiques",
réalisées par des particuliers qui les faisaient visiter.
L'usage se développa alors de monter une crèche dans chaque foyer.
Une petite industrie se mit à fabriquer tous les personnages de la crèche.
En 1798, Louis Lagnel (qui vécut à Marseille de 1764 à1822),
conçut les premiers moules en plâtre pour fabriquer ses santons.
Cette nouveauté technologique permit une production de masse et
une plus grande diffusion. Ces "santons d'un sou" permettaient enfin
à chacun de posséder sa propre crèche.
Le véritable essor des santons commença au XIX siècle avec l’apparition
des premiers maîtres santonniers de Provence. Les personnages d'argile
qu’ils créaient étaient empruntés à la vie quotidienne et aux métiers de la rue.
Marseille, devenue capitale santonnière se mit à organiser des foires devenues
annuelles. Parmi les principales étapes, on notera :
- en 1803, la 1ère Foire de Noël aux Santons et aux Crèches, se déroula sur
le cours Belsunce,
- en 1808 la première vente de santons sur le cours Saint-Louis,
- en 1853, la foire se tient boulevard du Muy,
- en 1883, elle s'installe aux allées Meilhan,
- depuis 1897, la foire est devenue annuelle ;
Comptine sur les santons de Provence
Les petits santons
Dans une boîte en carton,
Sommeillent les petits santons.
Le berger, le rémouleur
Et l’enfant Jésus Rédempteur.
Le Ravi qui le vit est toujours ravi.
Les moutons, en coton
Sont serrés au fond
Un soir, alors,
Paraît l’étoile d’or
Et tous les petits santons
Quittent la boîte de carton.
Naïvement, dévotement,
Ils vont à Dieu porter leurs vœux
Et leur chant, est touchant
Noël, joyeux Noël,
Noël joyeux de la Provence.
Le berger comme autrefois
Montre le chemin aux trois rois.
Et ces rois ont pour suivants,
Des chameaux chargés de présents.
Leurs manteaux sont très beaux
Dorés au pinceau.
Et ils ont le menton
Noirci au charbon.De bon matin,
J’ai vu passer leur train
Ils traînaient leurs pauvres pieds
Sur les gros rochers de papier.
Naïvement, dévotement,
Ils vont à Dieu porter leurs vœux
Et leur chant, est touchant
Noël, joyeux Noël,
Noël joyeux de la Provence.
Dans l’étable de bois blanc,
Il est là le divin enfant.
Et leur chant, est touchant
Entre le bœuf au poil roux
Et le petit âne à l’œil doux.
Et l’enfant vagissant
Murmure en dormant.
« Les jaloux, sont des fous,
Humains aimez-vous. »
Mais au matin,
Joyeux Noël prend fin
Et tous les petits santons
Regagnent la boîte en carton.
Naïvement, dévotement,
Ils dormiront dans du coton,
En rêvant, de doux chants.
Noël, joyeux Noël
Noël joyeux de la Provence.
Une Très Bonne Soirée
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
un grand merci Marialys ! j'adore les santons de Provence et y suis très attachée !
Cette chanson des santons dans leur boite de carton, on la chante toujours chez nous à Noel !
Cette chanson des santons dans leur boite de carton, on la chante toujours chez nous à Noel !
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Merci Solaire d'être passé dans la rubrique ;
Prends bien soin de toi , tu verras tu vas gagner !
Je suis désolé pour ta sœur qui est malade ;
la vie ne nous épargne pas ;
Je te fais un gros
Prends bien soin de toi , tu verras tu vas gagner !
Je suis désolé pour ta sœur qui est malade ;
la vie ne nous épargne pas ;
Je te fais un gros
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Jessy, enfant maltraité émeut aux larmes Thierry Ardisson - LTD 03/02/
Le 1 mars 2019
Coucou à Toutes
et Tous
" Dur …...! dur……! d'être un Enfant ,
dans des conditions pareilles "
Toujours la peur de mal faire ,
ne pas savoir ou se mettre , pour ne pas géner
et que l'on vous crie dessus et pire…….!
avec en prime , de ne pas avoir ni père ni mère !!!
" Jessy, enfant maltraité émeut aux larmes Thierry Ardisson - LTD 03/02/2019 "
Une Belle Journée à Vous
Coucou à Toutes
et Tous
" Dur …...! dur……! d'être un Enfant ,
dans des conditions pareilles "
Toujours la peur de mal faire ,
ne pas savoir ou se mettre , pour ne pas géner
et que l'on vous crie dessus et pire…….!
avec en prime , de ne pas avoir ni père ni mère !!!
" Jessy, enfant maltraité émeut aux larmes Thierry Ardisson - LTD 03/02/2019 "
Une Belle Journée à Vous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
l'enfance maltraitée .. c'est une chose insoutenable qui ne devrait pas exister
Hélas…
Hélas…
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Oui, c'est bien triste.
J'ai déjà remarqué que Thierry Ardisson était très sensible.
Je l'ai déjà vu les larmes aux yeux à la télé.
Merci Marialys.
J'ai déjà remarqué que Thierry Ardisson était très sensible.
Je l'ai déjà vu les larmes aux yeux à la télé.
Merci Marialys.
Annick- Age : 2
Date d'inscription : 08/05/2008
Nombre de messages : 72159
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
c'est terrible,que dire de plus?
jean-pierre- Date d'inscription : 03/12/2018
Nombre de messages : 909
" Votre Dos , Votre Colonne vertébrale .......!
Le 6 avril 2019
Coucou à Toutes
et Tous
" Le Saviez-vous ?
" Vos vertèbres vous parlent "
Savez-vous que votre colonne vertébrale est un lieu majeur
d’enregistrement de vos soucis ?
Par exemple, les cervicalgies, torticolis et autres sont le résultat
de conflits intérieurs sur des choix douloureux.
Les dorsalgies (vertèbres dorsales) sont le siège de conflits ou de
blessures sur le plan sentimental ; une douleur entre les omoplates
surgit souvent le lendemain d’une dispute.
Le niveau des lombaires est le plus répandu, et il concerne le sentiment
d’insécurité qu’il soit au niveau matériel ou affectif. Ceci est le premier point.
Le second point réside dans l’existence d’une double chaine de ganglions
nerveux de chaque côté de la colonne, qui commandent chacun –
fort heureusement – une des multiples fonctions automatiques de
notre organisme (cœur, poumons, estomac, intestins….).
il peut vous arriver d’avoir des douleurs diffuses dans la poitrine,
ne cherchez pas, votre cœur n’y est certainement pour rien, mais
si vous tapez du doigt la vertèbre D3, vous verrez qu’elle est sensible.
Si vous avez des douleurs sans raison qui apparaissent aux doigts,
ne cherchez pas, la coupable est probablement la vertèbre C7 ou la D1.
Si vous avez des douleurs crampoïdes dans la langue, ne cherchez pas,
c’est la C2 – etc. etc.
Le problème en médecine conventionnelle, c’est qu’elle semble
ignorer les interactions entre les organes et le dos. Si vous avez
des douleurs d’estomac, on vous donnera des médicaments pour l’estomac,
mais personne ne pensera à la D6, origine possible voire probable du trouble.
Il y aura arrêt temporaire des douleurs avec les remèdes symptomatiques,
mais cela repartira dès l’arrêt du traitement.
La pathologie vertébrale s’effectue en 4 phases :
Mais il arrive aussi, comme pour les scènes de ménage, qu’on
ne sache pas qui a commencé : la vertèbre ou la fonction organique ?
Par exemple, un lumbago peut être le résultat d’une toxémie inflammatoire
de l’intestin. Le soulagement le plus rapide viendra alors par le nettoyage intestinal.
Voici un petit tableau de correspondance très utile qui présente chaque vertèbre et les zones desservies.
Une Bonne Journée
à Toutes
et Tous
Coucou à Toutes
et Tous
" Le Saviez-vous ?
" Vos vertèbres vous parlent "
Savez-vous que votre colonne vertébrale est un lieu majeur
d’enregistrement de vos soucis ?
Par exemple, les cervicalgies, torticolis et autres sont le résultat
de conflits intérieurs sur des choix douloureux.
Les dorsalgies (vertèbres dorsales) sont le siège de conflits ou de
blessures sur le plan sentimental ; une douleur entre les omoplates
surgit souvent le lendemain d’une dispute.
Le niveau des lombaires est le plus répandu, et il concerne le sentiment
d’insécurité qu’il soit au niveau matériel ou affectif. Ceci est le premier point.
Le second point réside dans l’existence d’une double chaine de ganglions
nerveux de chaque côté de la colonne, qui commandent chacun –
fort heureusement – une des multiples fonctions automatiques de
notre organisme (cœur, poumons, estomac, intestins….).
il peut vous arriver d’avoir des douleurs diffuses dans la poitrine,
ne cherchez pas, votre cœur n’y est certainement pour rien, mais
si vous tapez du doigt la vertèbre D3, vous verrez qu’elle est sensible.
Si vous avez des douleurs sans raison qui apparaissent aux doigts,
ne cherchez pas, la coupable est probablement la vertèbre C7 ou la D1.
Si vous avez des douleurs crampoïdes dans la langue, ne cherchez pas,
c’est la C2 – etc. etc.
Le problème en médecine conventionnelle, c’est qu’elle semble
ignorer les interactions entre les organes et le dos. Si vous avez
des douleurs d’estomac, on vous donnera des médicaments pour l’estomac,
mais personne ne pensera à la D6, origine possible voire probable du trouble.
Il y aura arrêt temporaire des douleurs avec les remèdes symptomatiques,
mais cela repartira dès l’arrêt du traitement.
La pathologie vertébrale s’effectue en 4 phases :
- Un stress s’enregistre sur la vertèbre spécifique – elle se spasme
- Le stress et donc le spasme perdurent – la vertèbre s’enflamme –
- elle réagit par une légère douleur à la percussion.
- La vertèbre sous l’effet d’un déséquilibre spasmodique gauche droite
- constant tourne et se coince – là c’est le lumbago, le blocage dos,
- ou le torticolis – un état extrême peut mener à la hernie discale
- (à ne pas confondre avec la hernie fiscale !).
- La phase 2 pourrit avec les années – rien ne se résout psychologiquement
- et l’on tombe dans le « ose = destruction » : dégénérescence arthrosique.
Mais il arrive aussi, comme pour les scènes de ménage, qu’on
ne sache pas qui a commencé : la vertèbre ou la fonction organique ?
Par exemple, un lumbago peut être le résultat d’une toxémie inflammatoire
de l’intestin. Le soulagement le plus rapide viendra alors par le nettoyage intestinal.
Correspondances émotionnelles
Voici un petit tableau de correspondance très utile qui présente chaque vertèbre et les zones desservies.
- C1
Atlas – Cerveau – Circulation cérébrale – Cuir chevelu – Glande pituitaire- Oreille interne et moyenne – Os de la face – Système orthosympathique - C2 Axis
Face – Langue – Nerf auditif – Nerf optique – Os mastoïdes – Sinus – Yeux - C3
Dents – Joues – Nerf trijumeau – Oreille externe – Os de la face - C4
Bouche – Lèvres – Nez – Trompes d’Eustache - C5
Cordes vocales – Glandes du cou – Pharynx - C6
Amygdales – Epaules – Muscles du cou - C7
Articulation de l’épaule – Coude – Thyroïde - D1
Avant-bras – Mains – Œsophage – Poignet et doigts – Trachée - D2
Artères coronaires – Cœur – Valvules cardiaques - D3
Bronches – Plèvre -Poitrine – Poumons – Seins - D4
Canal cholédoque – Vésicule biliaire - D5
Circulation générale – Foie – Plexus solaire - D6
Estomac - D7
Duodénum – Pancréas - D8
Rate - D9
Glandes surrénales - D10
Reins - D11
Canaux uretères – Reins - D12
Circulation lymphatique – Intestin grêle - L1
Caecum – Gros intestin - L2
Abdomen – Appendice – Cuisses - L3
Genoux – Organes sexuels – Utérus – Vessie - L4
Muscles bas du dos – Nerf sciatique – Prostate - L5
Bas des jambes – Chevilles – Pieds - SACRUM
Fesses – Os iliaque
Une Bonne Journée
à Toutes
et Tous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
c'est très interessant - j'y crois à ces correspondance .. dommage que la médecine tradditionnelle les ignore
Solaire- Date d'inscription : 26/02/2010
Nombre de messages : 9998
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Moi aussi j'y crois Solaire ,
les médecins ignorent tout çà ,
mais un Osthéopate , ne l'ignore pas ;
le mien travaille en fonction de tout çà !
Il est évident qu'il tient compte aussi , si tu as
une hernie discale , des pincements etc.…..!
Bonne Journée Solaire ; bisous
les médecins ignorent tout çà ,
mais un Osthéopate , ne l'ignore pas ;
le mien travaille en fonction de tout çà !
Il est évident qu'il tient compte aussi , si tu as
une hernie discale , des pincements etc.…..!
Bonne Journée Solaire ; bisous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
Nombre de messages : 2378
Re: " Histoires Vraies " ou Le Savoir "
Le 7 juin 2019
Bonjour à Toutes
et Tous
" LES MINES DE FRANCE "
" GALERIES D'EXHAURE - Fuveau "
Le Village de Fuveau est à 4 km de chez nous
" Avec les mineurs de Provence "
La production de charbon s'est arrêtée en Provence en 2003. Ce film retrace le quotidien des mineurs de Provence, à près de 1350 mètres de profondeur. Film extrait de la cinémathèque de Charbonnages de France et édité en 2007 dans le cadre du double DVD "Du charbon au pays de Cézanne, Histoire des mineurs dans le Centre-Midi", sur l'histoire des mineurs et du charbon en Provence et dans le Centre-Midi (2004). BRGM - Charbonnages de France
" Moi Louis enfant de la mine film "
" Ceux du fond: les Mineurs du Pas-de-Calais 1962 "
" Les Charbonnages des Bouches-du-Rhône "
Les Charbonnages des Bouches-du-Rhône. Film d'époque extrait de la cinémathèque de Charbonnages de France et édité en 2007 dans le cadre du double DVD "Du charbon au pays de Cézanne, Histoire des mineurs dans le Centre-Midi", sur l'histoire des mineurs et du charbon en Provence et dans le Centre-Midi (1935).
Une Belle Journée
à Toutes
et Tous
Bonjour à Toutes
et Tous
" LES MINES DE FRANCE "
" GALERIES D'EXHAURE - Fuveau "
Le Village de Fuveau est à 4 km de chez nous
" Avec les mineurs de Provence "
La production de charbon s'est arrêtée en Provence en 2003. Ce film retrace le quotidien des mineurs de Provence, à près de 1350 mètres de profondeur. Film extrait de la cinémathèque de Charbonnages de France et édité en 2007 dans le cadre du double DVD "Du charbon au pays de Cézanne, Histoire des mineurs dans le Centre-Midi", sur l'histoire des mineurs et du charbon en Provence et dans le Centre-Midi (2004). BRGM - Charbonnages de France
" Moi Louis enfant de la mine film "
" Ceux du fond: les Mineurs du Pas-de-Calais 1962 "
" Les Charbonnages des Bouches-du-Rhône "
Les Charbonnages des Bouches-du-Rhône. Film d'époque extrait de la cinémathèque de Charbonnages de France et édité en 2007 dans le cadre du double DVD "Du charbon au pays de Cézanne, Histoire des mineurs dans le Centre-Midi", sur l'histoire des mineurs et du charbon en Provence et dans le Centre-Midi (1935).
Une Belle Journée
à Toutes
et Tous
Marialys- Date d'inscription : 09/03/2016
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» " Métiers " Par Ordre Alphabétique "
Mer 1 Nov 2023 - 14:22 par Laurelyne